Génocide Juif

souffrir les autres. Il ne s'agit pas là d'un problème de la famille uniquement, mais de toute la société parce que les victimes de cette dynamique de violence, transformées en bourreaux, se vengent sur des nations entières, comme le montrent les génocides de plus en plus fréquents sous des dictatures atroces comme celle de Hitler. Les enfants battus apprennent très tôt la violence qu'ils utiliseront adultes en croyant à ce qu'on leur a dit : qu'ils ont mérité les punitions et qu'ils étaient battus

I. Les critères constitutifs en extension Cette extension est favorisée par l’attitude des Etats parce que ceux-ci craignent davantage de voir leurs représentants mis en cause pour crime de guerre que pour crime de l’humanité voire pour génocide. C’est ainsi que la France, en acceptant l’imprescriptibilité pour les seuls crimes contre l’humanité (loi de 1964), a incité les juges à les séparer des crimes de guerre. De même, les Etats ont obtenu que la compétence de la Cour pénale internationale

lois mémorielles : des lois de la mémoire qui indiquent à se rappeler d’évènements historiques. La loi Gayssot de 2001 a pour objet la commémoration du génocide Arménien … Ces règles sont remises en cause par le législateur qui estime qu’il n’a pas à prendre le rôle de l’historien, dans la mesure où la loi sanctionne ceux qui nient les génocides, ce dernier sort de sa finalité première. B / Les relations entre les règles de droit et les règles non juridiques a. Les relations entre le droit

destruction massive Le genre humain est capable de tuer, torturer comme les exécutions à gaz, les camps d’extermination. Après son passage ,des villes comme Hiroshima où personne n’est épargné, sont sacagées en population et en matériel. En effet, le génocide, le meurtre et les violes de femmes, enfants et veillards sont ses œuvres.Pourtant doué de raisons , quand l’homme se trouve face a une situation ou il ne peut pas se faire entendre il peut devenir violent. C’est a ce moment, retranché derrière

Rwanda et homme riche, rentre tous les soir chez lui rejoindre sa famille, ils vivent bien dans une belle maison et ne sont pas en manque d’argent, plus le temps passe, plus Paul remarqua que des choses étranges qui étaient en train de se passer, un génocide se préparait entre Hutu et Tutsis mais il refusait d’y croire pour le moment. C’est un soir qu’il assista a une scène ou des soldats embarquèrent leurs voisins qu’il prit conscience de la situation, malgré qu’il n’avait pas le pouvoir de faire quelque

collaboration est une proposition française et non une exigence allemande) 2 culpabilités naissent : accepter Vichy + non punition des coupables Résistance devient plurielle. La France doit ASSUMER ! C. Mémoire du génocide Mémoire d’outre tombe : récits des survivants. Génocide non reconnu. 1961 : procès d’Hadolf Eichman = retour de la mémoire juive (« Shoah » = cata en hébreu) 70 : shoah s’affirme mais thèses négationnistes + attentats antisémites (années 80) 1985 : mémoire juive triomphe

importantes, les génocides sont aggravés, la mobilisation et la propagande accentuées, la violence sans pitié. C’est une guerre technique et industrielle qui se développe. Mais en quoi cette Seconde Guerre Mondiale fut-elle une guerre d’anéantissement, et comment expliquer une telle violence ? Nous allons tout d’abord voir que les soldats sont prêt à tout pour gagner la guerre, puis nous allons expliquer comment expliquer se déchaînement de violence et enfin, nous allons parler du génocide des Juifs et

cessation des fonctions. B- L' exhaustivité des réserves véritable renfort du statut protecteur. – article 53-2 de la C° (loi constitutionnelle du 8 juillet 1999) admet la juridiction de la Cour pénale internationale (crime contre l'humanité, génocide, crime de guerre). – Article 68 de la C° : en cas de destitution par la Haute Cour, le Président de la République redevient un justiciable lambda. II- La responsabilisation politique encadrée du Président de la République. Dans une «

vers d’autres pays africains en raison de conflit ethnique. Ce problème a débuté il y a quelques années et existe encore, il essaie d’être réglé de façon diplomatique. Tout débute en 1994 avec l’assassinat du président rwandais Habyarimane : le génocide commence. Un mépris entre Tutsis et Hutus entraîne la mort de plus de 900.000 individus, majoritairement des Tutsis, en quelques semaines. Pour sauver leur peau, le peuple Tutsi n’as aucun choix, mais que de se réfugier dans des pays voisins. La

de passagers. Enfin, la Grande Guerre comporte aussi des violences contre des peuples entiers, le samedi 24 avril 1915, à Istanbul, capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C'est le début d'un génocide, le premier du XXe siècle. Il va faire environ 1,2 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc.