Harlem Désir

les hommes. Amen. (inspiré du rituel orthodoxe) 9- Merci, Seigneur, de nous avoir conduits jusqu'à ce jour tant espéré. Merci pour tout l'amour que tu as répandu dans le cœur de nos parents et amis. Leur présence nous a aidés à concrétiser notre désir d'union. Apprends-nous le silence intérieur qui accueille ta Parole. Aide-nous, Seigneur, à garder un cœur pur et enthousiaste d'où seuls peuvent jaillir l'action et l'amour vrai. Aide-nous à participer à ton oeuvre, à ne jamais t'ignorer. C'est en

Christine inspire toujours les figures de femmes, mais elle doit subir l'outrage de devenir sa propre rivale, puisque seule son image peinte intéresse Claude. Claude ici est qualifié de « garçon » : il n'est pas vu comme un homme mais comme un enfant. Il désire quelque chose qu'il ne peut pas avoir, puisque l'imitation du réel selon Zola est toujours impossible. Claude ne vit pas dans la réalité. On pourrait presque parler de caprice d'enfant. Au début de l'extrait, par le biais de la chaleur, Christine

l’aspect imagé sous lequel Renée apparaît le plus souvent dans le roman. Malgré une légère myopie, l’épouse de Saccard est une belle femme aux cheveux blonds dont le « corps souple » a des « airs de garçon ». Elégante, elle suscite l’admiration et le désir masculins. A la fin du chapitre 3, au bal des Tuileries, l’Empereur lui-même pose son regard sur elle. Renée n’hésite d’ailleurs pas à exciter les désirs : plus que de la couvrir, ses toilettes la dénudent et exhibent son corps désirable. Au chapitre

fragilité psychologique déjà présente chez certaines personnes. L’adolescence est une période de rébellion - vis-à-vis de tes parents et de l’ordre établi-, ce qui peut te pousser à commettre des actes que tu sais prohibés ou immoraux. Impulsivité, désir de s’affirmer, de braver l’interdit mais aussi inconsciemment souhait d’attirer l’attention sur soi sont autant de motivations à commettre une infraction. -Les problèmes familiaux : Certains jeunes livrés à eux-mêmes, évoluant dans un noyau

Voici des extraits du Manuel d'Epictète et des Pensées pour moi-même de Marc Aurèle en vue d'une dissertation sur le désir : 'Etre heureux, est-ce satisfaire tous ses désirs?" Epictète (50-130 apr. J.-C.), Manuel « I. 1. Il y a des choses qui dépendent de nous ; il y en a d’autres qui n’en dépendent pas. Ce qui dépend de nous, ce sont nos jugements, nos tendances, nos désirs, nos aversions : en un mot, toutes les œuvres qui nous appartiennent. Ce qui ne dépend pas de nous, c’est notre corps

l'argumentation indirecte, l'auteur a recours à plusieurs modalités. La force de conviction et de persuasion se retrouve notamment à travers le choix des personnages; leur fonction symbolique est révélée par leur situation. Ici, ces femmes « pâles de désir » ont pour unique passion la découverte du marché présenté dans le magasin. Leur nature matérialiste et dépensière est révélée par l'exagération et l'ironie; les rôles sont presque inversés, l'objet est clairement mis en valeur, passant même avant

partie IV, extrait Plan détaillé : * Une vision paradoxale et originale du désir et du bonheur * Une nouvelle définition du bonheur : le désir. * Ce bonheur est singulier. * L’attente de la satisfaction d’un désir provoque un certain bonheur, distinct du bonheur lié à la satisfaction de ce désir. * Ce bonheur singulier est précisément relatif à l’inquiétude de ne pas savoir si le désir sera satisfait. La formulation est hypothétique : « peut-être » cette « sorte de

réaction reflexe (non contrôlable) face à une situation vécue, face à une expérience de vie, nous ne devons, en aucune façon, chercher ni à la contrôler, à fortiori à la refouler (l’ignorer ou faire semblant de l’ignorer). Exemples d’émotions : le désir, le dégout, le plaisir, la douleur, la joie, la peine, la satisfaction ou la déception. • Face à une émotion, se donner du temps pour la savourer ou la digérer, ne jamais, jamais, prendre une décision sous le coup d’une émotion. Vous la regretterez

hommes en une intelligence asservie au désir (i.e : à la volonté), c’est-à-dire s’employant sans cesse à trouver les meilleurs moyens de le satisfaire. Mais cette tentative est, selon Schopenhauer, vouée à l’échec, puisque l’existence humaine oscille constamment entre l’espoir et l’ennui. En effet, toute la condition humaine est constituée, d’une part par l’attente impatiente ( et d’ailleurs source de multiples illusions) en vue de satisfaire tel ou tel désir, (avec les souffrances morales, les inquiétudes

faisaient rêver avec leur corps sensuel, érotique, mais dont le talent était prodigieux (qu’on se rappelle Sophia Loren dans Une journée particulière, par exemple). Cette Raimunda transcende nettement son rôle de mère : elle est la femme, objet de désir, sujet du désir, avec tous les risques que cela comporte dans une société malgré tout phallocratique. Et on en arrive à la Raimunda la moins « visible », et la plus fragile. Car Raimunda, ce n’est pas seulement une mère, ni une épouse ou une amante : c’est