Grossièreté

l’avoir capture facilement, ils éprouvent une jouissance malsaine à le tourmenter. Le balancement V.11-12 suppose une sorte de mise en scène : à tour de rôle, les matelots se relaient pour donner une attraction, un spectacle propre a satisfaire la grossièreté populaire incarnée par les marins. Le terme « sur les planches » V.5 renvoi au spectacle et au théâtre. « agace » V.11 provoquer une irritation nerveuse. C’est d’autant plus lâche et plus bas puisque l’oiseau n’a aucun moyen de se défendre. Il

relation se transforme dans le courant du Siècle des Lumières : maîtres et valets réfléchissent à leur condition et s'en trouvent modifiés. Les premières comédies même si elles tiennent compte de l'évolution sociale, héritent de la fourberie et de la grossièreté des valets traditionnels. Les suivantes font rivaliser les valets et les maîtres jusqu'à les placer dans une relative égalité. Au XVIIIème siècle donc, le rôle du valet dans la comédie évolue et devient plus important. On assiste par exemple à la

l'incident mais le dernier fait le paralléle avec le poète. 1ere strophe : L'anecdote que Baudelaire raconte passe au cas general avec le mot « souvent », il donne ainsi une valeur morale qui lui permettra de passer au symbole (on pense à la grossiéreté des hommes d'equipages de l'epoque, à leur solitudes et à la dureté de leurs vies). Les hommes d'equipages sont la foule qui insconciemment « pour s'amuser » fait souffrir le poète. L'Albatros ici est evidemment symbolique. L'opposition avec le

exigences de la tragédie qui donne à voir des êtres hors du commun (issus de la mythologie, par exemple). Enfin, le théâtre classique impose la règle de labienséance qui proscrit tout ce qui pourrait être de nature à choquer le spectateur (sang, grossièretés, etc.) : dans une tragédie classique, un meurtre a toujours lieu hors scène. En règle générale, l'action théâtrale est organisée autour de quatre temps forts : l'exposition (concentrée dans les premières scènes de l'acte I) qui précise la situation

réflexive, ni d'identification possible avec les personnages. Elle se distingue difficilement de la Moralité et de la Sotie et les contemporains eux-mêmes s'y perdaient. Elle préfère comme moyens d'action un vocabulaire trivial parfois jusqu'à la grossièreté, les coups de bâtons et les artifices de scène les plus voyants. Les troupes essayaient de jouer n’importe où, y compris sur les places publiques et dans les tavernes. Le décor est simple et permet de jouer dans n'importe quel lieu. Réduite

lecteur dans une réalité historique et culturelle commune. Guénaud était le médecin de la reine et il aurait tué (selon Boileau) par ses remèdes un nbre incalculable de patients… Quant à la référence à la Neveu, elle relève du style bas avec la grossièreté dénonçant le caractère débauché du personnage. L’humour transgresse les tabous de la mort et de la sexualité et c’est ce qui fait du satiriste un auteur redoutable. => Péroraison qui rappelle

si grand homme soit si mal élevé ! » On citera bien sûr Ravachol le célèbre anarchiste du XIXe siècle, au matin de son exécution à Montbrison le 11 juillet 1892, qui chante L'bon dieu dans la merde. Dans la littérature et autres arts Une grossièreté héroïque qui a inspiré une pièce à Sacha Guitry, Le mot de Cambronne. Comme elle est en vers et que le mot en question ne possède qu'une seule rime (« perde »), l'oreille du spectateur est évidemment aux aguets. On peut citer dans la poésie du

d'agrément ) espace du séjour et des chambres: à l'arriére du pavillon, espace central prestigieux, tv . privatisation des chambres a coucher vis a vis de l'espace commun. le bruit: maison individuelle pour échapper au bruit, vulgarité , grossièreté ( ce qu'on trouve en ville , dans le logement social) = bruit des parties communes. les zones périurbaines pour éviter le bruit , l'intrusion dans les zones privées.isolement du voisinage. dans les logements sociaux --> agression , agressivité

Caliban incarne quant à lui l’esclave révolté, il veut sa liberté à tout prix et est donc prêt à employer la violence : il menace plusieurs fois Prospero de mort. Il emploie essentiellement le registre polémique, le langage familier et les grossièretés. Il est fier et refuse l’humiliation : il préfère mourir que subir l’injustice (p.38). Ariel, enfin, est un esclave calme, obéissant, qui, contrairement à Caliban, mise tout sur le dialogue. Il n’est pas violent, mais cela ne veut pas dire qu’il

à l'ordre. Arlequin est précisément le personnage de l'inconvenance, par sa précipitation, ses manières, sa conduite amoureuse, son langage. Il devait être l'allié de Dorante ; il offre, en fait, une caricature de son maître, passant d'une grossièreté joyeuse à une politesse affectée et parodique. Il résiste à son maître et, comme un bouffon, finit par se jouer de lui : lorsque Lisette lui confie que Silvia n'est autre que la jeune fille de la maison, il garde le secret et laisse Dorante