Graziella Narrateur

pour les élèves : cette abondance lexicale sera profitable. c- les personnages sont-ils nombreux ? Les personnages sont peu nombreux : les règles de l’écriture du genre sont respectées. d- y’a-t-il beaucoup des descriptions ? Oui, beaucoup : le narrateur omniscient s’adresse à l’imagination du lecteur en peignant des images avec des mots. e- Les phrases sont-elles trop longues ? Oui, mais très intelligibles pour les élèves, qui manifestent de la curiosité dès le début, jusqu’à la fin. f- Les dialogues

Gervaise. I. La réunion festive 1) Une fresque Ce long paragraphe est à regarder comme un tableau. Envisagé d’abord dans son ensemble, il est ensuite parcouru par le regard du narrateur dans le détail, avant de revenir à une vue générale. L’impression générale est d’abord celle d’une orgie sur laquelle le narrateur revient avec force à la fin. Ensuite, le regard parcourt le tableau dans le détail en suivant les liens entre les personnages et les voyages de la nourriture. Gervaise mange et regarde

personnage authentique, proche de ses racines. C’est par elle seule que la civilisation pourra devenir plus vraie c’est-à-dire vécue de l’intérieur. - La critique de la société patriarcale qui a mis en place une civilisation de façade. Le narrateur y revient à travers l’attitude du père, « symbole de cette civilisation dans laquelle il existait en complet veston. Moderniste d’objets, non d’idées. » (p. 44) - La critique de la civilisation occidentale par la mère. La Seconde Guerre

(l.19) et le « tonnerre » (l.20). Cela nous est d'ailleurs rappelé car comme un croyant invoquant les dieux, il « tendis vers le ciel ses bras trempés de rosé et jura » (l.22). Il parle de malheur pour l'éternité et de Providence. Dans Iambes, le narrateur réclame la mort : « Adieu, terre, adieu / Vienne, vienne la mort ! - Que la mort me délivre ! » (l.37). Enfin dans La tombe de Hutten, le bâtiment rappelle des temples anciens. De plus, l'homme est comme en position de prière, près de la tombe. La

étant un idéal et non une réalité. De plus, ils font la fierté de leurs parents car ils suivent la quête du bonheur et de la vie harmonieuse. Enfin, le narrateur décrit le site comme un paradis perdu et irréel. 4/ Peut-il se ranger dans la catégorie de l'utopie ? En effet, ce texte peut se ranger dans la catégorie de l'utopie, car le narrateur nous montre un lieu paradisiaque, naturel et connu de seulement deux personnes (Paul et Virginie). De plus, certains éléments sont irréels, comme à la

d’une action et aussi la présence de liens logiques de temps (ensuite, le lendemain…). Mais il y a aussi la présence d’un type de texte descriptif par exemple quand Meursault et Marie s’amusent à boire à la crête des vagues. Position narrateur : Le narrateur est intradiégétique et est le protagoniste de l’histoire. Camus a choisi ce style pour que nous lecteurs, puissions nous identifier à l’histoire. Division du texte : J’ai divisé le texte en 3 parties : ➢ 1er : Avant l’acte (1er

alors qualifiée de « tas de chiffon » par le narrateur à plusieurs reprises. La vieille dame, depuis son plus jeune âge, collectionne des objets ayant appartenu aux défunts du village. Afin de recueillir ces objets, elle n'hésite pas à les voler, ce qui montre qu’elle est très enthousiaste et attachée par le projet de ce fameux Musée du Silence, qui constitue toute l’histoire. → Analyse du genre : Le Musée du Silence est un récit car le narrateur est un personnage encré dans l’histoire, on

Commentaire composé Ce texte est un extrait de Lettres persanes, c’est la trentième lettre du roman ; qui fut écrit par Montesquieu en 1721. Ici, le personnage principal, Rica un persan, est aussi le narrateur; il raconte à Ibben son voyage à Paris et l’accueille qu’il a reçu. Montesquieu, dans ce texte montre la curiosité et la critique permanente qu’on les parisiens pour l’apparence des gens. D’abord, nous allons analyser l’aspect épistolaire du texte puis nous examinerons le comportement

notre auteur et narrateur personnage nous fait une description d’une France mignonne et petite. Cette impression de mignardise vient avant tout des champs lexicaux (description) de la placidité, l’harmonie et de la mignardise employé le plus souvent dans les descriptions de son environnement : « rivière méandreuse, doux couteaux (placidité l.4) ; harmonie délicate (harmonie l.5) ; les grelots font musique cristalline (l. 10) ; jolies boites de maisons (mignardise l.21) ». Le narrateur emploi aussi

Grandet et de Nanon. Ces trois femmes représentent la pureté, la douceur, et l’indifférence. Le narrateur nous dit qu’ « Eugénie et sa mère ne savaient rien de la fortune de Grandet. » (p. 56) Elles se sont entièrement détachées des biens matériels par opposition à M. Grandet. Elles mènent une vie simple et austère caractérisée par une monotonie difficile à comprendre. Comme nous dit le narrateur : « depuis quinze ans toutes les journées de la mère et de la fille s’étaient paisiblement écoulées