Harki

algériens en 1960 et « plus d'un millions de martyrs »pour le côté algérien. En 1962, environ 91 000 harkis ( indépendantistes ) sont amenés en France malgré une politique Française qui s'y oppose. Ils sont méprisés par les Français et considérés comme des traîtres par les Algériens. Ceux qui sont resté sont massacrés sans pitié après que l'armée Française les a désarmés. Le nombre de harkis massacrés en Algérie après le cessez le feu varie entre 30 000 et 100 000. Sur le plan économique:

ordonnent le détournement d’un avion marocain pour capturer des dirigeants du FLN et le bombardement du village tunisien de Sakhiet (1958). • L’armée organise également le ratissage des campagnes algériennes, appuyée par 300 000 supplétifs algériens (les harkis). En réponse, l’ALN multiplie les embuscades et les attentats à la bombe dans les lieux publics. Elle bénéficie en métropole du soutien des " porteurs de valises " et de certains intellectuels français comme le philosophe Francis Jeanson. Albert Camus

d’ALG.) pour favoriser la réconciliation nationale. Pour organiser l’oubli : 1968 + 1982  Lois d’amnistie (pardonner ; passer l’éponge sur les actes commis en ALG)  effacer les traumatismes. Nbreux acteurs ayant participés à la GA (Pied-noir ; Harkis ; combattant FRA ; OAS) taisent leurs mémoires. (ne s’exprime pas officiellement) Mémoires par conséquent occultés des manuels d’Histoires Certains Historiens commencent des travaux de recherche sur cette période. I/ b) En Algérie, une mémoire

plus en plus de partisans, jusqu'en métropole. À Paris, des travailleurs algériens favorables aux autres mouvements indépendantistes sont assassinés. La guerre d'Algérie oppose ainsi des Algériens partisans du FLN, du MNA ou de l'Algérie française (harkis) à la fois en métropole et dans la colonie. Pourtant, les journaux et les médias français ne parlent que « d'événements » en Algérie et non d'une guerre : l'opinion publique française n'a pas tout de suite pris conscience de la gravité de la situation

l’armée française utilise rapidement la torture et les exécutions pour stopper le FLN, mais elle échoue. Apres l’indépendance accordée en 1962 par le général de Gaulle, les français d’Algérie, c’est-à-dire les « pieds noirs » et les harkis fuient en France. Photo harkis ou pieds noirs c) La construction de nouvelles identités nationales A la différence de l’Europe, où les nations précèdent les états, dans les colonies devenues indépendantes, c’est au nouvel état qui incombe à construire une nation

entendre en publiant leurs récits de vie et leurs plaidoyers en faveur de leur cause. Ces groupes porteurs des différentes mémoires sont peu écoutés, voire méprisés ou oubliés. Les Pieds-noirs (qui sont qualifiés de rapatriés), les soldats et les harkis rappelent aux Français un conflit perdus politiquement. Leur histoire est occultée. => De nombreux intellectuels ont pris position dès le début du conflit et dénoncé une guerre qui ne disait pas encore son nom (Jean-Paul Sartre, Raymond Aron)

d'autodéfense. 2e rang : discours de Charles de Gaulle au GG d'Alger (« Je vous ai compris ») ; rassemblement d'« Européens » au Forum d'Alger le 13 mai 1958 avec bannières « de Gaulle au pouvoir » et « Ville d'Hussein Dey » ; anciens combattants musulmans « harkis » au Forum en 1958. 3e rang : insurrection de la semaine des barricades en janvier 1960 ; émeutiers anti-indépendantistes du FAF jetant des pierres aux M8 Greyhound de l'Armée française le 9 décembre 1960 ; soldat français utilisant un détecteur de

(M.N.A) et une compagnie de répression contre les HARKIS qui soutiennent le statu du rattachement de l’Algérie a la république française. Et exprime leur idée en inventant leur slogan : « L’Algérie française ». Cette guerre se termine par : _La proclamation de l’indépendance de l’Algérie le 5 juillet 1962. _La naissance de la république Algérienne le 25 septembre 1962. _L’exode des pieds-noirs. _Et l’abandon et / ou le massacre des HARKIS. 3. La décolonisation du Sénégal Histoire du

douloureuse et éviter des polémiques des rapatriés sur le territoire français, des harkis mais aussi les populations d'immigrées. Entre 1962 et jusque vers 1992, la question de la mémoire de la guerre d'Algérie a été invisible. Les français eux avaient une mémoire sélective de cette guerre. Malgré les attentats commis sur le sol national, les Français ne l'avaient pas subit directement. Mais des groupes sociaux (Pieds-noirs, harkis, soldats..) eux l'avaient vécu. Ce qui a retardé l'émergence d'une mémoire

le maniement des armes et la technique de combat. Mais aussi elles reçoivent aussi des armes, ce qui le permet une guerre plus égalitaire. Les acteurs externes sont : l'armée Française, les soldats de métier, et les appelés qui sont accompagné des Harkis ( musulmans d’engager au côté de la France). La guerre des deux partis fut extrêmement violente : massacre, torture, viole … Ce conflit entraîne une guérilla et une guerre civile  à l'intérieur des deux communautés. Le F.N.L compte en 1957: cent douze