Gérard Nerval Odelettes

salut Présentation à l’oral de la nouvelle : Le château du diable de Gérard de Nerval -L’histoire se situe dans une maison faite des débris d’unancien couvent de Chartreux lui-même bâtit à partir des ruines du château de Vauvert. -Elle se déroule à l’époque de Louis XIII, au début du 17éme siècle.-Elle est racontée par un narrateur externe dont on ne connait pas l’identité -Elle relate l’histoire d’une maison hantée et du courage d’un sergentde la prévôté. -Le fantastique se présente sous

Le rêve peut donc être pris en compte sérieusement, être traité, avoir une utilité, soit artistique, soit scientifique. Dans cette troisième et dernière partie, nous étudierons l’utilité du rêve. Tout d’abord dans sa dimension artistique. Gérard de Nerval (1808-1855): Considéré comme l'un des précurseurs du surréalisme par André Breton (j'y reviendrais plus tard). Poète et romancier français. Sa nouvelle « Aurélia ou le rêve et la vie » (1855) est un très bon exemple d'une actualisation artistique

Gustave Flaubert ( 1821 -1880 ) Madame Bovary ( 1856 ) Guy de Maupassant ( 1850 - 1893 ) Bel-Ami ( 1885 ) Emile Zola (1840 - 1902 ) Les Rougon-Macquart ( 1871 - 1893 ) Poésie Alphonse de Lamartine ( 1790 - 1869 ) Méditations ( 1820 ) Gérard de Nerval ( 1808 - 1852 ) Les Chimères ( 1854 ) Paul Verlaine ( 1844 - 1896 ) Poèmes Saturniens ( 1866 ) Arthur Rimbaud ( 1854 - 1891 ) Une Saison en Enfer ( 1873 ) Charles Baudelaire ( 1821 - 1867 ) Les Fleurs du Mal ( 1857 ) Théâtre Victor Hugo

celui-ci, une pension de Louis XVIII. Chef de fil d’un groupe de jeunes écrivains, il publie en 1827 sa 1ère pièce de théâtre en vers : « Cromwell », puis « Orientales » et « Hernani ». Il s’impose comme porte- parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier. En 1831 il publie son 1er roman historique : « Notre Dame de Paris » et en 1838 son chef d’œuvre romantique : « Ruy Blas ». En 1841 il est élu à l’Académie française. En 1843, la mort de faille Léopoldine le déchire et le pousse

« avec motifs » est-il si limité que cela ? Le voyage touristique ; exemples : Victor Hugo qui voit passer à toute vitesse les gens en voiture, pressés d’arriver : la destination est plus importante que le voyage en lui-même. Les Anglais de Gérard de Nerval qui se déplacent avec leur propre culture et leurs préjugés. Le voyage qui a pour but de dispenser sa propre culture pour « civiliser », ou commandité par les monarques pour la même raison ; exemple : JJ Rousseau qui critique toutes sortes

Comme une vive alouette Dans le ciel clair a chanté. Va donc, chanson ingénue, Et que, sans nul regret vain, Elle soit la bienvenue Celle qui revient enfin. 4 Gérard de Nerval Petits châteaux de Bohême  FANTAISIE   Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart, tout Weber ; Un air très-vieux, languissant et funèbre, Qui pour moi seul a des charmes secrets. Or, chaque fois que je viens à l’entendre

Alors qu’il est encore élève au lycée Louis Le Grand à Paris, il se fait connaître en publiant son 1er recueil de poèmes : Odes et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Il s’impose comme porte- parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier. En 1841 il est élu à l’Académie française. Après la mort de sa fille : Léopoldine, il entame une carrière politique et prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux...

pèlerin », 1763. dernière page, « le lendemain…les deux carolus qu’il vous a coûté. » Introduction Jacques Cazotte (1719-1792) est surtout connu pour son Diable amoureux (1772). Lu et relu par des générations de lecteurs, et remis à la mode par Gérard de Nerval à l’époque romantique. Précurseur du récit fantastique, ses écrits puisent aussi dans les formes les plus reculées de la littérature de langue française du moyen-age, épopées et fabliaux… « La gaieté m’entraine, elle m’égare, elle veut que je

grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ; Puis une dame à sa haute fenêtre, Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, Que, dans une autre existence peut-être, J’ai déjà vue…et dont je me souviens ! Gérard de Nerval, Les Chimères, 1854 Texte B Un rhume qui n’en finit pas Quand on examine le vaste monde ses beautés ses tristesses et ses aléas on se demande on se demande à quoi rime tout cela mais qui mais qui donc tousse là ? le jour se transforme

plusieurs fois que les moments ne se succèdent pas, ce ne sont pas des intervalles coupés , les moments se recoupent , sont intiment liés. ce qui peut être illustré par l’œuvre de Woolf où Peter revoit la jeune Sally lorsqu'il l'entend parler, et chez Nerval, le narrateur revoit, quand il revient plusieurs années après , la même Sylvie qu'autrefois, la même qu'il avait connu dans le passé. Bergson nous explique aussi que le temps n'est pas extérieur à soi, c'est quelque chose qui est interne, que l'on