Harmonie tonale

point, plusieurs thèses se confrontent. Page 12 sur 19 a) L’art est une recherche du Beau (thèse classique). Pour les tenants de la thèse classique, l’œuvre d’art doit correspondre à des codes, respecter des proportions, produire une harmonie entre les éléments, etc. si elle prétend produire une émotion esthétique. C’est le respect du canon qui garantie de la beauté de l’œuvre. Quelques exemples : § Le respect de proportions du corps humain dans la peinture classique : homo

Renaissance : les foyers bourguignon et flamand furent également influents. Les peintres et les tapissiers flamands ont marqué de leur empreinte les cours européennes du XVIe siècle. La peinture Amélioration des techniques de peinture • la peinture tonale • amélioration du vernis, notamment grâce aux recherches de Léonard de Vinci • la peinture sur toile remplace la peinture sur bois, trop chère. • le tableau de chevalet Renouvellement des thèmes Le nu est peint pour lui-même, il devient

: Presto Le premier thème est rustique et écrit en homophonie avec une seule harmonie par phrase. Le second est un semblant de fugue mais ratée. Tout deux présentes des carrures étranges et surprenantes. La cadence finale se termine par plusieurs accords en polytonalité. Mozart tombe le masque et fait ainsi un pied de nez aux musiciens et aux analystes qui ne l’auraient pas compris. Grâce à sa maîtrise du langage tonal, Mozart, en se détournant de ses propres exigences esthétiques nous montre que

la percussion (dès 9’’ et tout au long du titre) évoquant des sonorités de tablas6 indiens (électroniques ?) apportant une touche d’exotisme. Le deuxième ostinato donne une grande importance à la note mi, ce qui constitue pour l’oreille, un pôle tonal, un point fixe autour duquel gravite la constellation instrumentale et harmonique. L’introduction se divise en 2 parties : 8 mesures avant riff puis à 25,5, juste après un deuxième bruitage au synthé, 8 mesures de guitare en cordes “étouffées” avec

grave dont traite cette tragédie inspirée de l’Andromaque de Racine. Le crescendo naît d’une mélodie de cinq notes conjointes, introduites par un thème frétillant en sol majeur, joué par la clarinette. De ce thème, Rossini retient cette petite montée tonale sur laquelle chaque instrument viendra s’appuyer créant un crescendo « poco a poco » : Une autre ouverture d’un opéra de style seria illustre parfaitement cette force du crescendo présente de la même manière que dans l’opéra buffa. Il s’agit

Les extraits musicaux de La Bohème sont tirés du cd de chez EMI dirigée par Beecham. Les extraits de Manon, sont tirés du dvd du Staatskapelle Berlin, dirigée par Barenboïm. Chez Massenet et Puccini on trouve des mélodies vocales simples, avec une harmonie fluide et expressive inspirée par Hector Berlioz. Elles sont pleines de sentiments très féminines avec l’utilisation de la 9 ème de dominante comme accord le plus complexe. Le 1er air de Manon « je suis encore toute étourdie »A I, dvd Ière partie

choses s'engendrent avec force et rapidité, la tonalité qui se dissout, ou qui est niée, ou qui se renouvelle, emmène la musique vers un horizon parfois joué d'un lointain inouï. En somme, au XX ème siècle, la musique, qui en même temps que son langage tonal est remis sur les planches, doit se renouveler par l'emprunt de chemins nouveaux et parfois très expérimentaux. Cette période est soulevée par un bouillonnement musical extra-ordinairement intense ; les créations, les multiples démarches et expérimentations

marque que la première et la troisième. On crée ainsi une impression de décalage quant à l'emplacement "naturel" des notes. Le terme de shuffle est souvent employé pour désigner ce rythme. Le blues est souvent synonyme de tempo medium voire lent. Harmonie Initialement assez libre, la structure harmonique du blues se fixe progressivement pour aboutir à une forme de base articulée autour de trois accords, généralement sur 8, 12 ou 16 mesures. La forme en douze mesure est de loin la plus commune 

minimaliste* : courant de la musique contemporaine apparu dans les années 60 aux USA , également appelé musique répétitive :caractérisée par l’ utilisation d’une pulsation régulière et la répétition de courts motifs mélodiques évoluant lentement, une harmonie consonante, en réaction au sérialisme trop abstrait de Schoenberg Commentaire musical L’idée que l’on puisse utiliser n’importe quel son dans un morceau de musique a été dans l’air pendant tout le XXe siècle. L’insertion du non musical dans le musical

sourdine pour diminuer le son au maximum pour ne pas déranger sur les pianos droits et la pédale tonale ou pédale sostenuto sur les pianos à queue, elle permet de prolonger uniquement le son de la dernière note jouée en laissant levé l'étouffoir de celle-ci; la dernière (pédale forté) est peut-être la pédale la plus utilisée, elle permet au pianiste de prolonger la vibration des cordes, pour lier les harmonies entre elles. La quatrième pédale, plus rare que les autres, sert à prolonger les vibrations