Hayek Crises

l’organisation. Assumer Ainsi, les organisations développent fréquemment des chefs d’œuvre d’ingéniosité afin de justifier ou de dissimuler leurs éventuelles erreurs. Or, dans certaines circonstances exceptionnelles, notamment lors de situations de crises, il convient de se demander si les organisations n’auraient pas intérêt à assumer leurs erreurs donnant ainsi raison au mécontentement de leurs salariés (comme par exemple Total avec le naufrage du Prestige ou de l’Erika). En effet selon Morel (2005)

Espagne ; dévaluations successives pour favoriser les exportations espagnols (qui font rentrer de l'or) et décourager les importations (qui pourraient en faire sortir). Le résultat fut catastrophique : les espagnols durent faire face à de nombreuses crises inflationnistes, et le pays replié sur lui-même, finit dans la misère. Plus précisément : 1. L’arrivée d’or et d’argent a conduit à un déplacement de la population vers les grands ports (Séville en particulier). Quand la source d’or s’est tarie

formes de la concurrence. ? Les principaux axes de l’intervention publique. 2-1) Négociations collectives et contractualisation du rapport salarial υ Le compromis salarial fordiste est, par nature, porteur de tensions, de conflits, voire de crises. ? Dans une perspective marxiste : le point nodal de la lutte de classes, dans le mode de production capitaliste. ? Il importe donc de réguler le compromis salarial. υ Dans le cadre du mode de régulation monopoliste, la régulation du compromis

enseignement et recherche, Centre d'études de politique étrangère, Paul Hartmann éditeur, p.224-255. La troisième partie du texte de Picard est consacrée aux centres de recherches. 25 G. Bardet, X Information, 25 août 1931, réédité in De la récurrence des crises économiques, Economica, 1981, p.13. Philippe Bauchard (1966) écrit dans Les technocrates et le pouvoir : « Le groupe X-Crise naissait dans la sympathie d'une réunion de copains autour d'un homme qui intrigue aujourd'hui encore tous ceux qui évoquent

marchandises entraînerait l'anéantissement de la société ou même de l'humanité elle- même. Pour Polanyi, le plus grand danger n'est pas de nature économique: ce n'est ni que le marché autorégulé est capricieux (c'est-à-dire volatil), ni qu'il produit des crises économiques chroniques. La plus grande menace est l'éradication des institutions sociales. En ce sens, le travail, la terre et l’argent sont des «marchandises fictives» parce qu’ils sont simplement traités comme s’ils étaient produits pour la

laissez-faire, laissezpasser » sont des expressions d'une conception selon laquelle l'intérêt général est la somme des intérêts particuliers. Cette conception est celle de Smith, de Hobbes, de Spinoza. Dans La route de la servitude (1944), F. A. Von Hayek définit les limites de cet Etat minimum, en reprenant certaines justifications déjà avancées par A.Smith. Le rôle attendu de l'Etat est de « créer les conditions dans lesquelles la concurrence sera la plus efficace possible », de remplacer la concurrence

conscience planétaire. L’humanitaire ainsi « substantifié » devient vite un impératif pour le politique, enclin, soit par conviction soit pour complaire aux médias, à lancer des opérations humanitaires, à créer des couloirs humanitaires ou à soulager des crises humanitaires. Avec l’avantage annexe qu’être toujours du côté des victimes, peut servir de politique de substitution : la « diplomatie humanitaire », théoriquement neutre, intervenant en cas de catastrophe mais aussi de conflit infra-étatique (guérilla)

(croissant), sachant que, dans les deux cas, le sujet n’offre aucun angle d’attaque, ce qui implique un effort de réflexion et de questionnement maximal :  ceux qui se réduisent à un concept ou à un phénomène économique. On citera par exemple Les crises financières (AG-EXT ECOGEST 2006) ; L'immatériel dans l'économie (AG-EXT ECOGEST 2005) ; Les politiques de lutte contre la pauvreté (AGEXT SES 2005) ou encore La coopération dans l'activité économique, La convergence en Europe après le passage à

1. Introduction À partir du début des années 1980, la finance internationale a connu une révolution : croissance exponentielle des montants traités, invention de produits extrêmement innovants, avancées technologiques mais aussi une série de crises. Tous ces événements ; qui font régulièrement la 'une' de l'actualité et sont au centre des préoccupations des gouvernements traduisent une mutation colossale de l'économie internationale. Ce changement se résume par les termes de "globalisation financière"

modèle développement qui est en cause ou les excès auxquels il a donné naissance ? S'agit-il de changer de fond en comble notre organisation sociale ou de l'aménager ? -Crises et cycles de croissances : • Accroche :  « les crises, loin d’être des fléaux sociaux, constituent une bonne douche froide pour le système économique », écrit R. Heulbroner (1971), résumant la pensée de Schumpeter ;  l’image de la crise, avec son cortège de faillites,