Hamilton Le Fédéralisme

The Star-Spangled Banner »), facteur de diversité ou d’intégration (le reggae, le rap et la culture hip-hop), l’influence de l’Inde sur la pop et le rock anglais ; les comédies musicales (West Side Story, Porgy and Bess, The Mikado, My Fair Lady, Hamilton, etc.) ; la littérature (l’anglais comme langue première d’écriture en Afrique anglophone ou en Inde par exemple), ces « nouvelles littératures » ayant renouvelé et dynamisé le monde de l’édition et des lecteurs ; les festivals (Eisteddfod gallois

Etats fédérés. Mais elles ne dénaturent pas le principe même du monopole fédéral. Elles sont étroitement spécialisées et originairement autorisées comme principe par la constitution fédérale elle-même (50). 48 Georges Scelles a distingué les fédéralismes par agrégation et par ségrégation. Dans la première hypothèse une pluralité d'Etats s'unissent en un Etat fédéral.(USA 1777-1787; ex. URSS; Suisse). Dans la seconde un Etat se décompose en une pluralité d'Etats, indépendants et séparés (exemple

des Etats fédérés. Mais elles ne dénaturent pas le principe même du monopole fédéral. Elles sont étroitement spécialisées et originairement autorisées comme principe par la constitution fédérale elle-même (50). 48 Georges Scelles a distingué les fédéralismes par agrégation et par ségrégation. Dans la première hypothèse une pluralité d'Etats s'unissent en un Etat fédéral.(USA 1777-1787; ex. URSS; Suisse). Dans la seconde un Etat se décompose en une pluralité d'Etats, indépendants et séparés (exemple

faut renforcer le pouvoir fédéral d'où son nom de « fédéraliste ». Elle suggère que l'État ne peut se passer d'un exécutif efficace25. Les fédéralistes, pour la plupart d'origine aristocratique, se méfient du peuple. Leur chef de file estAlexander Hamilton, secrétaire au Trésor du cabinet formé par George Washington. Le second courant de pensée regroupe les républicains qui défendent l'idéal d'une république de petits propriétaires, libres et égaux, ne devant rien à personne. Attachés à la liberté

contre cette logique majoritaire. Un gouvernement libre est un gouvernement qui peut contrôler les desseins, les projets d'une majorité. S’il y a une majorité, il y a un risque de domination, d'un abus de pouvoir. Il faut une majorité respectable (Hamilton, mais qu'est ce qu'une majorité respectable ?), c'est-à-dire celle qui s'est formée en s'efforçant de prendre en compte tous les intérêts particuliers sur la question débattue. Même si en apparence le système américain semble majoritaire, en réalité

§1 : L’effondrement du contrôleA)    Le contexte constitutionnel américainLa Constitution des USA adoptée le 17 septembre 1787 suite à la convention de Philadelphie, ne prévoit pas de contrôle des lois. Les constituants, les pères fondateurs, dont Hamilton, connaissaient la possibilité d’un tel contrôle, la Constitution américaine précise dans son article 3 section 1 que  le contrôle est dévolu à une Cour suprême et aux Cours inférieures que le congrès pourra crée.La Constitution fédérale pose également

de la population de l'Amérique du Nord britannique. Une immigration massive de la Grande-Bretagne et de l'Irlande vers le Canada se fait sentir en 1815, où les immigrants s'installent notamment sur la péninsule du Niagara et dans les environs de Hamilton joignant ainsi les Loyalistes arrivés en 1784. En cette même année, la ville de Drummondville est fondée à mi-chemin entre Trois-Rivières et la ville de Sherbrooke (peuplée en 1793 par les Loyalistes) afin d'établir un poste de surveillance sur la

regroupant guère plus de 20% de la population totale. Pourtant, le Sénat dispose en matière législative d’autant de pouvoirs que la Chambre des représentants (bicamérisme égalitaire). En Allemagne, le Bundesrat est fidèle au modèle originel du fédéralisme, puisqu’il est composé de membres désignés par les gouvernements des Lander, mais il est vrai que son pouvoir législatif est inférieur à celui du Bundestag. C) : Principe d’autonomie Les Etats fédérés disposent d’une autonomie constitutionnelle;

démontrer le bien fondé ou l’intérêt supérieur qu'il y aurait a mettre en place un État fédéral. Dans le fédéraliste, HAMILTON développe la 1ère argumentation moderne en faveur du contrôle de constitutionnalité car il soutient que le parlement peut mal faire comme l'illustre à cette époque la législation britannique qui a été à l'égard des colonies qui deviennent les EU d'Amérique. HAMILTON essaye de montrer qu'il serait bon que le parlement, le législateur, voit son travail contrôlé. Il termine un de

retrouve des aspects de la culture lyonnaise (Lyon étant sa ville natale) dans ses plans, plus particulièrement le régionalisme qui prônait la revitalisation de la culture locale et concernait de ce fait les questions politiques plus vastes de fédéralisme et de la décentralisation. Garnier appartenant de longue date à la Société des amis d’Emile Zola, il est certain qu’il avait lu le roman socialiste utopique Fécondité et l’article sur l’Affaire Dreyfus parus tous deux dans le journal l’Aurore.