Gérard Genette

échange leur nom pour officialiser le fait qu’ils ont échangé leurs rangs. Ainsi Arlequin devient Iphicrate et Iphicrate devient Arlequin ou Hé, l’autre nom d’Arlequin. Tout ceci est révélé par une mise en abyme. Dans le second extrait, de Jean Genet, Les Bonnes, nous pouvons distinguer qui est le maître ou en l’occurrence la maîtresse car les servantes sont là pour la servir. De plus tout au long du texte, les servantes Solange et Claire récitent les bonnes grâces de Madame et prie pour elle

Introduction : La pièce Les Bonnes est la première pièce de Jean Genet à avoir été jouée. Lors de sa création, en 1947, elle faisait l’ouverture d’une pièce de Giraudoux et n’a, par conséquent, pas reçu un accueil favorable de la part du public. D’autant plus que le sujet de cette pièce, deux bonnes désirant tuer leur maîtresse, dérangeait les spectateurs, quelques années après la terrifiante affaire des sœurs Papin. La pièce commence par ce que les bonnes appellent la « cérémonie » : il s’agit

Jean Genet Il nait le 19 décembre en 1910 à Paris et meurt le 15 avril en 1986 à Paris. Jean Genet est abandonné dès la naissance par sa mère, il est recueilli par l’assistance publique et adopté par une famille du Morvan. Il a commis des vols, à l’adolescence il était rebelle et marginal, il se retrouva dans la colonie pénitentiaire de Métray et en prison à plusieurs reprises. Il est devenu écrivain, poète et auteur dramatique. Son premier roman Le condamné à mort est écrit en 1942.Par la suite

Intro : Jean Genet est un dramaturge français du XXème siècle écrit les bonnes alors qu’il a découvert les horreurs de la Seconde guerre mondiale qui anéantit la France et toute l’Europe. Dans cette œuvre l’auteur ne fait pas un plaidoyer de son personnel de maison, mais nous fait parvenir du mal que peut provenir de l’espèce humaine. En effet, pendant la guerre, il découvrit un sadisme extrême chez les soldats, qui tuaient leurs ennemis de façon terrible. Ainsi, nous verrons comment Jean Genet fait de

17/10/14 CHERKAOUI Kawtar 1ere S07 Commentaire Les bonnes piece de jean Genet, publiée en 1947 est une piece tirée de faits réels divers. C'est la tentative échouée de meurtre entreprise par Solange et Claire, les deux bonnes d'une narcissique, hautaine et détestable maitresse, étant la cible. Ce commentaire se porte sur une scène se situant au debut de la pièce, c'est un passage important où l'on découvre les deux soeurs, personnages principales, ancrées dans un jeu de rôle inattendue dans lequelle

fouille les deux poches de La Flèche. On peut voir aussi que l'acteur qui joue La Flèche sur la photo, a la bouche ouverte on peut penser qu'il commence a dire sa réplique : " La peste soit de l'avarice ... ". Image de la pièce de Théâtre de Jean Genet, Les Bonnes, avec Claire et Solange, Acte I, scène 1. " Solange s'accroupit sur le tapis et, crachant dessus, cire les escarpins vernis. Je vous ai dit, Claire, d'éviter les crachats. Qu'ils dorment en vous, ma fille, qu'ils y croupissent

Carole Guidicelli SÉQUENCE 1RE Les Bonnes de Genet sur la scène Étape 1 – Séance 1 : Contexte et structure de l’œuvre ÉLÉMENTS DE RÉPONSES DE LA SÉANCE 1 : L’ŒUVRE ET SON CONTEXTE 1- La structure de la pièce Tous les événements ou micro-actions mentionnés dans la pièce (arrestation puis relaxe de monsieur, entrée de Madame décidée à renoncer au monde puis ressortant retrouver Monsieur, préparation du tilleul empoisonné, etc.) correspondent à une seule action dramatique : le projet d’assassinat

Les bonnes de Genet, réaliste, irréaliste ou simplement étrange? C’est en 1947 que Jean Genet publie Les bonnes, une pièce de théâtre digne de la marginalité de cet auteur. Elle raconte l’histoire de deux bonnes, Claire et sa sœur aînée, Solange. Sous leur apparence dévouée et honnête, les deux sœurs haïssent leur maîtresse, une femme fortunée, que l’on appelle Madame. Elles auront comploté pour faire enfermer Monsieur, l’amant de Madame, par des lettres de dénonciation, se vêtiront des robes

médite avant d’être transférer en prison Apollinaire à lui rédiger une série de poème assez court, intitulé « A la santé » en 1911, il les publie dans Alcools en 1920. Il y raconte chronologiquement son séjour en prison Le condamné à mort de Jean Genet Puis, Robert Brasillach en 1945 à écrit « La mort en face » extrait du recueil Poème de Fresnes, il parle de ses pensées envers ses proches et de ses regrets. Pour conclure, Albertine Sarazzin écrit en 1954-1955 « Il y à des mois que j’écoute »

Texte étudié : Les Bonnes de Jean Genet de la page 15 à la page 32. Jean Genet (1910-1946) est l’auteur de Les Bonnes. Son parcours est quelque peu atypique. En effet, sa vie fut plutôt décousue. Tout d’abord ne connut pas sa mère qui l’abandonna à la naissance et vécu donc dans une famille adoptive. Très tôt il développa un caractère asociale et commença à voler. Il commença à rédiger ses premiers textes dans sa maison d’arrêt qui furent sévèrement réprimer. Il écrivit les Bonnes en 1947 en