Hammurabi

ces deux sortes de délits n'est jamais évidente. Le Code de Hammurabi ( vers 1750 av. J.-C. ), l'une des plus vieilles sources cunéiformes connues à ce jour - après les codes d'Urukagina ( vers 2350 ), de Gudéa ( vers 2100 ), d'Ur-Nammu ( vers  2050 ) et de Lipit-Ištar ( vers 1875 ) -, en fournit une parfaite illustration. Pas plus que dans les codes antérieurs, les dispositions législatives ne sont présentées dans le Code de Hammurabi suivant un plan logique qui puisse satisfaire les juristes modernes

de l'État lui-même. Le mot français « potence » vient d'ailleurs du latin « potentia », qui signifie puissance au sens politique du terme11. Antiquité Dès les civilisations de Mésopotamie des textes sur la peine de mort sont rédigés. Le Code de Hammurabi, texte le plus célèbre de la période, applique la peine de mort selon la loi du Talion. Ainsi, un architecte qui a réalisé une maison, laquelle s'est effondrée sur ses occupants, causant ainsi la mort du propriétaire, est puni de mort. Si c'est le

constitution, la loi, le traité lui est supérieur, arrêt Nicolo de 1989, en France on considère que le traité a une valeur supérieure au droit, même si cette dernière est postérieure aux traités. Le plus célèbre Code ancien date de 1730 avant JC, Hammurabi, fondateur du premier empire de Babylone. Ensuite viennent les règlements, décrets ou ordonnances, émanant d'autorités autres que le parlement, les uns se bornent t'a appliquer les lois, d'autres poses des règles générales. L'interprétation de

l’Orient ancien ont aussi “inventé” l’écriture3. De ce fait, les droits privés de l’Orient ancien ont été les premiers dans l’histoire de l’humanité, à être mis par écrit, sous forme de codes, à Sumer (UrNammu vers 2100 av. J.-C.) et à Babylone (← Hammurabi vers -1750). Ces textes révèlent un droit privé archaïque, en ce qui concerne l’autorité paternelle, l’infériorité de la femme (sauf en Egypte) ou les rigueurs du droit pénal (peines corporelles fréquentes, de mort ou mutilation, même si le talion

générales sur la responsabilité médicale 1- Histoire de la responsabilité médicale a- L’évolution de la notion de responsabilité médicale au fil du temps : La responsabilité du médecin n’est pas une notion nouvelle. A l’époque du roi de Babylone HAMMURABI, il y a plus de 40 siècles, les babyloniens avaient un code « le code d’Hammourabi » qui comportait 282 dispositions, parmi lesquelles l’ article 218 : « Si un médecin a traité un homme libre d'une plaie grave, avec le poinçon de bronze, et a

résoudre des problèmes complexes [6] . Ils étaient capables d'utiliser des interpolations linéaires pour les calculs des valeurs intermédiaires ne figurant pas dans leurs tableaux. La période la plus riche concernant ces mathématiques est la période de Hammurabi (XVIIIe siècle av. J.-C.). Vers 1000 av. J.-C., on observe un développement du calcul vers l'astronomie mathématique[7] . Histoire des mathématiques 3 Égypte Les meilleures sources sur les connaissances mathématiques en Égypte antique

code d’Ur-Nammu (2100-2050 av JC). C’est la plus ancienne tablette contenant un code juridique qui nous soit parvenu. Dans les codes mésopotamiens, on a le sentiment que c’est Dieu qui légifère par l’intermédiaire d’un homme. Exemple : Code de Hammurabi (-1750 av JC). En 1902 une stèle a été retrouvée sur laquelle est représenté le dieu du soleil qui tient la plume, cad que c’est Dieu qui rédige. Le droit a donc une origine divine. Mais cela disparaît avec Rome. B - L’invention romaine du juriste

soucis d’ordre public on va interdire le recours à la vengeance privée tout a fait traditionnelle dans les sociétés archaïques. Les francs ont trouvés un système qui est le système de la composition pécuniaire => on trouve ce système dans le code de Hammurabi, code de Babylone. Ce tarif est très détaillé et il va contenir tout un tas de détails sur le vol, le meurtre. Exemple = le montant de la composition varie selon la nature du délit et selon la qualité de la victime => il y a trois tarifs différents

deux sortes de délits n'est jamais | |évidente. Le Code de Hammurabi (vers 1750 av. J.-C.), l'une des plus vieilles sources cunéiformes connues à ce | |jour - après les codes d'Urukagina (vers 2350), de Gudéa (vers 2100), d'Ur-Nammu (vers  2050) et de Lipit-Ištar | |(vers 1875) -, en fournit une parfaite illustration. Pas plus que dans les codes antérieurs, les dispositions | |législatives ne sont présentées dans le Code de Hammurabi suivant un plan logique qui puisse satisfaire les | |juristes

social security, and government bond repayments. From the trillions of dollars of government money that has replaced the trillions in old Federal Reserve notes and bank deposits. Sect. 303(1) establishes a rule used by several ancient money systems (Hammurabi, Hindustan, Rome and others) that the amount of interest shall never exceed the principal amount of the loan. We adopt this provision out of respect for its frequent historical appearance. An interest rate ceiling of 8% is established throughout