Guillaume Ier de Normandie

rattachement du Valois et du comte de Beaumont. * en 1202, après des années de conflit contre le roi Plantagenêt et des péripéties diplomatiques où la mauvaise foi n’est pas toujours du côté de ses ennemis, Philippe Auguste entreprend la conquête de la Normandie (2004, prise de Rouen), puis du Maine, de l’Anjou et pousse l’avantage vers l’Aquitaine. Saint Louis, au traité de Paris de 1258 (ratifié en 1259), fait confirmer la réunion des premières conquêtes, mais les conquêtes du Sud-Ouest sont restituées

Charlemagne, l'Europe occidentale nous apparaît divisée en nations, dont quelques-unes, à certaines époques, ont cherché à exercer une hégémonie sur les autres, sans jamais y réussir d'une manière durable. Ce que n'ont pu Charles-Quint, Louis XIV, Napoléon Ier, personne probablement ne le pourra dans l'avenir. L'établissement d'un nouvel Empire romain ou d'un nouvel Empire de Charlemagne est devenu une impossibilité. La division de l'Europe est trop grande pour qu'une tentative de domination universelle ne

peuple a pris trop de pouvoir et la reine a dû fuir et que le roi est à présent en mauvaise posture. Condé persuade la reine de mener la guerre pour arriver à bout des Parisiens. Il offre d’ailleurs ses services son armée en Bourgogne et celle de Normandie qui appartient à un parent à lui, le duc de Longueville[21]. Mais pour cela il faut se réfugier à St Germain, Gaston d’Orléans est contre, il joue double jeu. Il veut être à la fois avec le parlement et ne pas fâcher la reine. Finalement, il cède

territoire, si étroitement borné à l'Est par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie. Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre Jacques Bainville, Histoire de

L'édit de Milan ou édit de Constantin, promulgué par les empereurs Constantin Ier et Licinius en avril 313, est un édit de tolérance par lequel chacun peut « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le ciel » ; il accorde la liberté de culte à toutes les religions et permet aux chrétiens de ne plus devoir vénérer l'empereur comme un dieu. 380 : L'édit de Thessalonique fut décrété par l'empereur romain Théodose Ier le 28 février 380. Par ce décret, le Christianisme devient religion officielle

ST-JULIEN P.-M.-FAVIER SEAU DE CHARNY FARLY BOSSUET DE PIERRE-CH ASSEUR P.-CHAS U SEUR ROBERT -STEPHE NSON PELLETIER PL. DENI S O.-BOUCHER J.-BOYER MARGUERITES PERCE-NEIGE DE DIJON OUELLETTE NORMANDIE OLIER AUGER DUMAS RENOIR MAURICE -BLONDEA ALLARD A.-NANTEL DU PONT DU MANOIR DU PARC CHARRON ST-JOSEPH VALADE BEAUDIN JEAN-YVES RICHARD VIL PA N.-JOSSELIN Laval DE MÈREANSELME B A.RO E SS AU JEAN

 victor pavie a clairement soutenu les débuts du mouvement  romantique. paris et l’Anjou, c’est essentiellement une attention portée aux relations entre la  capitale et la province : on voit bien comment différents personnages mentionnés  sont liés à plusieurs régions en france (Bretagne, normandie, Lyonnais, etc.), et, plus largement, entre les foyers culturels en france et dans des pays étrangers.  Si l’europe n’a pas été traitée en tant que telle dans cet ouvrage, elle transparaît  néanmoins dans tous les articles, montrant par là même l’étendue des circulations 

la Provence. Il existe une œuvre phare écrite par le premier troubadour dont le nom est attaché à une œuvre. C’est un personnage très représentatif du caractère curial de cette littérature courtoise, c’est un des grands princes de son temps, Guillaume IX, Comte de Poitiers et Duc d’Aquitaine (1071 – 1126). Et ce n’est certainement pas un hasard si la première œuvre que l’on conserve est celle d’un grand prince, on est vraiment face à une poésie curiale. C’est certainement aussi une des raisons

territoire, si étroitement borné à l'Est par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie. Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre Jacques Bainville, Histoire de France

quel les trois petits fils de Charlemagne se partagent l’empire carolingien. Le terme France apparaît sous la forme franci ocidentalis (la france occidentale). Autrefois le terme désignant l’Empire était la Gaulle. PREMIERE PARTIE : LES ORIGINES du Ier au Xe siècle Se divise en deux périodes : - antiquité : commence avec l’invention de l’écriture (3ème siècle avt JC) et se termine en 476 aps JC (chute de l’empire romain). On se focalisera sur la période allant du 1er au 5ème siècle (conquête de