Hayek Crises

les Keynésiens considèrent que l'endettement, en général, n'entraîne pas de coût du fait des investissements nouveaux qu'il génère, lorsqu'il existe un sous emploi des ressources productives, les classiques assimilent l'endettement à un impôt futur. Hayek (1989), par exemple, dénonce la croissance réalisée grâce aux prêts extérieurs comme une croissance artificielle, fondée sur un investissement supérieur à l'effort d'épargne de la nation et provoquant un ajustement par l'inflation. En effet, les capitaux

propres aux démarches holistes et systémiques, les néo-classiques écartent sciemment de leur champ de vision les forces collectives, les institutions socialement construites, les structures historiques des formations sociales —en clair, ce que von Hayek qualifiait d’« abstractions populaires et pseudo–entités collectives »—, et leur étroite et complexe connexion avec les actions des hommes. Cela donne ce qu’il faut bien appeler de vraies catastrophes intellectuelles. Juste quelques exemples, tous

A. L’accroissement des dépenses publiques Les dépenses ont triplé entre 1815 et le début des années 70. Multiplié par 6 si on intègre CT et Sécu. Toutefois, les dépenses publiques ne croient pas de manière linéaire, on a des pics au moment des crises. Ainsi, en France, on observe des bonds après la guerre de 1870, celles de 14-18 et de 39-45, après la crise économique des années 30… Certains chercheurs ont montré que ces pics de dépense correspondaient aussi à des cycles économiques (Kondratiev :

On voit ici que, pour acheter à bon compte une réputation monétaire, les autorités autrichiennes s’étaient mises dans une situation les privant de capacité de réaction face à de nouvelles crises. Ce que nous enseigne la crise de la CreditAnstalt, c’est que nul pouvoir ne saurait prévoir la nature des crises à venir. La conséquence est qu’il faut laisser au pouvoir sa liberté d’action discrétionnaire. Si cette mesure de « constitutionnalisation » d’une règle limitant le déficit budgétaire devait

entreprises peuvent se tromper sur niveau/évo° de la dde une fois confrontée à la dde réel => ajustemts nécessaires. D’après ceci I est induit => fct° de la dde : I =f(D). Relat° entre I est dde analysée par 2 économistes : Albert AFTALION : Les crises de surproduction (1913) John-Maurice CLARK Tout 2 à l’origine de l’accélérateur (cf annexe 1). A partir de là I a un caractère volatile, irrégulier par rapport à dde, encore + quand technique fortement Kistique. -Qd dde augmente à rythme croissant

Brillant intellectuel condamné à vivre misérablement à cause de ses idées ; pour preuve, deux de ses fils sont emportés par la tuberculose, maladie de la misère et il ne put parfois pas soigner ses enfants et sa femme faute de moyens, sans compter ses crises de furonculose. Son ami Engels bouclera très souvent les fins de mis du ménage Marx. THEMES & CHAPITRES DU PROGRAMME La division du travail chez Smith et Marx (E.D.S.) Les conflits de classe selon Marx Libre-échange & Protectionnisme • • • • •

gouvernant les actions et les pensées des personnes. La notion a aussi connu un certain succès à raison des convergences historiques comme celle du pacte germano-soviétique. Outre les historiens, la notion de totalitarisme se trouve chez Friedrich Hayek, (La route de la servitude en particulier), Hannah Arendt. Elle est cependant critiquée comme étant une arme idéologique, reliquat de la Guerre froide. Les points communs : * l'existence d'un parti unique ; * la volonté de créer une société

Brillant intellectuel condamné à vivre misérablement à cause de ses idées ; pour preuve, deux de ses fils sont emportés par la tuberculose, maladie de la misère et il ne put parfois pas soigner ses enfants et sa femme faute de moyens, sans compter ses crises de furonculose. Son ami Engels bouclera très souvent les fins de mis du ménage Marx. IDEES DE L'AUTEUR • • • • • • • • • • • • • La division du travail favorise certes la croissance économique mais aussi l'aliénation du travailleur Il

informations meilleures et plus nombreuses que les innombrables intervenants des marchés. On peut en trouver une illustration dans le fonctionnement des marchés financiers et, en particulier, dans les évènements récents. Pour bien comprendre l’émergence des crises financières de notre époque, il peut être utile de garder à l’esprit un modèle de référence que nous définirons à partir de deux caractéristiques : a) une monnaie « stable » ou, plus précisément, l’existence d’un système monétaire dans lequel une

régissent la concurrence soit fixées légalement (législation anti trust) : attitude moins radicale. Les ouvertures des M doivent être respectées par tous les pays. Ces ( consisteraient à un renouement avec la vocation initiale du FMI (éviter les crises financières, favorisées par une libéralisation précoce des M financiers, et permettre une stabilité monétaire). Bilan de la partie sur les critiques de la M Essor sans précédent historique d’une vision néolibérale du monde : Forte crise de légitimité