Guillén de Castro

oponen en la concepción que tienen de Cuba. Por una parte, el policía .. En cambio, el encargado .... Le professeur pourra dire aux élèves que chaque personnage est représentatif de l’opposition qui existe réellement sur l’île entre les partisans de Castro et ceux qui souhaitent un changement politique et une plus grande ouverture. Exprésate Escribe el principio del diálogo cuando el policia llega: se saludan, hablan de temas anodinos hasta llegar a la discusión del texto. Piensa en el tratamiento.

est une pièce de théâtre de Pierre Corneille dont il a été créé au Théâtre du Marais en janvier 1637 et publié à Paris en mars de la même année. Corneille s'est inspiré d'une comédie espagnole , Las Macedades del Cid ( les enfances du Cid) de Guillen de Castro. C'est la neuvième pièce de Corneille et sa seconde tragi-comédie. Cette œuvre en 5 actes connaît dès sa création un succès immense. La pièce, créée en 1637, fut fort critiquée par les théoriciens du théâtre, parce que les règles de la tragédie

restera que peu de temps dans ce groupe). Corneille écrit alors sa première tragédie, Médée. C'est peut-être au contact de la famille Chalon (d'origine espagnole) que Corneille va s'intéresser aux textes espagnols et notamment à une pièce de Guillen de Castro, las Mocedades del Cid, qui va lui inspirer Le Cid. Jouée en décembre 1636, la célèbre tragi-comédie connaît un triomphe qui ne se démentira pas, et une (courte) polémique, connue sous le nom de "querelle du Cid". Les "doctes" veulent démontrer

alors que la pièce fait un triomphe et le consacre comme le maître incontesté de la dramaturgie, Corneille doit affronter la jalousie de ses rivaux. "la querelle du Cid" est une polémique déclenchée par eux en lui reprochant d'avoir recopié Guillen de Castro et de ne pas avoir respecter les règles incontournable de vraissemblance, de bienseance ainsi que celle des trois unités. Cette querelle va durer pres d'un an et Richelieu apporte son soutien aux adversaires de Corneille comme le principal Mairet

Comme cette promesse est respectée, les moralistes furent choqués de ce manque de vraisemblance et de bienséance. Corneille n'accepte pas ces critiques, puisque la plus grande partie de son inspiration relevait de faits réels et de textes de Guillen de Castro. Ces adversaires vont encore l'attaquer quelques semaines plus tard, mais Richelieu donne l'ordre de mettre fin à cette querelle. Situation du passage : Le père de Rodrigue, Don Diègue, a reçu un soufflet de la part du comte, Don Gomès

(alexandrins essentiellement) écrit par Pierre Corneille dont la première représentation eut lieu le 5 janvier 1637 au théâtre du Marais (3ème Ar. Paris). Inspiré fortement de Las Mocedades del Cid (Les Enfances du Cid), pièce de théâtre de l’espagnol Guillèn de Castro écrite en 1631. Les personnages Don Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Le personnage s'inspire de Rodrigo

l'apaisement en demandant à Corneille et Mairet de se réconcilier. Cette pièce donne lieu à un débat intéressant qui nous renseigne a posteriori sur la formation de l'esthétique classique, puisque l'on reproche tour à tour d'avoir copié abusivement Guillen de Castro, un auteur espagnol et de n'avoir pas respecté les règles d'or du théâtre classique, notamment les règles de la vraisemblance et de la bienséance, ainsi que celle des trois unités -d'action: la critique estime que l'intrigue avec l'Infante est

tout de suite désignée comme sacrifice pour le monstre, mais Persée tue le monstre. Phinée, aidé de Junon veut tuer Persée, mais est médusé par ce dernier. Tous les personnages finissent divinisés. Le Cid : Inspiré d’une comédie espagnole de Guillen de Castro - Rodrigue et Chimène s’aiment, seulement, après une violente dispute entre leurs pères, celui de Rodrigue demande à son fils de tuer celui de Chimène, ce qu’il fait par devoir. Chimène, pourtant amoureuse de Rodrigue, se voit obligée de le haïr

aurait initié Corneille à la langue et la littérature espagnoles et lui aurait suggéré la lecture d'une pièce de théâtre de Guillèn de Castro Las Mocedades del Cid (Les Enfances du Cid) parue en 1631 et qui aurait inspiré le dramaturge français. L'influence de Rodrigue de Chalon est incertaine mais il est attesté que Le Cid s'inspire fortement de la pièce de Guillèn de Castro, au point que Jean Mairet, dans une épître en vers anonyme l’« Auteur du vrai Cid espagnol » écrit à son traducteur français

reprendre la ville. Impressionnés par sa bravoure, ses adversaires lui donnèrent le titre de « seigneur » (« Cid », de l’arabe seyd). Son histoire ne tarda pas à devenir une légende. En 1618, Guillen de Castro écrit Les Enfances du Cid ainsi que Les Prouesses du Cid. Corneille connaissait l’existence du drame de Castro. Dans l’ « Avertissement » de 1648, le dramaturge confesse sa dette envers l’auteur espagnole, à qui il emprunte de nombreuses composantes, comme l’amour secret de l’Infante pour Rodrigue