Hédonisme

à Ménécée accéder au bonheur signifie atteindre le plaisir cela ne veut pas dire qu’atteindre le plaisir signifie atteindre le bonheur. Toutefois pour Épicure l’homme ne doit pas chercher le plaisir à tout prix, l’épicurisme est un hédonisme modérer. Selon lui la satisfaction des plaisirs doit s’effectuer dans certaines limites, l’excès de plaisir nuit à l’équilibre de l’âme et du corps ; quand le plaisir dépasse une certaine intensité /quantité il se transforme en sont contraire :la

également au plaisir. Le problème du texte est par conséquent de savoir si le bonheur provient de l’art de mettre fin à son désir (ascétisme), ou bien si le bonheur se trouve plutôt dans l’art même de désirer, de renouveler sans cesse ses désirs (hédonisme). Il est vrai que désirer est en quelque sorte avoir l’âme troublée par une insatisfaction, un manque qui est nécessairement à la racine du désir et qui engendre une certaine forme de peine. On peut voir alors le désir comme la source de bien des

matériellement, etc. peu être vue comme quelqu’un d’heureux. Le bonheur n’est pas une barrière à la pensée mais bien plus une sorte de stimulant. Un des nombreux courants de la philosophie antique était d’accord avec ceci, « La philosophie cyrénaïque est un hédonisme, une morale du plaisir : le bien est ce qui fait plaisir, le mal est ce qui donne du déplaisir. »7. Même si cette idée est à prendre en note, le parfait bonheur est difficilement atteignable, voir impossible. Selon Épicure, « Avant de jouir, il

« bête brute », « chien », « pourceau » → DJ cède à ses instincts. Chien > cf. cynique → cf. Diogene ( qui incarne le cynisme ) qui satisfait en priorité ses besoins naturels ( en public aussi ) «  pourceau d’Épicure » ( dérive de l'épicurisme ) hédonisme → plaisir avant tout. cf.. Sardanapale ( roi immoral, débauché ) Dom Juan : Au sommet de la débauche ( comparaison avec des personnages importants ) → Séducteur : « épouseur à toutes mains » + gradation descendante des classes sociale Son

sur la nature et le bien. Le bien vivre : Écoles hédonistes : prônent le plaisir comme source de bien-vivre. Contrairement à l’école des cyrénaïques qui prônaient le plaisir de l’instant, intense et si possible continuel, Épicure propose un hédonisme modéré par les limites naturelles des plaisirs. Selon lui, il faut tenir compte du trouble intérieur que cause une incessante recherche du plaisir qui doit toujours recommence une fois ceux-ci savourés. La nature exige a même temps la satisfaction

uniquement dans le cadre restreint de l'école. Il s'agissait d'une sorte de vie en communauté dans un austère retrait du monde ; solidarité et amitié sont les piliers de l'école et les piliers de son système éthique. Or, sa vie communautaire et son hédonisme philosophique, dont les aspects graves étaient ignorés, lui valurent des railleries et des accusations de débauche. La doctrine éthique enseignée par Épicure prône essentiellement la quête du bonheur, à laquelle on peut accéder en valorisant des

homme méchant. ROusseau invente nouvelle écriture, conversation de sois avec soi.  Saint Augustin - Montaigne - Rousseau Les Confessions - Les Essais - Les Rêveries  Pour Saint Augustin,  solitude = priere Pour Montaigne, solitude = retrait, hédonisme Pour Rousseau, solitude = dictamen de la conscience (sentiment interieur de soi). "Mais moi, détaché deux et de tout, que suis-je moi même ?  "  III] La connaissance d'autrui 1/ Le raisonnement Par analogie,  égalité de rapports. Pas A=B. 

narrative (l’histoire racontée), à la création de l’univers romanesque? L'examinateur m'a interrogé sur le document complémentaire La Promesse de l'aube. Questions sur les textes de la séquence 1 SEQUENCE 3 : LA CLE DU BONHEUR : STOICISME OU HEDONISME ? (GROUPEMENT DE TEXTES) Objet d’étude : la question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jour. Problématique : Quel rôle la littérature peut-elle jouer dans la défense d’une thèse philosophique ? Quels sont pour

le lisons à travers tout un univers symbolique. Nous construisons symboliquement notre apparence, sinon rien n'aurait sens au regard du corps. Ce que nous avons vu jusqu'à présent c'est comment le corps et sa symbolique révèle chez l'individu un hédonisme croissant, un investissement important et surtout un narcissisme.

même s’il n’est pas satisfait. Le problème du texte est donc de savoir si le bonheur provient de l’art de mettre fin à son désir (ascétisme) ou bien si le bonheur se trouve plutôt dans l’art même de désirer, de renouveler sans cesse ses désirs (hédonisme). **** Il est vrai que désirer c’est en quelque sorte avoir l’âme troublée par une insatisfaction, un manque qui est nécessairement à la racine du désir et qui engendre une certaine forme de peine. On peut voir alors le désir comme la source