Guillaume aux Blanches Mains

Pendant la bataille, tous les amis de Roland sont tués sauf l'archevêque Turpin qui a le temps de bénir les corps avant de mourir de ses blessures. Roland sonne le cor pour appeler Charlemagne, essai de briser Durandal pour qu'elle ne tombe pas aux mains des païens, puis meurt à son tour. Charlemagne poursuit les Sarrasins et leurs inflige une défaite sanglante. Il fait transporter le corps du héros à Blaye (en Gironde) puis retourne à Aachen. Il y fait juger Ganelon qui sera écartelé. * Analyse

entre les doigts,fil de neige pour les jours froidset fil d’herbe pour les jours verts. Une heure noire, une heure blanche,crochetées et croisées sans trêve,l’écheveau des nuits et des rêvesse dévide au bout de ses branches. Qui portera ce vêtementqu’elle tisse avec tant d’adresse,sa laine douce est la caressede quel hiver, de quel printemps ? Elle tisse car le temps presse,maille blanche sur maille noire,en ignorant que la mémoiredéfera les fils qu’elle tresse. Elle a beau nouer et lierle fil qui

Banville(1823-1891), septembre 1841 L’aïeul "Le temps vous poursuit sans cesse, et bientôt sera effacé l'éclat de votre jeunesse." Rousseau (1670-1741) L’aïeul mourait froid et rigide. Il avait quatre-vingt-dix ans. La blancheur de son front livide Semblait blanche sur ses draps blancs. Il entrouvrit son grand oeil pâle, Et puis il parla d’une voix Lointaine et vague comme un râle, Ou comme un souffle au fond des bois. Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ? Aux clairs matins de grand soleil L’arbre fermentait

totalement décorrélés du dessin. IV - L'amplification Dans le recueil Les Mains libres, le lien entre la langue et l'image reste dans "les obscurités du surréel" mais est dynamisé par des thématiques communes qui permettent au poète-illustrateur d'agrandir l'aspect poétique des dessins. C'est ce qu'on appelle l'amplification. Ce que l'on pourrait analyser dans l'amplification est la complicité thématique qui rattache l'œuvre à quatre mains : une complicité très grande unit les artistes. Les deux grands thèmes

inadvertance un philtre d’amour et deviennent éperdument amoureux. Tristan, devenu rival de son oncle, doit alors s’exiler et refait sa vie avec Iseult aux Blanches Mains. Au cours d’un combat, Tristan est blessé à mort et invoque Iseult la Blonde qui est la seule à pouvoir le guérir. Elle se rend à son appelle, cependant, Iseult au Blanches Mains jalouse, trompe le mourant en lui faisant croire que le navire arrive sans Iseult la Blonde. Tristan expire désespéré et Iseult la Blonde à peine débarqué

la bouche que j'embrasse Pour aujourd'hui et pour toujours Au nom de l'espoir enterré Au nom des larmes dans le noir Au nom des plaintes qui font rire Au nom des rires qui font peur Au nom des rires dans la rue De la douceur qui lie nos mains Au nom des fruits couvrant les fleurs Sur une terre belle et bonne Au nom des hommes en prison Au nom des femmes déportées Au nom de tous nos camarades Martyrisés et massacrés Pour n'avoir pas accepté l'ombre Il nous faut drainer la colère

que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur

-engagements feodaux -chantées en public : au Sud par les Toubadours au Nord pas les Trouvères. -3 gds cycles : ---> cycle du roi (surtt avec Charlemagne : chanson de Roland) --->cycle de Guillaume d'orange (chanson de guillaume et charoi de Nîmes) ---> cycle de Doon de Mayence (luttes féodales : chanson de Bormont et chanson de Isembart) - 1er textes respectant les conditions. -strophes assonancées qui permettent une musicalité. Strophes assosiées selon

Guillaume Musso Que serais-je sans toi ? Roman Table des matières Que serais-je sans toi ? ............................... 2 Cet été-là... ......................................................................... 8 Sous le ciel de Paris ................................... 37 Le plus grand des voleurs... ................................................ 38 Mon frère de solitude ........................................................ 47 Deux hommes dans la ville ................................

comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (page 2), ‘’Palais’’ (page 4), ‘’Chantre’’ (page 5), ‘’Crépuscule’’ (page 5), ‘’Annie’’ (page 7), ‘’La maison des morts’ (page 8), ‘’Clotilde’’ (page 13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page