Habib Bourguiba

Caisse Mutuelle de Crédit Agricole, la Caisse Foncière et les Sociétés Tunisiennes de Prévoyance et adapté aux structures du Protectorat. La banque Nationale Agricole a été solennellement inaugurée par l'ex-Président de la République Tunisienne Habib Bourguiba, le 10 octobre 1959. Par la création de la BNA, le Gouvernement a voulu unifier le crédit agricole et encourager le développement de l'agriculture. Dix ans après, la croissance spectaculaire de l'activité de la BNA et son importante participation

premières contestations des Empires coloniaux apparaissent dans les années 1920-30 grâce à l'initiative de membres des élites indigènes qui se sont formées et occidentalisées dans les universités des grandes métropoles. C'est le cas du tunisien Habib Bourguiba qui a suivi des études à la Sorbonne puis à l'IEP de Paris avant de devenir avocat, profession également exercée par les indiens Gandhi et Nehru qui ont fait leurs études à Londres. L'indonésien Soekarno est ingénieur, et à la tête du mouvement

une faible partie de la population colonisée ,il n'en reste pas moins qu'une infime minorité a poussé ses études jusqu'au niveau de l'enseignement supérieur .C'est ainsi qu'en Inde Gandhi, Nehru et Ali Jinnah deviennent avocats comme en Tunisie Habib Bourguiba tandis qu'en Indonésie Soekarno obtient le titre d'ingénieur et qu'en Algérie Ferhat Abbas mène à son terme ses études de pharmacien.
Cette élite se forme grâce à son envoi dans les Universités des métropoles coloniales .Elle s'imprègne des notions

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(on est dans le contexte de la guerre d’Algérie après la perte de l’Indochine), ce n’était que deux protectorats : le Maroc obtient son indépendance dès le 2 mars 1956, la Tunisie le 20 mars 1956 (elle était autonome depuis 1954) dirigée par Habib BOURGUIBA et le Néo Destour. Discours 4 p.149 « discours de Carthage » de Pierre Mendès France Pour autant, il ne faudrait pas penser que la violence fut absente de l’Afrique ; on l’a vu pour Madagascar en 1947 ; en 1963, les Britanniques accordent

francophone qui ait jamais figuré aux programmes d’agrégation est Léopold Sedar Senghor, en 1987, et de plus c’était en littérature française et non en littérature comparée. Et l’on sait aussi que Senghor, qui fut l’un des promoteurs en 1962, avec Habib Bourguiba, de ce concept de francophonie, en représente la version la plus officielle et la plus coupée du réel, dans sa généreuse et suspecte utopie, puisqu’il le définit comme « cet Humanisme intégral qui se tisse autour de la terre, cette symbiose des

de la non-violence. De nombreux partis, futurs cadres politiques de l’action nationaliste, se créent également : dans les Indes néerlandaises, le Parti nationaliste indonésien (PNI), fondé par Sukarno en 1927 ; en Tunisie, le Néo-Destour, par Habib Bourguiba en 1934 ; en Algérie, l’Étoile nord-africaine (1926), puis le parti du Peuple algérien (1936), par Messali Hadj. Dans le même temps, l’essor du communisme dans les colonies entraîne la fondation de nombreux partis communistes, tel celui du Viêt Nam

1968). Au nom du Peuple, Nous, Habib Bourguiba, Président de la République Tunisienne, L'Assemblée Nationale ayant adopté, e Tu n isi en ne 3 1955, relatif au statut de l'enfance délinquante et le décret du 13 mars 1957 réglementant la libération conditionnelle. Fait à Carthage, le 24 juillet 1968. Le Président de la République Tunisienne Im pr im 4 er ie O ffi cie lle de la Ré pu b liq u e Habib Bourguiba Tu n isi en ne La

vous n'échapperez pas à une sorte d'envoûtement né des sonorités des violons, luths et tambourins. | TUNIS… UN LIEU… UN CARREFOUR | Tunis change, mais la fièvre qui bouleverse le cors de la cité n'affecte en rien l'âme de la ville. L'avenue Habib Bourguiba, promenade agréable plantée de ficus, égayée par le pépiement de milliers d'oiseaux, parfumée par les étalages des fleuristes, permet de traverser Tunis et d'en sentir l'âme à travers l'architecture : immeubles baroques du " novecento ", façade

francophonie - terme employé pour la première fois par le Français Onésime Reclus pour désigner les espaces géographiques où la langue française était parlée » Sous l’impulsion de trois chefs d’État africains, Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Habib Bourguiba de Tunisie et Hamani Diori du Niger, mais aussi du Prince Norodom Sihanouk du Cambodge, les représentants de 21 États et gouvernements ont signé à Niamey, le 20 mars1970, la convention portant création de l’Agence de coopération culturelle et