Harmonie imitative

s'approfondit: «sous», «la», «au milieu».Par ailleurs, Le tétramètre au vers 10 «Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs» installe une certaine régularité.-Le poète met le concret et l'abstrait avec une gradation ce qui souligne la profonde harmonie du poète avec le monde, Qui culmine avec la rime vers5«cieux» et vers8«ieux» (yeux)L'idéal Baudelairien est caractérisé par cette fusion paisible entre les éléments opposés les uns aux autres donnant accès à un monde de quiétude... Un idéal

vers de Brugnot donne une clé du poème de Bertrand. Au point que l’on peut dire qu’il est une variation. On part d’une sensation auditive pendant le sommeil qui se transforme en un chant harmonieux (qui enchante) chant très faible, vague, murmure, harmonie -> tonalité triste et tendre, l’évocation d’une voix de femme. Cette sensation se précise avec la pluie qui frappe la fenêtre ce qui donne naissance à une vision. -> Sensation auditive qui devient visuelle. Elle s’adresse à lui en lui dévoilant

Le rythme est évocateur, en montée : 1/3/4, avec le report de l’accent de pieds sur nus, comme pour mieux tout dévoiler. Avec une excitation certaine du partenaire masculin : 3 exclamatives, 3 apostrophes, un désir intense reflété par les harmonies imitatives en voyelles fermées. La suite se révèle être un don du cœur de la plus raffinée courtoisie : après une hypothèse sensuelle torride («lèvres avancées, apaiser, baiser»), la demande d’attente comme pour mieux ménager et le désir et le plaisir…

1871 par Arthur Rimbaud dans « Le Cœur supplicié » ou encore « mellifluente » de Guillaume Apollinaire dans « claire de lune » en 1913Partie II, plan détaillé : II/ Le langage poétique cherche d’abord à mettre en avant la beauté des mots et leur harmonie a) Rythme et musicalité → Poésie à la base est chantée, on lui donne une musicalité, des rimes, les mots sont arrangés pour que les phrases sonnent bien à l’oreille, on les met en avant, on les sublime grâce aux rimes et aux rythmes → Certains

graphiques, pour l'œil, « chancelle » / « étincelles ») par les rimes masculines (« bond » rime avec « fusion »). Ces caractéristiques formelles permettent d'installer une harmonie sonore (effet produit sur l'oreille par certains rapprochements de mots, des sons identiques se correspondent et combinent des harmoniques). Une harmonie imitative destinée à imiter le bruit naturel de l'engin défilant à toute allure (allitérations, assonances, onomatopées...). C'est l'impression que laisse le vers pénultième

retour d'un ou plusieurs sons voyelles, ● L'allitération, soit le retour d'un son consonne. Ces jeux de musique produisent une musique ou une harmonie qui est en principe indépendante de l'idée exprimée ; cependant, quand leur association a pour but de reproduire les bruits ou les sons évoqués par le contenu même du texte, on parle alors d'harmonie imitative. À l'intersection du jeu de son et du jeu de sens prend place la figure appelée paronomase, qui consiste à rapprocher dans un même énoncé des

fr/grec/danae.htmhttps://mythologica.fr/grec/europe.htm3. Observez le nombre de syllabes des mots aux vers 2-3. Que remarquez-vous ? Formulez l’effet produit et une interprétation possible. Termes employés composés d’une ou deux syllabes. Harmonie imitative figurant la chute des gouttes évoquées, on entendrait la chute des goutes d’or sur le corps de Cassandre 4. Par quels types de mots les subordonnées circonstancielles à valeur temporelles (v 4 - 7 – 8) sont-elles introduites ? Quelles moments

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville. Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent" Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet. 2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (vers 1), et à l'Antiquité grecque et Romaine. Apollinaire se détourne de l'inspiration

pronom personnel "notre" utilisé plusieurs fois. Elle marque son engouement à travers l'analogie de l'enclume et le champ lexical du bruit. Elle use de sonorités en -r et évoque des grelots, démontrant sa haine contre celui-ci à travers ces harmonies imitatives. C-) Un comportement contradictoire. En une seule scène, la marquise adopte divers comportements. Au début de la scène, elle est éplorée, puis se sent "révoltée". Ce qui révèle sa grande sensibilité, mais amène sa grande contradiction

ne se rapporte pas spécialement au bruit -> éclat du soleil) -> vision naïve et amusante de la ville. V22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent" Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet. 2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (V1), et à l'Antiquité grecque et Romaine. Apollinaire se détourne de l'inspiration classique