Hayek Et La Crise

dans les organisations internationales. « Le communisme rendait fou, le néolibéralisme rend stupide », telle est la conclusion du philosophe Marcel GAUCHET lors d’une conférence à l’école des Hautes études en sciences sociales sur le thème « la crise financière : une approche politique » le 29 janvier 2009. En postulant que l’analyse philosophique des rapports entre individus est transposable à l’analyse des rapports entre Etats et afin de comprendre le sujet qui est soumis à notre étude, il est

existe et est d’actualité (cf Sapir). Les pays Espagne, Grèce, Portugal, entrés dans la CEE étaient des pays parmi les plus pauvres d’Europe. Ces pays ont largement bénéficié des transferts européens et des marchés européens, à tel point qu’avant la crise ils faisaient figure de modèle. L’euro a contribué à leur essor. Jusqu’ici on a parlé de tous sauf de monnaie, même à propos des prix puisqu’en microéconomique on utilisait des prix relatifs (et non exprimés en unités monétaires). Le problème est là:

désigner dans le même temps les États fasciste et communiste semble avoir été faite en Grande-Bretagne en 19299. Dans les années 1930, le concept fut utilisé sous la plume d'écrivains pro-nazis. Carl Schmitt employait ce terme pour mettre en lumière la crise du libéralisme et du parlementarisme et exprimer la nécessité d'une politique plus autoritaire10. Simone Weil écrivait en 1934 : « il apparaît assez clairement que l'humanité contemporaine tend un peu partout à une forme totalitaire d'organisation

d’expansion permettent de surpasser les période de crise de long terme. Ou mais de quels cycles parle t’on ? B) Cycle Kondratiev : Long 50, 60 ans définis à partir d’une étude statistique sur 4 pays : USA, France, GB, Allemagne 1879 1920 Il montre qu’il y a des tendances qui se dégagent en 3 phases : * extension 20ans * plateau (récession primaire 10ans) * dépression 20 ans Les prix monte plus la croissance se développe, puis la crise en fin de plateau intervient et l’économie chute

20ème Chapitre 1 : La révolution marginaliste : une unanimté trompeuse 1.1. Une nouvelle théorie de la valeur 1.2. Divergences entre les trois écoles Chapitre 2 : Les grands débats d’économie politique 2.1. La question de la monnaie 2.2. La grande crise et le New Deal 2.3. L’économie d’après guerre 2.4. La gobalisation du 20ème et la montée des Etats 3 2ème Partie La pensée économique au 19ème 4 P REAM BULE : Double mouvement paradoxal au 19ème. • Au 19ème l’économie politique

mouvement de la globalisation financiere de l'economie. Le marché financier international est desormais en position de force et paraît imposer sa loi aux Etats nations qui ne pourront s'en sortir qu'en faisant du multi-lateralisme. Avec la crise qui a eclatée en 2008 on peut se demander au regard des reflexion sur la regulation de l'economie mondiale si on ne va pas assister a un nouveau réencastrement de l'economie. Au fond, on voit bien que l'analyse des theories économiques du marché

dès qu'il s'est convaincu d'erreur ou qu'il s'est laissé convaincre. Ainsi, lorsque Alvin Hansen, par exemple, apporta à. la première de ses équations fondamentales une correction importante, Keynes s'y soumit volontiers 6 . Sa polémique avec A. von Hayek n'aboutit pas aussi rapidement, par contre, à de si heureux résultats 7 . Et l'on peut même regretter que, dans ce nouvel ouvrage, les difficultés soulevées par l'opposition entre les vues de Keynes et celles de « l'École autrichienne », ou « néo autrichienne

day". => augmentation forte des salaires. Première crise Tayloro-Fordiste : années 60 : -épuisement social : conditions de L insupportables => grèves, malfaçons, absentéisme, turn-over, manifs... -efficacité éco atteinte : hausse des salaires alors que la productivité augmente moins vite => baisse des profits. + augmentation de l'inflation. -Internationalisation des économies => marchés plus concurrentiels et + incertains. Deuxième crise Tayloro-Fordiste : années 80-90 : -Mutations ds la Demande

Khôlle 1 : Analyse macroéconomique (AMPE)Quels sont les points communs et les différences entre les approches de D.Ricardo et d’Adam Smith ?Adam Smith (1723-1790) : · Philosophe et économiste écossais des Lumières· Père de la science économique moderne· « La Richesse des nations » (1776) = texte fondateur du libéralisme économique· Axes d’étude : · Th de la valeur et des prix· Th de la main invisible (la recherche de l’intérêt personnel conduit, par le marché concurrentiel

déréglementation ou encore la délocalisation de l’activité – a pris un essor considérable au cours des dernières décennies. Indéniablement perçue comme la clé de la croissance économique moderne, la mondialisation a évidemment été touchée par la récente crise qui sévit depuis 2008 sur l’ensemble de la planète. Si nombre de ses bienfaits ont maintes fois été démontrés (notamment pour les pays du tiers-monde en vue de devenir davantage industrialisés et développés ; ouverture des horizons de l’homme)