Grégoire XI

flotte qui lui permet de commercer. Elle possède des terres et des revenus non seulement dans le delta mais dans toute l’Egypte. C’est l’une des Eglises les plus riches de cette époque. La richesse n’est pas une donnée fixe. A la fin du VIe siècle, Grégoire le Grand doit réorganiser totalement la gestion de son Eglise de Rome. En effet nombre des propriétés de l'Eglise ne lui fournissent plus de revenus: en raison des invasions des Lombards, elles sont hors de portée des agents de l'Eglise. Les propriété

des règles monastiques, et vivant dans un monastère) – regroupe les abbés et les moines (on parle d'abbaye si celle ci est dirigée par un abbée). Cependant, ces deux clercs ont une règle commune : le célibat. Au milieu du 11ème siècle, le Pape Grégoire VII lance la réforme grégorienne pr rétablir la discipline et corriger les mœurs des clercs. Celle-ci interdit aux personnes de l'église : le port d'arme, la fornication, le nicolaisme (incontinence des clercs et obligation au célibat), la simonie(rapport

romain païen du nom de "Patricius", d'origine modeste qui n'a pas fait d'études. Son épouse, Monique est une chrétienne berbère Ses expériences et ses activités : Il est l’un des quatre Pères de l'Église latine (avec saint Ambroise, saint Jérôme et Grégoire Ier) et l’un des 35 docteurs de l’Église. Augustin est le seul Père de l’Église dont les œuvres et la doctrine aient donné naissance à un système de pensée : l’augustinisme. Trois dates jalonnent sa longue existence toute entière polarisée par

l'Eglise → grâce aux dons des fidèles et pèlerins, grâce au loyers que payent des paysans en échange de terres, grâce à la dîme. (exemple de sa puissance : construction de nombreuses cathédrales) 3) Une Eglise plus puissante que les monarques → Pape Grégoire VII met en place la réforme Grégorienne : il cherche à imposer un théocratie où son pouvoir serait supérieur à celui des monarques. L'Eglise impose la Paix de Dieu et la trève de Dieu pour réduire la violence dans la société et ainsi maîtriser les

Le baptême de Clovis selon Grégoire de Tours (ca 496) “XXX. La reine [Clothilde] ne cessait de prêcher pour qu’il reconnaisse le vrai dieu et abandonne les idoles ; mais elle ne put en aucune manière l’entraîner dans cette croyance jusqu’au jour enfin où la guerre fut déclenchée contre les Alamans, guerre au cours de laquelle il fut poussé par la nécessité à confesser ce qu’il avait auparavant refusé de faire volontairement. Il arriva en effet, que le conflit des deux armées dégénéra en un violent

renverse et leur adversaire germanique bat en retraite et se soumet à Clovis. A la suite de cela, il se convertit au catholicisme et se fait baptiser par l’évêque Rémi en 496 avec plus de trois milles hommes de son armée. L’auteur de ce livre est Saint Grégoire de Tours ( 539 - 594 ), évêque de Tours et grand historien de l’Eglise. Ce récit s’inscrit dans un contexte où l’Empire romain d’occident n’existe plus depuis 476, date de la fin du règne du dernier empereur Romulus. En effet il a été victime

l’Ermite en informe le Pape à son retour par l’Italie. Constantinople se trouve directement menacée. La réforme de l’Église La croisade s’inscrit parfaitement dans le contexte de la réforme de l’Église, qui avait été entreprise par saint Grégoire VII au milieu du XIe siècle. Ce mouvement de réforme naît en 909, lorsque le duc Guillaume d’Aquitaine fonde, à Cluny, une abbaye qui ne dépend que de Rome : pour la première fois, un monastère est indépendant de toute autorité politique ou

nouvel ordre cisterciens de Robert de Molesme en 1098 et qui se finit aux alentours de 1198 date d’élection du pape Innocent III- marque l’avènement d’une reprise de l’Eglise. Le terme de réforme apparait concrètement dès le XIème siècle avec le Pape Grégoire VII. Le Moyen Age central est qualifié de très chrétien et la religion chrétienne prédomine en Europe. Mais cette période est caractérisée par un amoindrissement des pouvoirs des souverains en raison de l’émiettement des pouvoirs que provoque

poursuit sous celui de Grégoire VII. Grégoire VII, pape entre 1073-1085, est l’un des souverains pontifes les plus importants de l’histoire. Il succède à Alexandre II en 1073. Il entame dès lors une réforme essentielle nommée réforme grégorienne. La priorité est donnée au rétablissement d’une vie digne dans le Clergé. Il prend ainsi des mesures contre le nicolaïsme et la simonie. Les oppositions à l’institution, les croyances jugées hérétiques, sont réprimées. Grégoire VII interdit également

Beauté divine. Aussi, la foi orthodoxe ne se définit pas en termes d’adhésion intellectuelle mais en termes de transformation (metanoïa) de l’esprit (noûs) grâce au vécu de l’expérience de Dieu, du « sentiment de Dieu » ou du « sens de Dieu » de Grégoire de Nysse. Selon saint Syméon, « théologiser, c’est raconter ce qu’on voit au moyen de la lumière divine, c’est traduire en termes théologiques la communion avec Dieu »5. Si la théologie comporte des éléments doctrinaux, elle est fondamentalement