Harmonie Du Soir Champ Lexical

remarquer que le poème « La Musique » n'est pas un sonnet car il ne présente pas la structure traditionnelle ni du sonnet à forme marotique (ABBA / ABBA // CCD / EED), ni du sonnet à forme française (ABBA /ABBA // CCD /EDE). Le sens du poeme Pas de champ lexical de la musique car Baudelaire ne parle pas de musique en spécialiste, en critique, ni en musicien mais en ignorant pris par une transe, une possession indescriptible «me prend» vers 1.L’émotion est plus violente car Baudelaire est ignorant, innocent

par [ses] yeux » (vers 8). On sent que s'effectue à ce moment une osmose totale entre le fabuleux environnement et le poète en quête de bonheur. De plus nous pouvons observer que le décor est vaste et somptueux, en effet nous pouvons relever le champ lexical de la grandeur avec « vastes » au vers 1, « grands piliers » au vers 3, « majestueux » au vers 3, « azur » au vers 10. Nous pouvons également observer que l’assonance de la voyelle « a », un son ouvert, suggère l’amplitude : « habité sous de vaste

le fait souffrir en lui faisant comprendre qu'il n'est rien. Cette petitesse peut cependant être consolée par un sentiment panthéiste : Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! (Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses) Cette vision peut également faire du poète un mage : l'infini est ainsi le centre du recueil de Hugo, les Contemplations. L'esprit s'arrête « éperdu au bord de l'infini », et accède aux vérités que lui révèle la nature

pleine campagne, somnole bercé par la pluie et le vent. Le mois d'octobre représente selon lui l'heure où la nature s'endort pour ne se réveiller qu'au printemps. Pour faire transparaître cette idée d'endormissement progressif, Samain utilise le champs lexical de la lenteur : « S'achemine » v.1, « s'endort » v.4 ou encore « monotone » v.6. Le merle Un oiseau siffle dans les branches Et sautille gai, plein d’espoir, Sur les herbes, de givre blanches, En bottes jaunes, en frac noir

Principe de base | Nom | Définition | Exemple | Analogie | l'image | fondée sur l'équivalence, l'image consiste en un rapprochement de deux champs lexicaux qui met en évidence un élément qui leur est commun | « Les souvenirs sont cors de chasseDont meurt le bruit parmi le vent » — Guillaume Apollinaire, Cors de chasse | la comparaison | la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant (éventuellement inversés)

FIGURES DE STYLE Figures jouant sur le sens des mots Principe de base Nom Définition Exemple Analogie l'image fondée sur l'équivalence, l'image consiste en un rapprochement de deux champs lexicaux qui met en évidence un élément qui leur est commun « Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent » — Guillaume Apollinaire, Cors de chasse la comparaison la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant (éventuellement

Chapitre 2, 25 ans à Vernon, une vie paisible et calme. - Chapitre 5, caractère de camille et les 10 années que Laurent a passé à Paris. - Chapitre 24, la médiocrité des personnages après la mort de Camille, 4 années où ils se rendaient, le jeudi soir, que craintivement dans la maison en deuil. - Chapitre 31, le poison, 15 jours. Le temps est ici utilisé pour montrer le côté tragique de l’histoire, mais aussi vers la fin de l’histoire le temps s’accèlere pour créer une athmosphère d’urgence et

|l'image |fondée sur l'équivalence, l'image consiste en un rapprochement de |« Les souvenirs sont cors de chasse | | | |deux champs lexicaux qui met en évidence un élément qui leur est |Dont meurt le bruit parmi le vent » | | | |commun

analepses : Chapitre 2, 25 ans à Vernon, une vie paisible et calme. Chapitre 5, caractère de camille et les 10 années que Laurent a passé à Paris. Chapitre 24, la médiocrité des personnages après la mort de Camille, 4 années où ils se rendaient, le jeudi soir, que craintivement dans la maison en deuil. Chapitre 31, le poison, 15 jours. Le temps est ici utilisé pour montrer le côté tragique de l’histoire, mais aussi vers la fin de l’histoire le temps s’accèlere pour créer une athmosphère d’urgence et de

GRAMMAIRE Support = p.13 et 14: L.3-9 :« Les passagers embarquaient, escortés d'une foule d'amis ; ...sur le pont » L.30-35 : « Depuis qu'en 1992, Rzeczwski, le jeune prodige de sept ans, s'était distingué...des joueurs d'échecs » L.71-77 : « Le soir, le curé allumant sa longue pipe rustique...sous leurs lourdes paupières » Quels sont les temps utilisés dans ces passages? Quelles sont leurs valeurs? Séquence 3 Etude de l’incipit du Joueur d’échecs de Stephan Zweig. Passage étudié :