Groucho Marx

Chapitre 1 : l’entreprise Généralité : l’entreprise est perçue de différentes manières. Elle est définie à travers un ensemble des relations entre son environnement, le flux interne et externe, financier et matériels. Elle est constituée comme une entité. Que est ce qu’une entreprise ? Pour l’observateur : l’entreprise est un ensemble financier, humain et matériel ou se côtoient les grands magnants mais soumisent a un certain loi,se sont  -un commandement -un rythme

en place de l’ère industrielle, les divers changements engendrés par cet avènement, ainsi que les différentes propositions d’organisations proposées par Taylor notamment. Dans ce chapitre, l’auteur s’appuie sur les travaux de nombreux auteurs : K. Marx, M. Weber, C. Darwin, M. Berthelot, J. Bentham et bien évidemment F. Taylor. A chaque observation énoncée, P. Bernoux prend bien soin d’expliquer pourquoi telle organisation du travail n’a pas fonctionné, le contexte d’apparition de tel mouvement,

opposé à l’idée de liberté. Da ns la Grèce Antique, l’esclave est dévalorisé pour être celui qui travaille, il est soumis, dépendant, et ne participe ni aux activités, ni aux décisions de la Cité. Les conditions du travail peuvent créer ce que Marx appelle une " aliénation " : si le travail n’est pas choisi librement et est vécu comme une pression, l’homme risque de devenir étranger à lui-même, de se sentir dépossédé. Une telle vision exclut la fonction " réalisante " du travail : l’homme

MARX : Voyez-vous comment l’économie est importante dans notre société? SALAVTORE : Je ne suis pas certain de comprendre MARX : L’économie détermine tous de la société ainsi que des individus. SALVATORE : Comment est-ce possible ? MARX : Notre société est comme un édifice. La fondation de l’édifice est l’économie, et les étages sont le contenu culturel. Or, la superstructure vient de l’infrastructure, donc le contenu culturel vient de l’économie, alors l’économie va déterminer toutes de la culture

citoyenneté ? Quelles sont les nouvelles formes du lien social ? - Principaux AUTEURS / théories / mécanismes E. DURKHEIM : le rôle de la division du travail comme source d’évolution des solidarités J. Rifkin : vers des sociétés post-travaillistes ? K. Marx et l’aliénation par le travail P. Bourdieu : le rôle de l’école dans la reproduction des inégalités sociales Robert CASTEL : le processus de désaffiliation Serge PAUGAM : la disqualification sociale L’anomie selon E. DURKHEIM et R. MERTON F. Tönnies

en précisant à chaque fois si le courant de pensée ou le parti socialiste est réformiste ou révolutionnaire (justifiez brièvement et nuancez si nécessaire) (Cours p. 92 pour les trois premières cases, doc. 1 et 4 p. 88-89 pour la case du bas) K. Marx et F. Engels, auteurs du Manifeste du parti communiste (1848) : révolutionnaire (théoriciens de la lutte des classes ; appelle à l’union de la classe ouvrière pour renverser l’ordre économique et social bourgeois). F. Lassalle, fondateur de l’ADAV

motifs individuels. modle danalyse dfinition, choix des variables, tablissement de relations entre les variables, preuve de la justesse des affirmations (ex Le suicide qui montre lintrt et la pertinence de la sociologie sur des faits personnels). K. Marx (1818-1883) gnralits conomiste allemand. communiste et rvolutionnaire ( volont dune transformation radicale de la socit capitaliste. thorie matrialisme les objets sont rels, ils existent en dehors de la pense humaine. (( idalisme) ides toute socit

Chaque individu sert finalement l’intérêt général : Adam Smith. L’équilibre général : l’Homme est rationnel et son calcul lui permet d’arriver à l’équilibre. L’équilibre existe sur chaque marché donc il est général. B/ Le courant marxiste K. Marx (1818-1883) utilise les notions de valeur d’usage et de valeur d’échange. La valeur d’échange est le prix constaté sur le marché. La valeur d’usage est la valeur que l’on donne à un bien en fonction de son utilité. La théorie marxiste repose sur une

La Notion Et Les Formes Du Pouvoir Introduction: La cohabitation est inséparable de la notion de pouvoir dont disposent certaines personnes car, faute d’un gouvernement de la cité ou de l’Etat, l’organisation collective ne résisterait pas aux affrontements entre les groupes particuliers. Il doit donc exister un pouvoir, quelque chose qui se situe au-dessus des individus et des intérêts particuliers. Le pouvoir désigne d’abord une relation sociale entre au moins deux personnes, c’est la capacité

Bien qu’elle soit source de gains de productivité (Comme le montre A Smith dans le premier chapitre de la recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations), la parcellisation des taches, accentuée avec le taylorisme dépossède selon K. Marx, l’individu du sens de son travail, lui interdit d’exercer ses facultés. Ainsi le travail en miettes décrit par Georges Friedmann en 1956 et illustré par Charlie Chaplin dans « les temps modernes » a très largement entrainé une perte du savoir faire