Gustave Eiffel

Adieu. Je traverse l'Arc de Triomphe, où la concentration des personnes et des véhicules est assez chargée. A nouveau, cette foule, où tout types de langues sont parlés, surtout des touristes qui s'avancent vers la mère de Paris, la grandiose Tour Eiffel, avec une camera et de l'argent pour les souvenirs dans les petits magasins, de cette ville de l'amour, romantique ville qui évolue et aime ceux qui l'aiment. Cette promenade était le point de départ vers une destination. je m'arrete un moment

réponse a Vladimir qui lui demande : « Peut-on savoir où monsieur a passé la nuit ». Ce qui nous permet de voir qu’ils sont dans une situation misérable que avant il : « portait beau » et maintenant on ne les laissera même plus monter dans la tour Eiffel (Ligne 25). 2. Leurs relations L’un est l’autre, l’un par l’autre son des antis héros. Ce qui peut nous laisser penser qu’ils sont amis en plus du tutoiement et leur agressivité mutuel (Ligne 8-9) . 3. Leur langage * Le Langage

d'agrément ; l’art s'imisse dans l'architecture des gares (gare du nord, saint-lazare...). Le 6 mai 1889 a lieu l'exposition universelle à Paris, où sont exposés des chef-d’œuvres placé sous le signe du fer, et surtout, c'est à cette occasion que la tour Eiffel est livré au public. C'est ainsi que les loisirs de la société du 19ème siècle se mêlent avec les arts, les uns s'influencent des autres. L'art répond au attente du moment, en illustrant une idée, un mouvement, une époque. Elle nourrit aussi la

gouvernement français a le choix entre une radio étatique ou une radio libre.L’État décide de faire les deux, en mêlant radios privées et radios publiques.En 1921 a lieu la première émission publique par Radio Tour Eiffel avec une portée de 3km.En 1939, on trouve 4 radios d’État : Radio Tour Eiffel, Radio Paris, Radio PTT (Poste Téléphone Télégramme) et Paris Mondial.Il y a également des initiatives privées comme Radio Cité.Les radios se développent dans toutes les grandes villes.En 1940, l’invasion allemande

sagesse devant les propos et les actes des adultes ? 11. Quel trait de langage récurrent caractérise les propos de Zazie ? 12. Quels monuments parisiens font l’objet de controverses entre Gabriel et Charles ? 13. Que se passe-t-il à la tour Eiffel ? 14. Quelle caractéristique de la Sainte-Chapelle les personnages soulignent-ils fréquemment ? 15. Que raconte Zazie dans le café-restaurant du marché aux puces ? 16. Pourquoi la séquence de course-poursuite, au marché aux puces, est-elle un

lieu à un autre ou les font piétiner. On notera les effets d'accélération (la poursuite), les métamorphoses (la voiture dans les embouteillages), les parcours circulaires (le taxi autour de Saint-Vincent-de-Paul), les travellings (scène de la Tour Eiffel) et les scènes de poursuite à travers Paris. Ces dernières rappellent le cinéma muet, et en particulier le cinéma burlesque américain (Charlie Chaplin, Buster Keaton, ...). Philippe Collin, assistant à la mise en scène du film, précise que le

Quand on pense à Paris, on voit tout de suite la Tour Eiffel, le Louvre, Montmartre ou Notre Dame. Mais le cimetière du Père-Lachaise est aussi un monument historique. Il est le plus grand cimetière de Paris et l'un des plus célèbres dans le monde. Il est situé dans le 20e arrondissement de la ville. Le nom officiel est «cimetière de l’Est». Mais c‘était trop administratif, donc les Parisiens préférèrent toujours celui de «Père-Lachaise». Ce non vient de François d’Aix de la Chaise qui

qu’étais si heureuse, si contente et tout de m’aller voiturer sans lmetro. Sacrebleu, merde alors. » On peut dire alors que Zazie va partir en vadrouille et explorer d’autres chemins… Elle verra ainsi La foire aux puces avec Pedro Surplus, La Tour Eiffel et les brasseries des halles avec Gabriel, mais également la cave et le Mont de Piété. Elle va, en tant qu’héroïne de l’histoire, être la plus présente dans l’action : on la retrouve dans 16 chapitres sur 19. Notons a ce titres que les chapitres

attractions les plus spectaculaires L’aspect didactique s’efface pour faire émerger un côté plus ludique, les expos deviennent divertissements et préfigurent déjà une nouvelle société de loisir. Il en coûtera ainsi 5 francs pour monter en haut de la tour Eiffel, 1 franc pour entrer dans la sphère terrestre, 1 franc pour le pavillon de la mer, pour le panorama de la compagnie transatlantique ou le panorama du Tout Paris. 1 francs est aussi exigé pour le concert marocain, le théâtre annamite, le théâtre national

restaurants cosmopolites : riz cantonais, sushi japonais, pizza di Napoli, feuille de vigne attique… La ville, c’est l’oeil qui lèche la vitrine colorée, c’est la main tendue quand on est blessé, c’est le troupeau des ponts qui bêle et leur bergère Tour Eiffel ; c’est la silhouette fine des buildings élancés qui font la nique aux antiques arcs fatigués, voûtés et sculptés ; c’est un kaléidoscope de formes, de sons, de peaux et de couleurs ; c’est « Personne ne m’épie, personne ne me juge, je suis moi