Harpies

atteindre 1,80 mètre et peser 13 kilos. On trouve aussi des toucans (que l'on peut difficilement dresser) (photo ci-dessous), des aras (que l'on peut, au contraire, facilement dresser), des pécaries, sortes de cochons sauvages, des chauve-souris, et l'aigle harpie, qui fait son nid à la cime des plus grands arbres. • L'Amazonie se défriche de plus en plus, car le gouvernement donne des passerelles exploitables par les paysans. Malheureusement, ces-dernières, parfois immenses, ne sont pas labourées, ou alors

s’impose : chez Hugo, les oiseaux parlent et ils parlent même trop. En témoignent deux poèmes dans lesquels les volatiles sont tellement bavards que l’homme leur demande de se taire. Dans « Les Oiseaux » : Je criai : – Paix aux morts ! vous êtes des harpies. – Nous sommes des moineaux, me dirent ces impies. – Silence ! allez-vous en ! repris-je, peu clément9. Et dans « En écoutant les oiseaux » : Oh ! Quand donc aurez-vous fini, petits oiseaux, De jaser au milieu des branches et des eaux, Que

intérieur et extérieur, contenant et contenu. L’apparence des silènes est grotesque, comme le souligne l’énumération comique des « figures amusantes » ornant leurs couvercles. -L’auteur fait la liste de créatures animales fantastiques « telles que harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes bâtées, boucs volants, cerfs attelés », et souligne la dimension comique de ces « peintures imaginées pour faire rire les gens ». -Une parenthèse vient préciser l’origine étymologique et mythologique

Les personnages du maire et du curé (comme tous les notables du village) sont très stéréotypés: ce sont des personnes avides de pouvoir, ils ont des femmes harpies. Extraits qui m’ont plu. Et pourquoi ? : J’ai beaucoup aimé le chapitre 12 et le chapitre 23  CHAPITRE 12:

palaisMédicis, sur de grandstableauxsur toile destinésà en orner du les murs,ce personnage était devenule symboleidéalisé surhomme déchaîné, c'est ainsi qu'en 1506,un Hercule de Pollaiolo aboutit et à Nuremberg,dans une toile de Dùrer, Hercule et les Harpies, où il avait servi de modèle. Par conséquent,bien qu'aucune figure de la Jalowie ne soit I'invention originale de Dûrer, cette gravure n'en appartient pas moins à Dûrer, dans un sens supérieur.Même si celui-ci ignorait I'angoisse I'esthètemodernedoutant

serpent venimeux et mourut. Orphée, inconsolable, tente d’aller récupérer sa moitié dans le royaume des morts. Cependant, l’entrée des Enfers était impossible pour quelqu’un qui n’était pas mort, et était gardée par des monstres (Cerbère, les Harpies, les Chimères …). Mais Orphée avait un gros atout : sa lyre. Perséphone et Hadès, roi et reine des enfers, charmés laissent partir Eurydice et Orphée, mais à une condition : Orphée devait remonter jusqu’au royaume des vivants sans ce retourner

chantant, volant, sautant,Égratignant la mort de leurs griffes pointues,Lissant leur bec au nez lugubre des statues,Becquetant les tombeaux, ces grains mystérieux.Je pris ces tapageurs ailés au sérieux;Je criai: -- Paix aux morts! vous êtes des harpies.-- Nous sommes des moineaux, me dirent ces impies.-- Silence! allez-vous en! repris-je, peu clément.Ils s'enfuirent; j'étais le plus fort. Seulement,Un d'eux resta derrière, et, pour toute musique,Dressa la queue, et dit: -- Quel est ce vieux classique

noir ! », le sang normalement rouge, symbole de la vie apparaît comme un symbole du mal et de la mort. Le poète lui même se voit comme une créature du mal « harpie » et en même temps une créature du bien : « oiseau ». De plus à travers ces allégories, le poète montre qu’il est néfaste envers lui même : « Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu’à son cœur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, ». Il est condamné à errer dans les « limbes »

doit partir sans eux. Les Argonautes arrivent ensuite à Bébricie où Pollux affronte le roi Amycos qui à l'habitude de défier tous les étranger. Leur prochain arrêt à lieu à Salmydessos, ville de Thrace. La vit le roi aveugle Phinée tourmenté par les Harpies. Ces oiseaux à têtes de femmes dévorent et souillent sa nourriture. Calaïs et Zétès, les fils de Borée, les chassent en soufflant si fort qu'elles sont emportées très loin au dessus des mers. Pour les remercier Phinée leur révèle comment franchir

de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins ! Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain ! » Vers le