Haram

d’imprévus liés à un contrat. L’interdiction du gharar sert souvent de fondement aux critiques des pratiques financières classiques telles que la spéculation et les produits dérivés. • Halal : permis, licite. Antonyme du mot Haram,, il définit ce qui est permis pour le musulman. • Haram : définit ce qui est un péché et ce qui sacré, donc illégal. • Ijara : contrat aux termes duquel la banque achète un bien pour un client puis le loue en crédit-bail pour une période déterminée. • Ijma : unanimité, consensus

| |La Sharia exige également que tout musulman ne peut traiter des biens jugés illicites ou Haram. En effet, il existe des exigences quant à la nature de l'activité dans laquelle un investissement demeure | |conforme aux impératifs moraux et religieux tels que dictés par l'Islam. Ainsi, les jeux de hasard, les activités en relation avec l'

pas d’une rémunération en tant que telle, mais d’un intérêt versé en fonction du seul écoulement du temps. La prohibition du garhar et du maysir : la finance islamique n’autorise pas la spéculation et les situations d’incertitude. La prohibition du haram : elle concerne certaines activités facilement identifiables (armement, alcool, pornographie). (Elle renvoie, dans droit contemporain, à tout ce qui touche à la protection de l’ordre public et des bonnes mœurs); L’obligation de partage des profits

et de l’incertitude D - Existence obligatoire d’un actif sous-jacent E- Distinction du domaine Haram et Hallal 2e partie : Les instruments de la finance islamique : une véritable innovation financière 1- Les Sukkuks: Un produit islamique en

tuer) Pécho (attraper; voler; draguer; frapper) Péfli (avoirtrès peur) ; pilla v (boire) Poucav (dénoncer, balancer) Mots d’origine arabe (arabe littéraire, arabe maghrébin) ou berbère Casbah (maison) Doura (virée dans la cité) Haram (péché) Harlouf (porc) Misquin (pauvre type) Mots d'origine tsigane Bédo (cigarette de haschisch) Chourav (dérober, voler) Gadji (fille, femme) Gadjo (gars, homme) Rodav (regarder) Mots d'origine africaine Go (fille, jeune

certains pays les femmes n’ont pas le droit de faire du sport en mixité, c’est-à-dire que pour pratiquer elles sont obligées d’être dans des clubs seulement de femme. Il considère aussi que tout sport qui a pour but de détruire l’adversaire est interdit (haram). Lors des JO de londres les organisateurs ont obligés les pays voulant y participer d’envoyer au moins une femme de leurs pays c’est pour cela qu’il y a eu des controverse sur le fait qu’elles portaient le voile (n’ayant pas le droit de se découvrir

pornographie, hasard…) * Le partage des pertes et profits (3p) ou endosser tout financement à un actif tangible. * Quelles sont les activités illicites en Islam ? Il existe un certain nombre d’activités qui sont interdites par l’Islam, ou haram en arabe. Seules les activités industrielles et commerciales qui ne sont pas contraires à la sharia constituent des investissements. Est interdit, tout investissement lié aux secteurs suivants : * L’industrie du tabac * Pornographie *

réclame, verre à la main et dans une transe léthargique, une chanson d'Aznavour, “celle qui dit j'avais vingt ans”. Celles qui ont vingt ans, justement, vivent leur bohème. La conversation dévie, entre lasagnes, vin blanc et salade, sur “l'argent du haram”. Fatine affirme, avec morale et conviction, “qu'on ne peut jamais rien faire avec l'argent sale, il se retourne contre tes enfants, ta famille, ta mère, te cause des problèmes”. L'argent qu'elles se font, elles, n'est pas sale, puisqu'elles ne le

encourage des pratiques immorales d'obtention de l'information par exemple le vol, l’espionnage, les délits d'initiés…3 L’interdiction des activités illicitesLa Finance islamique interdit, enfin, l'investissement dans certaines activités économiques Haram : comme l'industrie du jeu, de l'alcool, de l'armement…aussi dans des entreprises qui exercent une activité qui ne respecte pas les principes de la charia.4 L’adossement a des actifs réelsL’acceptation d’une transaction financière selon le principe

dominante. Or, la charia, pour peu qu’elle soit ici une référence valable, est très claire sur le caractère répréhensible et même illégal (haram) du riba, c’est à dire de l’intérêt. Cette interdiction concerne le créancier mais aussi le débiteur. D’après une enquête sociologique récente26, plus de la moitié des Marocains considèrent que l’intérêt bancaire est haram (illicite)27. Cette proportion atteint 68,3 % chez les plus de 60 ans. 37 % de la population rejette l’idée de contracter un emprunt