Graziella Narrateur

pendant toute sa vie et qu'elle avait déjà choisi une vie pour elle, soi-disant, pour son unique bonheur. Nawel fit le choix de devenir Armure et ce, contre l’avis de ses parents ; ce qui allait radicalement changer le cours de sa vie. Le narrateur est un narrateur omniscient. Le personnage principal est : Nawel. Elle a un fort caractère, plutôt autonome et indépendante, elle ne se laisse pas facilement intimider. Schéma narratif : Situation initiale : Nawel est une fille froide et prétentieuse

L’état initial et l’événement modification/compatibe 1- le lieu 2- le temps 3- les personnages : principaux-secondaires 4- le narrateur : omniscient ‘il’- participant ‘je’ 5- le portrait des personnages portrait physique-portrait moral-portrait social : de chaque personnage 6 le sociogramme Le personnage principale L’allié du personnage principale 7 l’aprostiche S :sérieux A :aimable I :intelligent D :doué 1 : La définition du roman : Le roman est un genre

la pièce, elle était rythmée par des vidéos projetées en fond de salle, derrière le narrateur. Tout au long de la représentation théâtrale nous avons pu observer des images telles que des rivières, ou des montagnes ou tous autres beaux paysages de notre monde mais sur la fin au fur et à mesure que les images défilaient se sont des vidéos répétitives qui ont remplacés celles-ci. Les voix off et la voix du narrateur devaient également plus autoritaires et plus intenses ainsi que la nature des vidéos

victoire précaire (extrait de la 5ème partie) Introduction : C’est par ce texte que se clôt le récit de La Peste. En janvier, après 9 mois de lutte incessante contre la peste, les médecins constatent un net recul de l’épidémie. Jusque-là, le narrateur s’avançait masqué et volontairement anonyme pour préserver le lecteur de toute influence et ainsi maintenant le caractère objectif de son récit. Il se nomme enfin : c’est le docteur Rieux, le protagoniste de l’œuvre. Il consacre alors les dernières

récit met en parallèle les portraits de deux personnages que tout oppose, une femme de l’aristocratie, un homme misérable au point de devoir voler un pain pour manger; l’histoire se résume à un jeu de regards impliquant ces deux personnages et le narrateur; le texte est construit à la manière d’une argumentation qui, s’appuyant d’abord sur un exemple emprunté à la réalité, amène progressivement le lecteur jusqu’à l’idée que l’auteur veut démontrer. 1° axe : deux portraits en opposition (les

l’auteur même ne sait pas exactement qui est cette figure féminine. Cette « voyageuse » n’est pas seulement une âme errante, elle porte « un sac à main » v. 4 contenant « mon rêve » elle est donc la porteuse du rêve, elle incarne donc le rêve du narrateur désigné par métaphore comme  un « flacon de sels ». De plus, cette « marraine de Dieu » v. 5 est la seul à avoir respiré ce flacon, elle est donc la seule à connaître son rêve, et comme elle l’« a respiré »v. 5 il est entré dans son corps et fait

successivement selon un ordre d’entrée en en scène. L’organisation et la longueur des paragraphes suggèrent que le narrateur accorde une place privilégiée au premier et au dernier de ces personnages.   a) Candide : représenté par une périphrase « un jeune homme à qui la nature avait donné les mœurs les plus douces ». Il constitue l’élément important du premier paragraphe et le narrateur met l’accent sur la correspondance qui existe entre son aspect extérieur « physionomie » ; son caractère « les mœurs

IV. Les interventions du narrateur 1. Relevez, dans les quatre premiers vers, une intervention du narrateur. Quel temps est utilisé ? Justifiez son emploi. 2. « Elle eût beaucoup mieux fait/ De passer son chemin sans dire aucune chose ». À quel mode est conjugué le verbe de cette phrase ? Comment le narrateur juge-t-il le comportement de la tortue ? Quel trait de caractère est ainsi mis en évidence chez elle ? 3. Qui est le « on » du vers 13 ? Quel jugement le narrateur porte-t-il sur le discours

personnage principal. V/ LES MODALITES DE LA NARRATION ◆ J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir est un roman autobiographique. Par conséquent, l'auteur Christine ARNOTHY , est aussi le narrateur principal et le personnage principal. Le narrateur s'efface simplement derrière son texte. ◆ Le narrateur présente les personnages de l'histoire d'un point de vue variable car il est tantôt interne, tantôt omniscient. VI/ LES COMPOSANTES DE L'HISTOIRE ◆ Dans l'incipit de cette histoire

en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Il appartient au courant littéraire du réaliste comme Stendhall. Dans l’œuvre en question est le Horla de Guy de Maupassant, il a choisi la forme du journal intime dans le quelle le narrateur s’adresse à lui même. Dans son œuvre Maupassant nous parle de l’arrivée d’un être maléfique et de toutes les conséquences que celui ci porte sur lui même. L’incipit nous paraît heureux mais à la fin de celui ci l’auteur fait déjà allusion à la