Guillaume Apollinaire La Force Du Miroir

- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le Roman inachevé - Senlis, Les Nomades HATIER Annabac STG 2006 Les poètes « parlent pour tous » (ES/S – sept 2004) - Baudelaire, « L’Albatros », Spleen et

âge. Dans cette optique, le fantastique serait repérable pour tout lecteur, si celui-ci subit un texte perturbant. Cet aspect fluctuant peut être considéré comme pervers. Le fantastique dérange parce qu'il ne repose sur rien d'autre que la force (ou la faiblesse) de l'esprit capable de le mettre en œuvre. En cela il s'oppose à la tranquillité du réel, du réalisme et même aux tourments du cœur du romantisme. C'est en ce sens qu'il les dépasse et leur devient supérieur : il est une création

- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le Roman inachevé - Senlis, Les Nomades HATIER Annabac STG 2006 Les poètes « parlent pour tous » (ES/S – sept 2004) - Baudelaire, « L’Albatros », Spleen et

(1 pt)    3. Relever dans le texte 1 les expressions qui montrent l’harmonie et  la fusion du couple.  Les expressions « ​ Pour nous ​ » ; « ​ nos deux coeurs ​ » ; « ​ deux vastes  flambeaux ​ » ; « ​ leurs doubles lumières ​ » ; « ​ nos esprits, ces miroirs  jumeaux ​ » ; « ​ nous échangerons un éclair unique ​ » montrent la ​ fusion du  couple​ .    4. Relever dans le document 2 les expressions mélioratives et péjoratives qui  décrivent l’albatros.      Expressions mélioratives :​  « ​ vastes oiseaux des mers ​

laetificat cor hominum (Psaume 104: 14-15). Les vendanges, les vendangeurs et les effets du vin constituent des sujets très récur- rents en littérature. Au cours de l’histoire littéraire des auteurs tels que Villon, La Fontaine, Ronsard, Verlaine, Apollinaire, Lamartine, Daudet, Zola… ont toujours évoqué à travers le vin et l’ivresse les contradictions de l’homme qui veut profiter de son existence. Le langage du vin transcende le vin réellement bu par les écrivains, c’est un langage des sensations

Guillaume Musso La Fille de papier Roman À ma mère À quoi servent les livres s'ils ne ramènent pas vers la vie, s'ils ne parviennent pas à nous y faire boire avec plus d'avidité ? Henry MILLER Table des matières Prologue ------------------------------------------------------------ 7 La maison sur l'océan -------------------------------------------29 Deux amis---------------------------------------------------------- 35 L'homme dévoré -------------------------------------------------44

clart´e et logique, mais aussi la sensibilit´e raffin´ee des Fran¸cais (p.555) ; les ann´ees 1920 o` u la litt´erature ´etait le support d’une ´edification morale (p.556) ; les ann´ees 1930 et 1940 o` u la litt´erature a ´et´e lue avant tout comme le miroir de la soci´et´e dans laquelle elle prenait source (p.561) ; les ann´ees 1950 o` u la litt´erature est devenue `a la fois support linguistique dans le cadre des m´ethodes audio-orales et l’objectif de tout apprentissage (p.564) ; les ann´ees 1960 et

DU BAC DE FRANÇAIS LES 23 TEXTES DE VOTRE ORAL SOMMAIRE 3 Présentation de l'épreuve 9 Foire aux questions 11 Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour

est le fruit d’une collaboration étroite entre plusieurs grands noms de « l’Esprit Nouveau » qui souffle sur le monde artistique, à Paris, dans les années 1920. L’expression « Esprit Nouveau » est employée pour la première fois par le poète Guillaume APOLLINAIRE (1880/1918), en 1917, année de la création de Parade au théâtre du Châtelet, à Paris. L’initiative de la composition de Parade revient à l’écrivain Jean COCTEAU (1889/1963). Il en écrit l’argument et s’entoure du compositeur Erik SATIE (1865/1925)

passage : les anonymes, l’innomée de l’épilogue « Toi » - ou Fanny Beznos qui n’apparaît que de dos sur une photographie aux Puces de St Ouen. Alimentant un certain flou fantasmatique autour des femmes, les jeux de regard concentrent alors toute leur force de séduction, aiguisent le désir au risque de le rendre tétanisant. Cette ‘stimulation’ presque artificielle respecte la conception apologétique qui éclatera au grand jour dans L’Amour fou : « Le désir, seul ressort du monde, le désir, seule contrainte