Hamas

Dans l’agenda géopolitique dominant: celui Des néoconservateurs américains qui ont divisé les Proche et Moyen-Orient entre « pays arabes modérés » (Egypte, Jordanie et monarchies pétrolières) et« forces de l’axe du mal »(Iran, Syrie,Hezbollah et Hamas). Sur cette crise syrienne en particulier, l’information cède trop souvent le pas aux Contraintes de cette idéologie dominante qu’il est désormais de bon ton de qualifier de Mainstream. Il ne diffuse que des informations à charge contre le régime

prosélytisme dangereux, une certitude émerge : l'islam est une religion suspecte. Suspecte car les pires régimes politiques actuels s'en réclament (Arabie Saoudite, Iran, Soudan, etc.), tout comme des mouvements extrémistes porteurs de chaos (Al-Qaida, Hamas) ; suspecte aussi, et bien évidemment, pour des raisons propres aux sociétés occidentales, traversées par des vents racistes en réaction au multiculturalisme et par une mauvaise digestion des passés coloniaux. Le radicalisme religieux (et plus généralement

sont émis à l'encontre des dirigeants des Frères musulmans. Le 5 juillet 2013, le Parlement est dissous. Le 26 juillet 2013, l'armée déclare que Mohamed Morsi est en prison dans l'attente de son procès pour collusion avec le mouvement palestinien du Hamas. Contexte politique : Les élections présidentielles égyptiennes de mars 2018 n'ont pas posé de problème à la réélection du président sortant Abdel-Fattah el-Sissi avec 97% des voix. En 2019, un référendum constitutionnel a permis au président

Ainsi pour un militant du FFS : « Le monde tend à se coaliser au niveau économique, politique et géostratégique…de ce point de vue, ça ne va pas réussir si on fait notre bout de chemin seul ». On retrouve ce raisonnement chez un militant du MSP (Hamas) : « Avec la mondialisation, nous sommes obligés de nous coaliser, le monde entier se coalise…les pays de l’UMA négocient individuellement, je cite le cas des accords d’associations et de l’OMC. Or, pour être puissante, l’Algérie doit avoir une UMA

s'est enlisée ; Les extrémistes des deux camps ont saboté les accords : Le premier ministre israélien Itzhak Rabin, signataire des accords, a été assassiné par un extrémiste israélien en novembre 1995. Du coté palestinien, le mouvement islamiste Hamas rejette les Accords d'Oslo, et s'est efforcé de les torpiller par des attentats. A l'automne 2000, l'enlisement complet des négociation et quelques provocations débouchent sur une nouvelle « Intifada », à l'issue incertaine. Conclure? C'est

n’écoutera pas les faucons de sa majorité politique, qui réclament une opération « Plomb durci bis », en référence à la guerre de Gaza de l’hiver 2008. Les représailles qui vont être lancées contre la bande de Gaza devraient rester « limitées » si le Hamas arrive à faire entendre raison aux groupes radicaux, tel le Djihad islamique, responsables de la plupart des tirs de roquettes UK price £ 1,50 Editorial (vingt-cinq en une semaine). Le risque est que ceux-ci, comme une partie de la jeunesse

souveraines en Europe. Elle disparaît sans laisser de regrets. 17 Octobre : François Hollande est officiellement déclaré candidat du PS à l’élection présidentielle de 2012. 19 Octobre : Le soldat franco-israélien Gilad Shalit est libéré par le Hamas dans la bande de Gaza, après 5 ans de captivité. 24 Octobre : Les Bleus perdent la Coupe du Monde de rugby en finale face aux All Blacks en Nouvelle Zélande. 2 Novembre : Economies au point mort, engrenage de la dette, émeutes en Grèce et Bourses

Ezra Benhaïm) sont Israéliens. Le capitaine Moshè, agent de police chargé de vérifier si Amine avait des contacts avec les terroristes, personnifie le préjugé anti-arabe : « Pour moi, tous ces fumiers se valent. Qu’ils soient du Jihad islamique ou du Hamas, ce sont les mêmes bandes de dégénérés prêtes à tout pour faire parler d’elles » (A, 42). On pourrait croire que le portrait de ce personnage, associé à celui du militaire qui ordonne froidement l’expropriation de la tribu, tendent à donner une image

de cette chaîne déchaînée des valeurs, on nomme le mur antiterroriste «mur de la honte» où l'on devrait qualifier les attentats-suicides quotidiens de «résistance de la honte». Au bout du bout, on applaudira le gouvernement d'union nationale Fatah-Hamas avant de soutenir, pourquoi pas? la candidature d'une autorité terroriste à l'obtention d'un siège aux Nations Unies. La discrimination psychologique pourrit la vie autant que peut le faire la discrimination économique. Bien sûr, il y a une élite d'origine

Cèdre » est menacée par un Hezbollah qui a repris I initiative et I emprise de la Syrie Le troisième exemple est constitue par les Territoires palestiniens, ou les élections de 2006 ont conduit a la mise en place d un gouvernement contrôle par le Hamas, récuse aussitôt tant par la communauté internationale que par Israel et le Fatah Ainsi, ces trois tentatives de démocratie ont elles tourne court et se sont elles traduites par un blocage des institutions, une poussée de I influence islamiste