Guérilla irakienne

de l'armée irakienne, à la capture et l'exécution de Saddam Hussein et à la mise en place d'un nouveau gouvernement. Le président George W. Bush a officiellement déclaré l'achèvement des combats le 1er mai 2003, sous la bannière Mission accomplie. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d'insurgés, des milices, des membres d'Al-Qaida, l'armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. Le conflit

HagaMUN 2010: Research Report Forum: General Assembly 1st Committee: Disarmament and International Security Issue: Ensuring peace and stability in Iraq after the departure of the United States of America and its allies Student Officer: Bas Duivenvoorde, Chair Introduction March 20th, 2003, was the day that the Republic of Iraq was invaded by a multinational force led by the United States of America and the United Kingdom. These forces have been occupying Iraq until today, though

Saddam capturé près de Tikrit. - avr-août 2004 : Affrontements entre la coalition et les partisans du chef chiite radical Moqtada Sadr. - 28 avril 2004 : Diffusion d'images de prisonniers irakiens humiliés par des militaires américains à Abou Ghraib. - 28 juin 2004 : Transfert du pouvoir au gouvernement irakien. - 30 janvier 2005 : Premier scrutin multipartite depuis 50 ans boycotté par les sunnites: majorité absolue des chiites devant les Kurdes. - 28 fév 2005 : Attentat à Hilla (centre) revendiqué

Saddam Hussein devient président de l'Irak et met en place un régime autoritaire, réprimant les mouvements d'opposition et les minorités ethniques et religieuses. Hussein est issu de la minorité sunnite, qui représente environ 20% de la population irakienne, et gouverne un pays majoritairement chiite. Au fil des ans, le régime de Saddam Hussein a été caractérisé par la répression des dissidents politiques, la torture, l'emprisonnement et l'exécution d'opposants réels ou présumés. En 1980, l'Irak est

soviétique et de ses forces, des moyens militaires, de sa politique étrangère (plus influencée par l’idéologie marxiste), mais aussi de ses faiblesses économiques. L’Armée rouge (depuis 1979) subit un échec inattendu en Afghanistan en 1989 face à la guérilla. Elle cesse de conseiller les Etats-majors du Moyen-Orient, d’Afrique ou de Cuba. La Russie détient l’arme nucléaire mais les matériels de l’Armée sont mal entretenus, insuffisamment renouvelés et ont perdu beaucoup de leur efficacité. Les soldats

décision. {text:bookmark} Mars 1993: normalisation des relations entre le PKK et les formations kurdes d'Irak. III. La question Kurde: Le phénomène de fragmentation de la société trouva son expression la plus paroxystique dans et par la guérilla du PKK (parti ouvrier du Kurdistan) . Cette organisation, dont l'implication dans la violence fratricide des années 1977-1980 avait constitué une source de traumatisme pour les Kurdes, fut l'une des principales cibles du régime militaire du 12 septembre

les limites de ces normes ne sont pas distinctement fixées. Pour atteindre cette étendue de l'islam dans le monde l'Etat islamique ne recule devant rien engendrant des luttes armées, des attentats-suicides, des prises d'ottages et des guérillas. Le terme de guérilla représente une guerre d'harcelement contre l'ennemi mettant en place des embuscades et des luttes régulières. En effet le groupe terroriste exerce une pression permanente sur les pays qui lui sont hostiles par des menaces d'attentat en

Turquie et la seule route asphaltée longeant la frontière irakienne pour relier les régions kurdes du Nord et du Sud, il n’existe aucune autre infrastructure. Le niveau de vie demeure par conséquent très bas, les habitations sont vieilles et la majorité des logements manque d’eau potable et d’électricité. En Irak, la région kurde s’étend sur environ 74 000 km2 (à peu près deux fois la Suisse), ce qui représente 17% du territoire irakien (438 446 km2). La population kurde d’Irak est estimée à 5

au conflit irakien, l’intervention américano-britannique alimente les antagonismes ethnico-religieux internes, au plus grand profit du voisin iranien. Ce dernier souhaite en outre devenir la puissance régionale dominante en développant le nucléaire militaire et/ou en jouant sur l’antiaméricanisme et l’islamisme. Saisir la complexité des tensions proche-orientales nous amène nécessairement à nous interroger d’abord sur le conflit israélo-palestinien, puis sur la dynamique irakienne du chaos et

depuis la Seconde Guerre Mondiale, ce n’est certes pas le plus long des conflits, mais par l’ampleur des moyens matériels et humains qui ont été déployés contre l’armée irakienne, la Guerre du Golfe a dépassé les crises précédentes de la Guerre Froide (Guerre de Corée, Viêt-nam, Afghanistan…). Saddam Hussein, le président irakien décide de lancer l’élite de son armée à l’assaut du Koweït, petit Etat du Moyen-Orient pour plusieurs raisons : - Tout d’abord à cause d’un problème frontalier qui