Grossièreté

ce rire est provoqué par le simple fait de tourner en dérision les différentes classes sociales, ou certains individus. Dans la Commedia dell’Arte, théâtre italien d’improvisation, un personnage comique de par sa balourdise, son ridicule et sa grossièreté est mis en scène : Arlequin, le célèbre valet. Ce personnage si attirant est repris par de nombreux auteurs de comédies comme Goldoni, dans Arlequin, serviteur de deux maîtres (1748), mais aussi par Marivaux (1688 – 1763) : Arlequin est présent

ravages de la guerre sont tout aussi condamnables que les pratiques anthropophagiques. d) Le débarquement Le récit concourt à une discussion veine : il annonce l'attaque victorieuse du huron contre les anglais au chapitre 7. D'autre part, la grossièreté des anglais contraste avec l'amabilité du huron qui va débarquer avec eux. => On est frappé par l'habileté de cet incipit qui fournit au lecteur tous les éléments nécessaires mais aussi le ton et les parti-pris ironiques de l'oeuvre. On trouve

paresse, et, sous l'impulsion de l'ambition, de l'instinct de domination ou de cupidité, à se frayer une place parmi ses compagnons qu'il supporte de mauvais gré, mais dont il ne peut se passer. L'homme a alors parcouru les premiers pas, qui de la grossièreté le mènent à la culture dont le fondement véritable est la valeur sociale de l'homme; c'est alors que se développent peu à peu tous les talents, que se forme le goût, et que même, cette évolution vers la clarté se poursuivant, commence à se fonder

les ravages de la guerre sont tout aussi condamnables que les pratiques anthropophagiques. d) Le débarquement Le récit concourt à une discussion veine : il annonce l'attaque victorieuse du huron contre les anglais au chapitre 7. D'autre part, la grossièreté des anglais contraste avec l'amabilité du huron qui va débarquer avec eux. => On est frappé par l'habileté de cet incipit qui fournit au lecteur tous les éléments nécessaires mais aussi le ton et les parti-pris ironiques de l'oeuvre. On trouve

Il communique sans difficulté, et je profite des soins de confort du soir pour discuter avec celui-ci. Le patient est jovial. Il prend plaisir à discuter avec moi et me le fait savoir. Il fait de nombreuses blagues, parfois à la limite de la grossièreté. En effet certaines me mettent mal à l'aise, quand, par exemple, il s'agit de réflexions à caractère sexuel au moment où je l'aide à mettre le bas de son pyjama. J'ai du mal à déceler si c'est de l'humour ou c’est du fait de sa désinhibition. En

Gargantua on fait venir « dix sept mille neuf cent treize vaches ». De plus l'auteur consacre parfois des chapitres entiers à l'énumération, comme lors de l'évocation des jeux du petit Gargantua, qui crée une forme de vertige comique. Enfin, la grossièreté, l'obscénité et encore la scatologie choquent le lecteur. Les épisodes des flots d'urine de Gargantua et sa jument, celui de l'invention du torche-cul ou encore les élucubration d'Alcofribas (« vous n'en avez pas une pareille, paillards de rase

racontant la propagation d'une épidémie de « rhinocérite ». A l'acte deux, tableau deux, un des deux personnages principaux se transforme : Jean. Ubu Roi est une pièce qui met en scène un roi tyrannique incarnant la bêtise, la lâcheté ainsi que la grossièreté. Ici, cachés dans une grotte afin de fuir les ennemis, lui et ses palotins se retrouvent face à un ours. En 1635, Pedro Calderon de la Barca publie son œuvre La Vie est un Songe. Il raconte l'histoire de Sigismond qui est enfermé par son père (Basile

cet « amant délicat » : « L'amour est plus fort que l'abondance, plus fort que les trésors et les richesses, mais il a besoin de leur secours ; et rien n'est plus désespérant, pour un amant délicat, que de se voir ramené par là, malgré lui, à la grossièreté des âmes les plus basses. »(p. 135) Jean Sgard l'a fait très justement remarquer : il y a une « frontière d'incompréhension qui sépare un jeune aristocrate d'une femme de médiocre origine »2. Le chevalier veut vivre avec Manon un amour pur et idéal

« Il » : effet d’insistance qui montre son omniprésence *Une syntaxe qui mime le flot de paroles. 5 phrases *Il est capable de traiter de nombreux sujets : de historiettes à considérations pseudo-savantes. C’est un homme bavard. * Grossièreté : il se trouve lui m très drôle et rigole de ses propres blagues 3- L’enflure ivre du personnage *Arrias va être interrompu par qqun, et Arrias va réagir d’une certaine manière. Il est sûr de son pouvoir, il parle avec force et agacement

la légende sentimentale et chevaleresque, mais elles se passent toujours dans les limites de vraisemblable et excluent tout surnaturel. Longtemps abandonnés par la critique à cause de leur trivialité, de leur amoralisme, et parfois de leur grossièreté, les fabliaux n’ont commencé à être étudiés que vers la fin du XIXe siècle. Les fabliaux seraient ainsi l’expression littéraire satirique de l’amertume ressentie par une jeune classe de clercs et de chevaliers errants et ruinés auxquels la vie quotidienne