Guillotine

crime commis. Ainsi, au chapitre XV, « Plus de chance maintenant ! […] plus d’espérance ! Le pourvoi, c’est une corde qui vous tient suspendu au-dessus- de l’abîme [...] C’est comme si le couteau de la guillotine mettait six semaines à tomber » Enfin, Victor évoque la monstruosité de la guillotine et de son inventeur. En effet, on peut lire au chapitre XXXVII, « le nom de cette chose est effroyable, et je ne comprends point comment j’ai pu jusqu’à présent l’écrire et le prononcer […] le médecin

suspects » dit que tout suspect contre-révolutionnaire doit être arrêté, jugé et exécuté (guillotiné). Enfin une loi de juin 1794 supprime toute garantie de justice et donne une définition de l’ennemi du peuple, celui-c devant être guillotiné. Robespierre est arrêté le 27 juillet 1794, la patrie n’étant plus en danger à l’extérieur et chaque homme politique se sentant menacé à l’intérieur. Il est guillotiné le lendemain, c’est la fin de la Terreur mais aussi de la conception démocratique de la société

France dans la Terreur. En 1794, les ennemis sont vaincus. Mais le comité de Salut Public est contesté à la fois par les Indulgents de Danton et les enragés d'Herbert, qui veulent la renforcer. En mars et avril 1794, Robespierre les fait arreter et guillotiner. Il semble alors au sommet de sa puissance. Mais il est seul et déprimé. Robespierre veut instaurer une nouvelle religion: le culte de l'être suprême. Le jour de la Pentecôte, il est en tête du défilé d'honneur du nouveau dieu. Mais son attitude

le royaume vers une crise politique, économique et sociale qui participe à la naissance de la Révolution Française. Il se mariera avec Marie-Antoinette d’Autriche, avec laquelle il aura deux enfants, un garçon et une fille. Finalement, il mourra guillotiné le 21 janvier 1793, à Paris, sur la place de la Révolution. Marie-Antoinette d’Autriche est la dernière reine de la monarchie absolue française. Elle régna sur la France, au côté de son mari, Louis XVI, avec qui elle eu deux enfants, un garçon

autant en celui d'agréer qu'en celui de convaincre .En plus de soutenir ou de contester une idée, cette tentative vise dans un même temps à agir sur le destinataire en faisant appel à ses émotions, à ses valeurs. Les champs lexicaux de la mort, de la guillotine sont présents dans les trois textes : « la mort, l'échafaud », « bourreaux,assassin » et « exécution, couloir de la mort ». Une technique de persuasion qui consiste à installer un décor angoissant mais terrible.Une triste mélodie s'installe le long

se fera exécuter sous la clameur du peuple qui voit sa mort comme un spectacle. Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très

put continuer. Nous arrivons dans une salle dédiée à l’affaire du collier et où une réplique inspirée du seul dessin représentant ce fameux collier (aussi présent dans cette salle) est exposée. La dernière salle de l’exposition était en forme de guillotine, plusieurs estampes satiriques la représentant avec Louis XVI y sont exposées, des paroles de Marie-Antoinette ou des lettres de Marie Antoinette sont projetées au mur, l’exposition se termine sur le croquis de David la représentant sur la charrette

autres cellules et un garde, présent en permanence. XI : Le narrateur lit pour passer le temps et tente de décrypter les inscriptions et les dessins présents sur les murs de sa cellule. Attiré comme un aimant par les mots écrits par un sous-officier guillotiné pour ses idées républicaines, il panique complètement à la vue de l'échafaud dessiné à côté. XII : Toujours en train de contempler les inscriptions de la cellule, le narrateur tombe sur le nom de 4 criminels célèbres, semble t-il, passés par la

mène une vie qui pour lui n’a pas de sens, et choisit jusqu’au bout de rester en marge de la société. Ce roman, qui se prononce contre la peine de mort, est avant tout une réflexion sur la liberté individuelle. Si Meursault est condamné à être guillotiné à l’issue de son procès — duquel il se sent exclu —, c’est aussi à cause de son manque de sensibilité. Albert Camus veut ainsi montrer que la société punit ceux qui sont différents. Il résume son roman par cette phrase : « Tout homme qui ne pleure

impressionné par la vision d’un condamné conduit à l’échafaud, pourtant la mort violente tient une place importante dans la vie des habitants du XIXe siècle. Plus tard, à l’adolescence, il sera choqué par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine. Hanté par ce "meurtre judiciaire", il va tenter toute sa vie de faire plier l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie et sa cruauté, en démontrant l’injustice et l’inefficacité du châtiment. Selon lui, les vrais coupables sont