Harki

crainte des représailles du FLN. La plupart des « rapatriés » s’installent dans les départements du sud de la France. La majorité d’entre eux se sentent déracinés, puisque plus de 80% sont nés sur le sol algérien. Doc.5 p 241 • • Le sort des harkis fait également partie des drames de la décolonisation. 10 000 à 70 000 d’entre eux sont massacrés par des membres du FLN. Ceux qui parviennent à s’enfuir en métropole, quelques dizaines de milliers, s’entassent dans des camps de fortune et ne bénéficient

après 1962. Les appelés ne sont pas reconnus « anciens combattants ». Pas de guerre, mais du « maintiens de l’ordre » _passer sous silence les populations « trahis » (pieds noirs et les harkis) par De Gaulle. * Les « raparties » (mai 1958, ce sont eux qui ont été à l’origine de son retour) * Les harkis (en tout sur 200000, 10% parviennent à s’enfuir de France = bidonvilles, camps qui se révolte en 1975 dont la majorité désarmés et abandonnés à leur sort (l’armée française ne les protège

c'est que les rapatriés et les harkis ont été les acteurs mais aussi les victimes de cette période de notre histoire » ou encore : « Ce que je suis venu dire, ici à Nice, c'est que les harkis comme les rapatriés incarnent une partie de la mémoire de notre pays et que cette mémoire doit être connue et qu'elle a droit au respect »7 . L’idée dans un contexte de campagne politique est probablement de profiter de cet anniversaire pour attirer les voix des nombreux harkis et rapatriés, qui sont d’ailleurs

« guerre civile », jusqu’en 1999. Cette guerre a divisée les Algériens et les Français. En Algérie, le FLN (Front de Libération Nationale) et le MNA (Mouvement National Algérien) s’opposent à l’armée française, l’OAS (Organisation Armée Secrète), aux Harkis qui sont des individus servant en Algérie Coloniale, ainsi qu’aux pieds-noirs qui sont des Français ou Européens originaires d’Algérie. Dans la société en 1960, les tensions se font ressentir. En effet, les français souhaitent pour la plupart oublier

mettent ainsi fin à la guerre d'Algérie mais ne permettent pas d'assurer une transition pacifiste vers l'indépendance. Dans un contexte de totale anarchie en été 1962, les pires règlements de compte sont commis envers les « traîtres » musulmans – les harkis, troupes musulmanes fidèles à l'armée française – et envers les Européens restés sur le sol algérien. Le FLN n'entend pas respecter les accords et refuse les garanties prévues aux Européens. Dès lors l'avenir des relations franco-algériennes se tache

définitivement l'Algérie, soumis aux pressions de l’ALN (Armée de Libération Nationale). ➢ Massacres en Algérie : - 5 juillet 1962, à Oran, environ 2000 européens sont massacrés par l'ALN ; - violente répression contre les Harkis et leurs familles. (Entre 50 000 et 100 000 harkis torturés et tués par le FLN) 25 septembre 1962 : proclamation de la République Algérienne, Démocratique et Populaire 8 septembre 1963 : adoption de la constitution par référendum et instauration d'un régime de parti unique

ces algériens ayant participé à la libération de l’Algérie d’une fierté de la victoire. Mais l’on peut facilement contredire l’unité nationale mise en avant avec l’oubli volontaire de la part d’Abdelaziz de parler des pieds noirs et surtout des harkis. L’unité du peuple algérien est d’abord soulignée par l’utilisation du déterminant « Tout » qui est le premier mot du discours et par la présence du déterminant possessif « Notre » à trois reprises. On retrouve aussi dans ce discours le groupe

successives d'attentats, assassinats et massacres en France comme en Algérie . Côté algérien, elle se traduit par une lutte de pouvoir qui se conclue par la victoire du FLN sur les autres partis algériens et par une campagne de répression contre les harkis qui soutiennent le rattachement de l'Algérie à la République française. En France, cette guerre suscite l'affrontement entre une première minorité active et hostile à la poursuite des hostilités (mouvement pacifiste), une seconde favorable à la révolution

à autre chose. La guerre est vite oubliée sauf pour ceux qui y ont été impliqués comme les pieds noirs qui ont la nostalgie de l’Algérie (nostalgerie) et les harkis (algériens musulmans du coté de la France)se sentent trahis par la France.JM LEPEN, chef du fn et ancien combattant en Algérie est accusé d’avoir pratiqué la torture, les harkis protestent pour dénoncer leur mise à l’écart de la société. Ce n’est que dans les années 1990 que la pratique de la torture pendant la guerre est répandue et

sont écartées EX : 1966, film La bataille d’Alger de Gillo Lontecorvo (cinéaste italien) relate faits historiques censuré en Fr bc « violence de l’armée frc qu’il montre » SCANDALE de l’opinion publique, SUCCES en Alg 19 nov 1997 manifestation des Harkis pour dénoncer leur précarité et ê reconnu par l’Etat frc La torture dans la République 1972 livre dénonciateur de l’historien Pierre Vidal-Naquet, 1ere tentative de travail historique sur un pdv douloureux, la torture exercée par militaire frc contre