Hayek Crises

(actuelle). Elle explique qu’il est nécessaire d’introduire la concurrence dans les services publics et qu’il faut développer une culture de la performance, un mode de gestion productiviste dans l’Etat. Ex : abus de contrats aidés (formation). Hayek prix Nobel en 1 974 explique que seul le marché peut garantir liberté et justice alors que toute intervention de l’E peut conduire au totalitarisme. Nozic dénonce l’injustice de la fiscalité. Si pas de retour pas d’impôt légitime. TVA injuste pour

thèse d’Adam Smith reprise par l’école classique Plusieurs économistes vont développer un véritable courant de pensée économique : JB Say, Ricardo, Malthus... Say explique que ce sont les débouchés qui ouvrent la production et pour éviter les crises il faut libéraliser les échanges. L’Etat doit assurer la protection des travailleurs pour ne pas qu’ils subissent une domination du marché. Globalement, l’Etat ne doit pas intervenir car il vaut mieux une erreur d’un individu qu’une erreur de l’Etat

thèse contractualiste, Rousseau et Hobbes. * Deuxième courant pense que la thèse contractualiste est fausse, le droit n’est pas le résultat d’un contrat, apparus d’une façon endogène, spontané, produit involontaire des actions lui-même : Hume, Hayek, Lewis. La thèse de Lewis repose sur deux concepts : régularité, comportement récurrent, et sur l’institution sociale, c’est la régularité du comportement qui s’est généralisé. Une régularité devient une institution quand elle vérifie trois conditions :

Keynésienne[modifier | modifier le code] Plus modéré, le keynésianisme (inspiré par John Maynard Keynes dans les années 1930 ) pointe à certaines périodes l'insuffisance de la demande effective et revendique un rôle actif de l'État lorsqu'il s'agit de faire face aux crises de sous-production par une politique de relance. Les résultats très contrastés du New Deal, puis l'échec relatif des plans de relance dans les années 1970 marquent la fin de la dominance du courant keynésien. L'économie politique dans la culture

le 19e s. Dans les années 1950 le modèle atteignit son âge d'or, consolidé par la puissance, le dynamisme et la réussite des États-Unis ; c’était le temps des certitudes et d’une Amérique sûre d’elle-même. Mais les difficultés, les problèmes, les crises ou les échecs se multiplièrent, et les États-Unis en vinrent à douter d’eux-mêmes, surtout entre 1965 et 1980. Le modèle fut alors contesté, affaibli, et pourtant suffisamment dynamique pour connaître un renouveau éclatant à partir de 1980. 3/37

car c'est une analyse différente fondée sur l'analyse individuelle: Dans les années récentes, il faut ajouter un courant appelé les monétaristes: les auteurs sont des auteurs tels que ⇨ Léon Walras, Pareto, Maurice Mallais, G. Debreu. ⇨ Hayek (1930), Friedman à partir des années 1950 a entrepris une critique des positions interventionnistes qui dit que l'intervention de l'Etat aboutissait à des solutions pires que ce que l'Etat a tenté de résoudre. Idée 1_ Le libéralisme peut se résumer:

dernière. CCL : St Thomas, penseur de 1er ordre. Clés de lecture : bien commun des peuples dont les politiques ont la charge. Il est l’un des ts premiers penseurs du monde occidental. LEÇON 7. L’héritage thomiste : sécularisation du politique et crises (14e et 15e s.) Renaissance, crise de l’empire (mort de Frédéric II). Fin de la prétention des empereurs à la domination universelle à l’imperium christiani. Crise de la papauté (Boniface VIII perd face à Philippe Le Bel), Schisme d’occident (2 papes

politique inverse de celle qu’il avait prévue. *La monnaie active: C’est le point de vue contraire: la création monétaire peut avoir une influence sur la sphère réelle. Banking School: le système bancaire est au service de l’économie. Hayek pense que la monnaie peut avoir une influence, Wicksell aussi, ainsi que Schumpeter. Le point de vue keynésien consiste à dire, en s’opposant aux classiques, que la demande de monnaie est instableè préférence pour la liquidité est liée à l’incertitude

des séries consécutives d’innovation. Lorsque intervient un ralentissement de cette dynamique, les perspectives des entrepreneurs sont moins favorables et accélèrent le reflux du nombre d’innovations. Si l'on s'intéresse aux causes profondes de ces crises, il convient sans doute de privilégier une analyse de l'innovation et des mobiles psychologiques, sociaux et techniques qui la génèrent. Ainsi Schumpeter mentionne le mimétisme des entreprises (et des entrepreneurs) comme raison explicative, à partir

Économie du travail ..................................................... 129 Chapitre 8 – Croissance économique et développement ....................... 152 Chapitre 9 – Commerce international et mondialisation ....................... 169 Chapitre 10 – Crises et cycles.......................................................... 189 III. LA SCIENCE ÉCONOMIQUE Chapitre 11 – Qu’est-ce que l’économie ? ......................................... 208 Chapitre 12 – Histoire de la pensée économique : les grands