Harki

d’abord les bouleversements politiques en France liés à la guerre d’Algérie ; puis les problèmes de l’économie française et la peur du terrorisme ; et enfin nous traiterons des responsabilités de la France concernant la torture ou encore le sort des Harkis et des Pieds-Noirs à la fin de la guerre. Nous verrons également à travers tous ces aspects, les réactions de l’opinion publique française face à cette guerre mais nous n’évoquerons pas en détail les événements se passant en Algérie durant cette guerre

musulmans, qui sont désignés par le terme harki. « Rapatrié » fait référence à un statut administratif qui a concerné, à partir de 1962, essentiellement les Français repliés d'Algérie au moment de l'indépendance, puis qui a été étendu à d'autres populations venant du Maroc et de Tunisie, voire d'anciennes colonies françaises. Parmi les rapatriés d'Algérie, qui étaient tous de nationalité française, sont englobés les musulmans, plus souvent désignés par le terme de harkis, c'est-à-dire ceux des militaires

loyauté et de toute humanité envers les Harkis lors de la guerre d’Algérie. De Gaulle : Croyez vous ma demoiselle, que sauf exception, la grande majorité des musulmans n’étaient pas favorables à l’indépendance ? Ancien combattant d’Algérie : menteur ! La France avait recrutée massivement jusqu’en 60 pour tenir l’Algérie et démontrer la faible représentativité du FLN. A la fin de la guerre, nous sommes tranquilement rentés chez nous pendant que les harkis se faisait massacrés par d’autres algériens

n'ont pas eu le choix, volonté de reconnaissance comme des soldats • Les M qui viennent d'Algérie : Les Pieds Noirs (français qui vivaient en Algérie avant 1962) : vivent dans la nostalgie du territoire perdu, pour une partie c'est une trahison Les Harkis (soldats algériens qui ont fait le choix de combattre avec la France) : ils vont devoir quitter l'Algérie en 1962 Les Immigrés Algériens : la France fait appel à de la main d'oeuvre maghrébine durant les 30 Glorieuses. Leur mémoire est influencé

National est au pouvoir depuis l'indépendance, et maintient le mythe du peuple algérien uni contre les colonisateurs. Le peuple aurait lutté sans répit contre les colons. Ce qui dans les faits n'est pas la réalité puisque que certains algériens (les harkis) étaient partisans de l'armée française et ont lutté contre le FLN à l'époque de la guerre. Aussi le FLN passe sous silence ses actions peu glorieuses durant la guerre, comme la terreur qu'il a put exercé contre les populations algériennes pour

occultées - Messali Hadj et nationnalistes du MNA évincés par le FLN -les héros mis à l’écart (Boudiaf) ne connaissent pas de glorification -les 1,5 m de fr reclament une compensation financière (violence, torture de la GA) -mauvais acceuil pour les harkis (camps) + nmbre d’immigrés en fr augmente (400 000 en 62) II) MEMOIRES 91-2005 : Tournant de 91-92 : -« La bataille de paris » ouvrage sorti le 17oct61 de Luc Einaudi connait un retentissement enorme -91 : 30è anniv du 17oct ; manifestation

est proclamée après les résultats. La plus grande bibliothèque d'Alger a été complètement détruite par l'OAS (Organisation armée secrète). Des éléments de l'armée française restent en Algérie pour évacuer un million de Français (pieds-noirs, les Harkis, les Juifs, etc.). Un million de réfugiés algériens reviennent en Algérie. Quelques personnes importantes pendants la guerre Des intellectuels français vont aider le FLN.  Maurice Audin fut torturé et tué par les services français.  Frantz

humain : centaines de milliers de victimes : _ soldats français : 25 000 morts _ membres du FLN et de l’ALN : plus de 130 000 morts _ victimes civiles algériennes 430 000 morts _ harkis : 10 à 70 000 tués après l’indépendance (chiffre impossible à connaître exactement) _ difficultés des exils (Français d’Algérie, Harkis) _ traumatisme des appelés du contingent (2 millions) ayant participé à la guerre ( témoins ou acteurs de violence, torture….) _ En Algérie : difficulté de reconstruction après

la IVe République. Le FLN met en pratique la guerre du terrorisme et frappe les civils de façon aléatoire. L’objectif est de convertir les musulmans à leurs idées car ce sont eux qui subissent la répression de l’armée française. Malgré tout, des harkis (combattants musulmans) se joignent à l’armée française et organisent des groupes de défense des villages contre le FLN. Le but de cette guerre est de couper le FLN de la population musulmane. Le FLN réussit tout de même à trouver l’appui du monde

nationale (FLN) lance une vague d'attentats. Le 18 mars 1962, les accords d'Évian sont signés et mettent fin à la guerre. C'est le temps de l'exil pour les Français d'Algérie – les « pieds-noirs » – et les Algériens combattant du côté de la France – les « harkis ». Sur chaque rive de la Méditerranée, comment s'organise le travail des historiens sur les mémoires de la guerre d'Algérie ? Comment leurs recherches, souvent difficiles (car les archives se sont ouvertes progressivement mais certaines ne le sont