Hameau de la Reine

se passe dans le faubourg Saint-Germain. Sauf deux ou trois exceptions qu’il est inutile de nommer, la plupart des artistes sont, il faut bien le dire, des brutes très adroites, de purs manœuvres, des intelligences de village, des cervelles de hameau. Leur conversation, forcément bornée à un cercle très étroit, devient très vite insupportable à l’homme du monde, au citoyen spirituel de l’univers. Ainsi, pour entrer dans la compréhension de M. G., prenez note tout de suite de ceci : c’est que

_________________________________________________________________________________ “As I lay dying” (1930) “Tandis que j'agonise” Roman de 180 pages Nous suivons, dans une famille rurale pauvre, le «clan Bundren», les derniers moments, la mort et le dernier voyage de la Mère, la «reine Addie Bundren». Dari, le fils que l'on dit bizarre, et Jewel, son frère, reviennent des champs. Cash, l'aîné, un excellent charpentier, scie et cloue toute la journée. Il prépare le cercueil de sa mère qui, de son lit, l'observe tandis qu'il lui

• Dix-huitième jour, les pluies torrentielles ralentissaient l'avancée de l'expédition (le) • Dix-huitième trou (le) • Dixième bain, dixième whisky • Domaine des géants (le) • Dompteurs de vent (les) • Don du Roi et de la Reine • Donjons et poupons • Dos au mur • Douane flottante • Double casquette • Double foyer • Double jeu • Double tentation • Douce nuit de plus (une) • Doucement gratte le bureaucrate • Douceur à l'état

Comme aux pieds d’une reine un chat voluptueux. J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ; Parcourir à loisir ses magnifiques formes ; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s’étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l’ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au pied d’une

lu (concession) placées chacun sous l’autorité d’une matrone (dyalè-muso). Ces lu étaient selon Dèm, au nombre de 33 à Dabakala, durant les dernières années. Ils étaient regroupés en un petit village un peu à l’écart de la concession du maître. Ce hameau était placé sous les ordres d’un marabout âgé, choisi pour son calme et son bon sens, et qui ne rendait compte qu’à Samori lui-même. Il avait fort à faire. Chaque matin, en effet, il présidait au partage entre les lu des provisions de la journée,

Comme aux pieds d‘une reine un chat voluptueux. J‘eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux; Parcourir à loisir ses magnifiques formes; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s‘étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l‘ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au pied d‘une

Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux. J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son coeur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ; Parcourir à loisir ses magnifiques formes ; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s'étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l'ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au pied d'une

et le caractère. Ce fut Dussuel qui, en 1786, soigna le dauphin, atteint d’une légère scarlatine. Une voiture de la reine allait tous les jours à Lucienne le prendre dans la maisonnette où il vivait pauvrement avec ses livres et son herbier, comme un disciple de Jean-Jacques. Un jour la voiture rentra vide au palais ; le médecin avait refusé de venir. A la visite suivante, la reine irritée lui dit : « vous nous aviez donc oubliés, monsieur ! — Madame, répondit Dussuel, vos reproches m’offensent ;

aux pieds d'une reine un chat voluptueux. J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux; 21 Parcourir à loisir ses magnifiques formes; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s'étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l'ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au pied

Comme aux pieds d’une reine un chat voluptueux. J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ; Parcourir à loisir ses magnifiques formes ; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse, la font s’étendre à travers la campagne, Dormir nonchalamment à l’ombre de ses seins, Comme un hameau paisible au pied d’une