Hantise

observations. La documentation est donc devenue la condition essentielle de son travail. Puisque ses romans s'inspirent, pour la plupart, d'événements réels, il se livre à de vastes enquêtes. Le souci d'exactitude documentaire était devenu pour Flaubert une hantise. .Avant de décrire l'empoisonnement de Mme Bovary, il consulte plusieurs traités médicaux. Dans l'Education sentimentale, il reconstitue l'atmosphère parisienne entre 1840 et 1851, et en particulier les journées révolutionnaires, avec une incroyable

Médan". Il va désormais vivre de ses livres et publiera près de 300 nouvelles en 10 ans. Il passe une vie riche, visite l'Angleterre sur son yacht, l'Italie, l'Afrique du Nord. Mais il est progressivement assombri par des troubles nerveux et la hantise de la mort. Cela sera visible dans ses romans. Il souffre de délires et il meurt après 18 mois d'internement dans une clinique parisienne. II ) Son œuvre A) Les genres littéraires Les principaux genres littéraires abordés par l’auteur sont :

formes est manquant dans notre école, ceci n'explique guère que tout va bien ou qu'on est exemptés des différents problèmes dont peut souffrir un étudiant, mais c'est du à plusieurs causes qui diffèrent d'un étudiant à un autre. Peur, angoisse même hantise, des sentiments qui empêchent la plupart d'agir et de réclamer leurs droits, ces derniers disent qu'ils préfèrent passer leurs années d'études sereinement et patienter jusqu'a l'obtention de leur diplôme pour ne pas créer de problèmes avec l'administration

chacun de nous (C. Duchet). Elle est l’emblème du mécanisme zolien : lorsqu’il tue, Jacques « ne s’appart[ient] plus, il obé[it] à ses muscles, à la bête enragée », il entend le « labeur décuplé du cerveau, un grondement de toute la machine », et la hantise du meurtre revient en lui « avec une régularité mécanique ». La Bête humaine télescope du même coup, dans un grand enjambement du temps, le fauve primitif et l’homme civilisé : « [Jacques] en venait à penser qu’il payait pour les autres, les pères

(Algérie française) le 28 août 1908 et décédé en son domaine de La Malmaison à Grosrouvre, Yvelines, le 27 mars 2004. Robert Merle a été marqué par la guerre et par sa captivité de 1940 à 1943. Ceci explique que beaucoup de ses romans traitent de la hantise du lieu clos et de la guerre. Par ailleurs nombre de personnages de ses romans sont inspirés par ses proches et sa vie personnelle. * 1949 : Week-end à Zuydcoote (prix Goncourt) : près de Dunkerque assiégé par les allemands en mai-juin 1940

enfance, ses souvenirs de guerre de 1870, la médiocrité et le sinistre des milieux parisiens, il passe une vie riche, visite l'Angleterre sur son yacht, l'Italie, l'Afrique du Nord. Mais il est progressivement assombri par des troubles nerveux et la hantise de la mort. Cela sera visible dans ses romans. Il souffre de délires et il meurt après 18 mois d'internement dans une clinique parisienne. 5 Œuvres majeurs 1882 : Mademoiselle Fifi 1885 : Bel-Ami 1889 : La Horla 1890 : Notre coeur 1883 :

choix découle tout le reste. L'une et l'autre de ces visions totales se présentent presque toujours à l'esprit d'un Français lorsqu'il réfléchit sur lui-même » Selon Pascal, l'homme n'a de cesse de fuir l'idée de sa mort prochaine. Il en a une telle hantise qu'il éprouve la nécessité de se détourner, de fuir cette image misérable de lui-même par le biais des divertissements. Tous les moyens lui sont utiles : jeux, conversations, plaisirs liés à la vie mondaine, charges, guerres, etc. Cependant, le bonheur

La rupture est une perte… et la perte d'un être cher procure un sentiment d'abandon. Plongé dans le désarroi, on perd aussi ses désirs et une immense tristesse s'installe. La peur du gouffre ou la hantise de la dépression expriment notre angoisse face au vide surgi subitement en nous. Nous ressentons une grande insécurité et notre estime personnelle est fragilisée.  Les comportements humains diffèrent face à la rupture. Pour se protéger de cette souffrance, certains évitent de se lier vraiment

c'est ouvrir les yeux, être capable de "voir au-dessus de ce plafond le ciel de l'Idéal". Cette simple phrase, selon MICHAUD, apporte ainsi plusieurs indices précieux. Elle révèle d'abord, pour la première fois, la présence en Mallarmé d'une double hantise : celle d'une chambre et d'un plafond qui la clôt (transposition familière de la prison de BAUDELAIRE et de son "couvercle"), celle du ciel qui est au-delà. La fenêtre ( et plus précisément le carreau, la vitre, le cristal, promesse d'évasion, doit

comparaison « … » |… a une connotation élogieuse / méliorative | |► La métaphore hyperbolique « dévore » |… illustre la hantise du personnage : … | |► Le recours au discours indirect |… atténue la portée des paroles… | |► Plusieurs éléments