Harmonie imitative

- V.51/52 : ville/vie :ce jeu de rimes souligné par « sa » contribue à l’affirmation de l’appartenance des étrangers à Paris, qu’ils participent à la vie parisienne, qu’ils contribuent à lui donner vie. -V .34/V.35 : allitération en « K ». Harmonie imitative des pas des immigrés, se joignant à ceux parisiens afin de célébrer l’anniversaire de la révolution française.

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville. Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent" Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet. 2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (vers 1), et à l'Antiquité grecque et Romaine. Apollinaire se détourne de l'inspiration classique

entre misère et beauté. ð Monde imaginaire se forme. • « Au lieu d'un haillon trop court, - Qu'un superbe habit de cour - Traîne à plis bruyants et longs - Sur tes talons ; » ð « Au lieu de » : comparatif ð On passe dans l’alchimie ð Harmonie imitative : allitération en « e » pour imiter le bruit de la robe ð Alchimie : haillon trop court en habit de court, parallélisme en opposition • « Et place de bas troués, - Que pour les yeux des roués - Sur ta jambe un poignard d'or - Reluise

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville.
Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent"
Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet.


2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (vers 1), et à l'Antiquité grecque et Romaine.
Apollinaire se détourne de l'inspiration classique

ou de l’immobilité. c) Joie et mélancolie Opposition contenue dans opposition silence/bruit ▪ Bruit : - Parole directe du narrateur « vous êtes si jolie » - Fifre et air de régiment - Roseaux jaseurs : harmonie imitative créée par les sonorités ▪ Impression dominante de silence du fait de - Silence des dames (regardaient) ▪ Bruits ténus et étouffés : s’éloignait, lointain (redondance) + postposition du sujet + ténuité des singuliers (un

symbiose parfaite. Cette notion de grands espaces est renforcée par l’hypallage du vers 2 (« vaste oiseau des mers »=oiseau des vastes mers). Les sonorités fluides (allitérations en « l ») et sifflantes (doubles allitérations en « s » et « z » = Harmonie imitative) suggèrent l’harmonie du vol. L’indolence des albatros est quand à elle suggérée par les assonances en « en » dont la douceur évoque la tranquillité et la nonchalance du vol. Le rythme irrégulier montre la maladresse de la démarche de l’albatros

par une accumulation de termes péjoratifs tel que « petit », « ingrat », « vain ». Ceci sonne comme une condamnation sans appel de l’Homme. Hugo caractérise également ce monde par la raideur du conflit, évoquée à la strophe 2 présentant une harmonie imitative avec l’allitération en –r associé à un champ lexical du bruit, on peut citer « entendre », « heurter », « réveille ». Hugo fait ensuite à la deuxième strophe, au vers 14, référence aux révolutions à travers l’image violente du « heurt » entre

généralise la rue bruyante .; « assourdissante » est un adjectif qui accentue le brouhaha de la rue · Des sonorités désagréables : ru/our/our/ ur recrée le bruit de la rue à l’aide d’ une harmonie imitative et l’allitération en R rend le décor particulièrement désagréable · la place des mots : les mots se rapportant au bruit se situent à des places stratégiques du vers, « assourdissante »

qui a popularisé les poèmes en prose. L’une de ses œuvres connues est le recueil Les fleurs du mal. Or, je tenterai de faire une étude stylistique de trois poèmes de cet auteur que l’on retrouve dans le recueil. Tout d’abord, j’ai choisi le poème Harmonie du soir. Celui-ci est un pantoum. C’est-à-dire, un poème à forme fixe composé de quatrains à rimes croisées. Aussi, on y retrouve des alexandrins. Il est écrit d’un ton prophétique et solennel. On retrouve plusieurs correspondances dans ce poème

rapproche l’automne de la saison mortelle de l’hiver. Sa blancheur s’oppose aux couleurs dorées de l’automne. Elle est comme un linceul, suggérant la pureté de la mort et peut-être une vie au-delà.  Le deuxième vers construit une parfaite harmonie imitative : C’est un vers de 15 syllabes où on note une disposition symétrique et régulière des sons [u], [a] et [ã] + une allitération en [r] : râle de la saison qui meurt, angoisse de la mort. Le terme central, « ouragan », est comme le pivot du vers