Guillaume Apollinaire Les Cloches

---------------------------------------------- “L’adieu aux fusiliers marins” «Adieu, marins, naïfs adorateurs du vent.» ____________________________________________________________ _____________________ En 1915, Cocteau rencontra Apollinaire, Braque, Derain, Satie et rendit visite à Picasso dans son atelier. Il découvrit les artistes de Montparnasse, Modigliani, Chirico, Juan Gris, Man Ray et Max Jacob. Autour de ce petit groupe allait naître, en 1917, le projet du «ballet réaliste»

.......165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ...................................................................224 Chapitre 4 La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours .

Maître Pathelin est souvent considérée comme la première pièce comique française. Maître Pathelin est un avocat fripon. Il a escroqué six aunes d’étoffe au drapier Guillaume et se retrouve, peu après, chargé de défendre Thibault, berger du même Guillaume, accusé d’avoir volé les moutons de son maître. Ava nt le Devant le juge, Guillaume, indigné par la présence de Pathelin, prétend mêler les deux affaires, mais il est sèchement rappelé à l’ordre par le juge : « Sus ! Revenons à ces moutons !/Qu’en

contre l’impôt progressif sur le revenu. Le procès tient lieu en juillet-août. Le 1er août, l’ordre de mobilisation générale est une surprise, surtout dans les campagnes occupées aux récoltes. La nouvelle se diffuse par voie d’affiche et par les cloches sonnant le tocsin. Louis Barthas, tonnelier qui habite un petit village de l’Aude : Peyriae en Slivernois, il est né en 1879 et à 35 ans en 1914, il est père de 2 enfants et est militant socialiste et syndicaliste. C’est un grand lecteur des auteurs

.......165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ...................................................................224 Chapitre 4 La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours .

les poèmes... (p. 63) 1. La séparation des amants Dans le poème de Guillaume IX, il semble qu’il s’agisse d’une distance géographique effective, comme paraît l’indiquer la locution adverbiale « là-bas » (« De là-bas, où est toute ma joie... »). Le confirment l’attente d’un courrier et l’évocation des paroles et des brefs discours que répandent les « losangiers » : il semble en effet que, contrairement à Gace Brulé, Guillaume IX ne perçoive que l’écho de ces « propos étrangers » et ne puisse

21 Acte III, scène 4 22 Acte V, scène 4 23 Gérard de Nerval, « Fantaisie », Odelettes 24 Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres 25 Théophile Gautier, « La Rose-thé », Émaux et Camées 26 Guillaume Apollinaire, « Il y a », Poèmes à Lou 27 Jean Cocteau, « Rien ne m’effraye plus que la fausse accalmie », Plain chant 28 Robert Desnos, « Un jour qu’il faisait nuit », Coups et biens 29 Paul Éluard, « Le miroir d’un moment », Capitale

par le linguiste Ovide Densuşianu (ami de Gaston Paris). Elle se voulait «l a voix de son temps ». Son seul culte fut celui des « valeurs novatrices » et sa seule orientation fut « l’actuel », c’est à dire la réalité du présent. Les noms de Guillaume Apollinaire, Max Jacob, André Salmon, y figurent à côté de ceux de Stefan Georg, Hugo von Hofmansthal, Rainer Maria Rilke, Giovanni Pascoli, Gabriel d’Annunzio, Ruben Dario, etc. Selon Densuşianu le devoir du poète est d’être en liaison avec les esprits

ILLETTRÉS ET AUX SANS DENTS AVEC LESQUELS J’AI TANT APPRIS RI SOUFFERT ET TRAVAILLÉ À CHARLES TRENET SANS LES CHANSONS DUQUEL JE N’AURAIS PAS TENU À M. D. G. ET À MA MÈRE I « C’est fantastique tout ce qu’on peut supporter. » Guillaume Apollinaire (lettre à Madeleine Pagès, 30 novembre 1915).1. En entrant à l’usine Bien sûr j’imaginais L’odeur Le froid Le transport de charges lourdes La pénibilité Les conditions de travail La chaîne L’esclavage moderne Je n’y allais pas pour faire

à la voirie jeté sans retour, cet objet est en somme des plus sympathiques - sur le sort duquel il convient toutefois de ne s'appesantir longuement. LECTURES COMPLEMENTAIRES « La colombe poignardée et le jet d'eau », Calligrammes, Guillaume Apollinaire Douces figures poignardées chères lèvres fleuries Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie Où êtes-vous ô jeunes filles Mais près d'un jet d'eau qui pleure et qui prie Cette colombe s'extasie Tous les souvenirs de naguère O