Hannah Arendt

 Dans son œuvre intitulé Qu'est-ce que la politique? , Hannah Arendt écrit que pendant la période antique à Rome, la societas romana devait une grande partie de son existence aux ennemis vaincus lors des campagnes. Ainsi, la volonté d'hégémonie des romains était nécessairement accompagnée d'une volonté bien plus profonde, celle d'alliances avec les autres peuples en vue de créer cette société romaine civilisée et porteuse de valeur. Elle conclue par l'affirmation suivante: «Rien ne devait arriver

prise de conscience par lui-même de l’homme prométhéen? C’est l’acte de naissance de l’homme prométhéen, et la mort de la science contemplative. Une profonde réorganisation des activités humaines a eu lieu. C’est un changement de monde. Voir Hannah Arendt, dans La Condition de l’Homme Moderne, dernier chapitre. Les rapports entre la raison et la croyance : ce qui relève de la raison, ce qui relève de la croyance peut-il être distingué ? Le rapport entre rationalité et liberté : pourquoi la liberté

Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation. * 3) P. Braud, la dimension émotionnelle des acteurs dans la violence politique. III. Les différentes manifestations de la violence politique * 1) La révolution (Hannah Arendt). * 2) Le terrorisme. I. Une notion complexe impliquant différentes formes d’existence 1) Définition et historique de la notion de violence politique - Violences politiques, Philipe Braud. “Quant à vouloir s’imposer à ses concitoyens

tant qu'objet matériel, peut se détériorer et se détruire. C'est pourquoi Arendt précise qu’elle est «potentiellement» immortelle. L'immortalité de l'œuvre est une immortalité de principe. Si elle échappe au temps, c'est qu'elle n'est liée ni à une personne, ni à une époque, ni à une culture particulière. On serait tenté de rapprocher cette idée de celle, plus classique, de l'universalité de l'œuvre d'art. Mais Arendt se situe sur un plan plus pratique: les œuvres d’art durent parce qu'elles

sociale du IIIème Reich pour montrer en quoi il s’agit bien d’un état totalitaire. Au cours du 20ème siècle, le mot « totalitaire » est inventé par deux penseurs, Raymond Aron et Hannah Arendt, qui dans la période d’après-guerre, entre les années 1950 et 1980, décrivent et dénoncent le totalitarisme. Dans le livre de Hannah Arendt « Les Origines du totalitarisme », cinq critères sont donnés pour définir le « totalitarisme » : un Etat totalitaire nécessite un parti de masse au service d’un seul homme,

sur la transmission des idées. En effet, le fait que l’intellectuel détienne une autorité au regard de la vérité lui confère un pouvoir médiatique et une influence considérable (Michel Foucault). Il est celui qui permet à la société de penser (Hannah Arendt). Peut-être ce pouvoir est-il biaisé dès lors que les intellectuels sont des héritiers, qui bénéficient d’un héritage social, culturel et économique supérieur (Bourdieu) ? Peut-être est-il également restreint par les intellectuels eux-mêmes, ne

dévastatrices ont révélé la naissance de forces nouvelles, tant sur le plan matériel que sur le plan idéologique. Il convient en effet de constater que cette période charnière dans le passé de notre société révèle l'apparition d'un système autoritaire que Hannah Arendt différencie des anciens régimes (despotisme, dictature).. Le totalitarisme est un mot dérivé de totalitaire, qui étymologiquement signifie « système tendant à l'unité », du latin « totus » (entier) . Il correspond à un régime qui exige, sans admettre

FLORENCE HAMEL-CORÔA Théorie de l’idéologie Analyse La condition de l’homme moderne d’Hannah Arendt Travail présenté à Certificat en sciences sociales UQAM Le 6 novembre 2015 L’expression vita activa expliqué par la philosophe Hannah Arendt dans « Condition de l’homme moderne » exprime comment le statut de l’homme s’est transformé dans le siècle moderne actuel. L’humain fait maintenant parti d’un univers qui le dépasse et dont il ne peut s’échapper. La vita activa est expliqué

Il annonce alors les résultats qui en découlent et réponds sommairement aux questions que peuvent se demander les lecteurs en lisant ces lignes. Pour expliquer ce phénomène d’obéissance, l’auteur illustre ses propos par les écrits d’Hannah Arendt à propos d’Eichmann lors de son procès. Milgram insiste sur la banalité des statuts des sujets et sur le fait que beaucoup de ceux qui lisent l’expérience disent « je ne serais pas allé jusque là » alors qu’en réel, leurs actions seraient différentes

par lois que les Commandements et les édits des Princes comme le remarque Ulpien. » Cette vision des choses s’impose longtemps en France et d’une certaine façon la révolution se contente de mettre le Peuple à la place du Roi comme le souligne Hannah Arendt. « Sur le plan théorique, » écrit-elle10, la déification du peuple durant la Révolution Française fut la conséquence inéluctable de faire découler de la même source la loi et le pouvoir. La prétention de la royauté absolue à reposer sur un « droit