Haïku

pas de poème, pas de chant rien que la pluie (White, 1990 : 69) Un Haïku. Le Japon. Un poème et la pluie. Cela exprime en synthèse la démarche et la pensée de Kenneth White qui se plonge dans le monde de la poésie, de la vie et de la philosophie japonaise, à travers son pèlerinage vers le «  Nord Profond ». Un Haïku. Bashô. Kenneth White part en 1985 au Japon pour refaire le parcours du fondateur des Haïkus, Bashō Matsuo. Bashô, né en 1644, reprend la route cinq ans avant sa mort, à

reprend chaque caractéristique pour la détourner. b) L’expression de la passion de Yuko. La structure des propos de Yuko. Des éléments montrent qu’il agit et parle comme un poète. Il parle par groupe de 3 phrases, comme les 3 vers dans les haïkus. Yuko montre sa passion pour la neige. Il est question de sa « compagne » donc personnification. Relation d’amour. Manière d’évoquer la neige : phénomène de répétition, proche de la poésie : anaphore pour parler de la neige « elle » à chaque

de poèmes soit repris plus tard, il dénote un certain classicisme très apprécié à cette époque. Le second poème est un haïku, poème japonais en trois vers qui traite de façon concise mais profonde, des sentiments, des émotions et des moments heureux ou non de l’existence de l’auteur. Celui présenté ici a été écrit par Munefusa Matsuo dit Bashô, auteur de deux mille haïkus et considéré comme un des maîtres du genre au Japon. De par sa subjectivité, le poème peut être compris de différentes façons

écrit des romans pour la jeunesse, des recueils de poésies dont des haïkus et des romans pour adultes. En 2006, il a obtenu le prix Grand-Pré pour l'ensemble de son œuvre et en 2007 le prix Émile-Ollivier remis par le Conseil supérieur de la langue française à Québec. Poésie Mon île muette, recueil de haïkus, Éditions David, Ottawa, 2001 L’absence au jour, poésie, Éditions David, Ottawa, 2002 New York loin des mers, recueil de haïkus, Éditions David, Ottawa, 2002 Partir comme jamais, poésie, Éditions

de Soseki – et même de réunion – celle de Soseki et de Neige à la fin du récit. Vie et mort semblent inextricablement liées dans cet espace qui est aussi celui de l’inspiration dès l’orée du romanÞ: Yuko s’y rend quotidiennement pour composer ses haïkus. Lieu panoramique par excellence, elles permettent au jeune poète de contempler «Þla splendeur du mondeÞ» (chap.Þ4). «ÞPortes du cielÞ», elles semblent représenter l’accès à la beauté et à l’inspiration poétique. •ÞEnfin, il suffira de récapituler

trouver de nouvelles couleurs et pour se faire de rejoindre un homme qui possède les plus grandes connaissances artistiques, Soséki. Yuko part à la recherche des couleurs de la neige, élé- ment qui le fascine et à partir duquel il compose tous ses haïkus. En traversant les montagnes, il fait une découverte. Il tombe éperdument amoureux du corps d'une jeune fille européenne, à la beauté diaphane, prisonnière des glaces depuis longtemps. Sa rencontre avec Soséki, ancien samouraï, vieux peintre aujour-

ensemble cohérent, porteur de sens et utilisant les structures propres à une langue (conjugaisons, construction et association des phrases...)[1]. Un texte n'a pas de longueur déterminée sauf dans le cas de poèmes à forme fixe comme le sonnet ou le haïku. L'étude formelle des textes s'appuie sur la linguistique qui est l'approche scientifique du langage. Je sais pas quoi écrire désolé je suis en galère! Voici un texte de Nietzsche: Aussi longtemps que nous ne nous se ton pas dépendre de

Yuko Akita. Il est issu d’une famille noble constitué de prêtre et de guerrier. Il écrivait 77 haïkus pendant l’hiver et le reste du temps il méditait. Le jour arriva de choisir son métier entre les deux métiers traditionnel de la famille, contre la volonté de père il choisit le poème. L’empereur avait entendu parler de son talent donc il a envoyé le poète de la cours chez Yuko. Malheureusement, ses haïkus étaient désespérément blancs donc le poète de la cours proposa d’aller chez Soseki, le maître

j’aie composée pour chœur d’enfants, quelques années après les Cantos verticales sur des textes en espagnol de l’argentin Roberto Juarroz. Elle comprend d’abord une suite de haïkus, choisis afin que le chœur d’enfants prenne le rôle du chœur antique, qui commente, explique, « plante le décor » en quelque sorte. En effet, les haïkus ont ceci de remarquable qu’ils peignent une scène, un tableau en peu de mots, qu’ils sont une sorte de photographie littéraire. Stimuler l’imagination sans l’image, avec les

amour pour Mitsuko en lui laissant un carnet.)Par la suite, l'empreur annonce la capitulation, Mitsuko se sucide. J'ai beaucoup apprécié ce roman avec ce mélange de récit et de haïku. Les haïku sont très courts mais en dit long. Nicole Roland, nous fait réellement découvrir le monde japonais avec ces haïkus très peu étudié et vu en France voire en Europe. Et le faite qu'elle les a elle-même écrit permet de transmettre son intérêt,et son implication dans ce qu'elle a écrit. De plus , J'apprécie