Hamas

présents dans tout le monde arabe]. Certains observateurs pointent des contradictions dans la politique qatarie. En réalité, il n’en est rien. Quand la rue arabe était tout entière acquise au “front du refus et de la résistance” [c’est-à-dire au Hamas palestinien, au Hezbollah libanais, au régime syrien et à l’Iran, qui affichaient une ligne d’intransigeance à l’égard d’Israël], le Qatar était le meilleur ami de ce “front”. Mais dès que le vent a tourné [depuis le début de la rébellion syrienne, l’opinion

Cedre » est menacée par un Hezbollah qui a repris I initiative et I emprise de la Syrie Le troisieme exemple est constitue par les Territoires palestiniens, ou les elections de 2006 ont conduit a la mise en place d un gouvernement controle par le Hamas, récuse aussitôt tant par la communaute internationale que par Israel et le Fatah Ainsi, ces trois tentatives de demo cratie ont elles tourne court et se sont elles traduites par un blocage des institutions, une poussée de I influence islamiste et

autoritaire, corruption, soumission aux grandes puissances). Face à cette situation des mouvements ou partis fondamentalistes prônent un retour aux sources de l’islam. Ces mouvements fondamentalistes (Frères musulmans en Egypte, Hezbollah au Liban, Hamas en Palestine, FIS en Algérie, Jemaah Islamiya en Indonésie, talibans en Afghanistan) réclament parfois l’instauration de théocraties inspirées de la charia et n’hésitent pas à recourir à la violence, glissant ainsi vers l’islamisme radical, pour

pays depuis 2002), ou le recours à la violence. Les islamistes interviennent ainsi dans la guerre civile du Liban (Hezbollah, « Parti d'Allah », mouvement pro-iranien fondé après l'invasion israélienne de 1982), dans le conflit israélo-palestinien (Hamas, Djihad islamique). Enfin, depuis la fin des années 1990, un nouveau courant islamiste, s'appuyant sur le néofondamentalisme, se développe surtout dans les communautés musulmanes émigrées et déracinées. Sans projet politique précis, il se fonde sur

2000 (refus de céder Jérusalem), retour du terrorisme, corruption  2e Intifada + musulmane (2000 ?), construction du mur de sécurité Israël / Palest. -Aggravation : mort de Y Arafat (2004), divisions chez les Palestiniens (Fatah  négociation ; Hamas –> contre Israël, occupe la Bande de Gaza en 2007), situation dramatiq, lassitude. Synthèse : crises israélo-arabes terminées par une reconnaissance mutuelle, mais apaisement fragile, notamment à cause du pb des réfugiés, la Guerre du Golfe et la crise

B. Le terrorisme : une arme médiatique Conclusion Bibliographie Introduction : Même si actuellement l’emploi du terme terrorisme nous fait simplement penser aux activités de groupes extrémistes comme Al Qaida, le Hezbollah ou le Hamas, il convient d’outrepasser cette vision réductrice afin de mieux comprendre les interactions existantes entre Etat et terrorisme. Tout d’abord, rappelons que l’origine du terme « terrorisme » remonte à la période de la Révolution Française. Il

sanglants contre elles. o Dans le même temps, la situation se radicalise en Israël en raison aussi de l’intensification de la colonisation juive. L’influence de l’islamisme favorise la naissance de mouvements palestiniens islamistes, le Hamas et le Djihad islamique qui concurrencent l’OLP. En 1987, l’OLP lance l’Intifada ou la guerre des pierres. les trois nouvelles zones de la crise au Moyen -Orient : la révolution iranienne : o Effritement du pouvoir du Shah qui, malgré

l'interception de missiles de moyenne et longue portée (70 à 250 kilomètres), y compris des missiles de croisière. Pour Israël, il s'agit d'une parade face à la menace potentielle de missiles tirés du Sud- Liban par le Hezbollah, voire de Gaza, par le Hamas. En matière de vecteurs, il faut aussi mentionner les MANPADS (missiles à guidage infrarouge tirés sur l’épaule) qui constituent une menace réelle pour tous les aéronefs pendant les phases de décollage et d’atterrissage (Kenya, 2002, attaque contre

Jordanie. De plus, un an après la guerre, la situation économique de Gaza est désastreuse et la plupart des 1,5 million de Gazaouis continuent de lutter pour reconstruire leur vie et leur économie. Le blocus, qui avait commencé en juin 2007 après que le Hamas a pris le contrôle de la Bande de Gaza, a fortement aggravé la pauvreté, contribuant à rendre 80% de la population dépendante de l’aide. Les entreprises et les fermes ont été contraintes de fermer et de renvoyer leurs ouvriers. La situation ne s’est

autoritaire, corruption, soumission aux grandes puissances). Face à cette situation des mouvements ou partis fondamentalistes prônent un retour aux sources de l’islam. Ces mouvements fondamentalistes (Frères musulmans en Egypte, Hezbollah au Liban, Hamas en Palestine, FIS en Algérie, Jemaah Islamiya en Indonésie, talibans en Afghanistan) réclament parfois l’instauration de théocratie inspiré de la charia et n’hésitent pas à recourir à la violence, glissant ainsi vers l’islamisme radical, pour imposer