Hécate

ils sont sur les routes. Son nom peut être traduit par la courtilière. HALPHAS Grand comte des enfers, paraissant sous la forme d'une cigogne, avec une voix bruyante. Il bâtit les villes, ordonne les guerres et commande vingt-six légions. HECATE Diablesse qui préside aux rues et aux carrefours. Elle est chargée aux enfers de la police des chemins et de la voie publique. Elle a trois visages : le droit de cheval, le gauche de chien, le mitoyen de femme. Sa présence fait trembler la terre

Les  mystères  de  l’antiquité  païenne :  Mystères  d’Eleusis.           « Hymne homérique à Déméter ». Gustave Courbé, L’Origine  du  monde.    Edward Burne Jones, Proserpine. Les magiciennes et les sorcières : Héphaïstos, Asclépios, Hermès, Isis, Hécate, Séléné, Baubô ; Médée, Circé…    La  mythologie  orientale :  Ishtar,  Astarté, Inanna et Isis : la thématique du corps en morceaux.  Le  corps  mutilé  de  Dionysos.  « Hymne  homérique  à  Dionysos ».  Naissance  du  théâtre.  Nietzsche :  Apollinien 

le joueur têtu, Comme à la bouteille l’ivrogne, Comme aux vermines la charogne » Et il s’exclame: « -Maudite, maudite sois-toi ! La femme est un être « maudit », selon Launay, car elle est « la médiatrice inconsciente de Satan. Elle incarne Hécate(divinité de l’enfer)qui reçoit du soleil cette clarté devenue ténébreuse en elle »(Launay: p. 65 et 66). Dans les trois dernières strophes Baudelaire personnifie « le glaive » et « le poison » à la manière des poètes médiévaux, comme Guillaume

le joueur têtu, Comme à la bouteille l’ivrogne, Comme aux vermines la charogne » Et il s’exclame: « -Maudite, maudite sois-toi ! La femme est un être « maudit », selon Launay, car elle est « la médiatrice inconsciente de Satan. Elle incarne Hécate(divinité de l’enfer)qui reçoit du soleil cette clarté devenue ténébreuse en elle »(Launay: p. 65 et 66). Dans les trois dernières strophes Baudelaire personnifie « le glaive » et « le poison » à la manière des poètes médiévaux, comme Guillaume de

en effet se rendre dans un sanctuaire pour honorer telle ou telle divinité ou tel ou tel héros de sa propre initiative. De même, tout Grec peut pratiquer le culte domestique, dans le cadre privé de sa maison (oikos) : il fait alors une prière à Hécate qui protège le foyer, à Zeus Herkios qui protège l’enclos de la maison, ainsi qu’Hermès, à Hestia la déesse du foyer. Il peut leur faire une libation, sacrifice non sanglant, en versant un peu d’un liquide (vin ou mélange de vin et miel ou lait et

dit (v. 797-798 tibi… sacrum solemne damus): elle annonce que son sang va couler (v. 807) et dit qu’il a coulé (v. 810b-811a Sacrum laticem / percussa dedi «je me suis frappée, j’ai donné cette liqueur en offrande pour le sacrifice»); elle invoque Hécate (v. 833) et, aux aboiements de la déesse, se voit exaucée (vv. 841-842). Après en avoir terminé avec ces longs préparatifs, elle appelle ses enfants pour qu’ils portent ces pretiosa dona, ces «cadeaux précieux» pour leur pouvoir de mort, tout à fait

aristocratique, et dus coup de s’extraire du temps corruptible, des simples mortels. ! ! c) L’ange de la mort! • Adrienne n’apparait que de nuit et le narrateur l’associe spontanément à la lune! • p19 21 pour les grecques la déesse de la lune c’est Hécate (divinité chthoniennes, qui vit dans les souterrains) → une déesse ambivalent puisqu’il s’agit de la déesse de la fertilité, mais également de la déesse des ombres, spectres et cauchemars ! • p 21 «fantôme rose et blond glissant sur l’herbe à demi

Elizabeth Báthory, si précocement initiée par sa tante Klara, n'a pas consacré sa vie à cette religion instinctuelle et viscérale tout entière vouée à l'adoration de la Grande Déesse des temps obscurs, celle qu'on a prisé trop hâtivement pour la terrible Hécate lunaire, divinité grecque des carrefours (où rôde également le Diable !), et qui n'est en réalité que l'image du Soleil rouge, la fameuse et cruelle Artémis des Scythes, celle qui, dans la tragédie d'Euripide, Iphigénie en Tauride, réclame incessamment

devient insouciant. Le parallèle à Macbeth n’est pas ténu : le mensonge est ce mal qui ouvre la grille aux autres maux; il est le seuil de l’indifférence par lequel on bascule, définitivement, dans le vice. D’ailleurs, la maîtresse des sorcières est Hécate, déesse des esprits turbulents, c’est vrai, mais aussi déesse des portes. Pour les deux auteurs, c’est toute l’existence qui est dévaluée par l’équivoque. Pour Kant, c’est la loi morale et donc notre véritable raison d’être; pour Macbeth, c’est son

autels brûlants ! Ainsi la cité sera prospère, parce qu’on y vénérera le grand Zeus, le dieu hospitalier surtout, celui dont l’antique loi règle le destin. Nous souhaitons qu’il naisse toujours de nouveaux fils pour veiller sur le pays, et qu’Artémis Hécate veille aux couches de ses femmes. Qu’aucun fléau ne vienne tuer ses hommes et ravager la cité, en armant Arès, dieu des larmes, qui fait taire les choeurs et la cithare, et soulève les clameurs de la guerre civile ! Que le triste essaim des maladies