Hegel Désir Conscience Et Liberté

III Prendre conscience c'est former son jugement moral 1) S'élever jusqu'au devoir Prendre conscience renvoie aussi au processus d'intégration des valeurs par lesquelles mon comportement va être différent de ce qu'il était spontanément. Cela nous conduit à partir du principe (à présupposer avec le sujet), que l'homme est d'abord, peu soucieux de bien faire, que la conscience morale n'est pas innée mais qu'elle s'acquiert par le moyen de l'éducation. Nous sommes d'abord des "sauvageons"" des

déterminisme mais l’homme travail dans un but précis et avec une intention précise. L’homme élabore tout d’abord le concept avant de réaliser son travail. Cela suppose donc un investissement conscient de sa part tandis que l’animal est dénuée de la conscience réfléchie (il ne possède pas le langage). Travail est aliéné quand il est extérieur à l’ouvrier. Il est particulièrement aliénant lorsque l’ouvrier dépossède des modalités de son propre travail notamment dans la société capitaliste. Ex  . Le

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) (1939) Idées Introduction à la philosophie PLATON – DESCARTES – HEGEL - COMTE Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

au centre des préoccupations morales et politiques (Jean-Jacques Rousseau : Discours sur l'origine de l'inégalité parmi les hommes). C'est la convergence de ces deux logiques qui rend de plus en plus inacceptable l'inégalité des conditions : « le désir d'égalité devient toujours plus insatiable à mesure que l'égalité est plus grande ». Il en conclut que le progrès de l'égalité a précédé la Révolution ; il en est une des causes et non une de ces conséquences : « tout ce que la Révolution a fait,

Fiches de révisions Philo LA CONSCIENCE Fiches de coursPhiloTle ESTle LTle SLa conscience 1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant

sujet Peut-on « Peut-on » renvoie soit à une possibilité, se poser alors la question de la contradiction entre désirer et ne pas souffrir ; soit à une légitimité, peut-on tout désirer sans souffrance, notamment celle infligée aux autres ? Désirer Ce verbe désigne d’abord le fait d’avoir un manque par rapport à un objet imaginé ou réel, et qui doit être source de satisfaction. Le désir se distingue du besoin dans la mesure où il n’est pas lié à une nécessité vitale. Il peut également désigner l’élan

INTRODUCTION : Si les hommes ne s’accordent pas toujours sur ce en quoi consiste le bonheur, ni sur les moyens les plus sur pour y accéder, tout homme semble animé par le désir d’être heureux et la crainte d’être malheureux. Et en ce sens, on pourrait faire du bonheur notre finalité ultime de toute existence, donc un bien intrinsèque (= rechercher en soi et non pour une autre fin, un souverain bien) (un moyen a une valeur relative pour une finalité extrinsèque). Tous les désirs particuliers renvoi

ou de la nécessité ? L'amitié est-elle oubli de soi ou affirmation de soi ? Helvétius, dans De l'Esprit, écrit : "La force de l'amitié ne se mesure pas sur l'honnêteté de deux amis, mais sur la force de l'intérêt qui les unit." (Amitié) Amitié et liberté (Amitié) Peut-on choisir ses amis? (Amitié) L'amitié est-elle le fondement de la vie en société ? (Amitié) "Dans l'amitié les âmes ne s'entretiennent pas, mais elles se mêlent et se confondent l'une dans l'autre d'un mélange qui ne retrouve plus la

peut-être même que l’on a souffert plus fort des besoins» , - Le travail peut aussi être le cadre de la satisfaction de désirs : désir de reconnaissance, désir mimétique (Girard), désir d’intégration sociale ou moyen de se distinguer ( Rousseau) quand le travail est une valeur centrale de la société, désir de se divertir (Pascal). Ces désirs étant liés à la conscience de l’homme ou à son existence sociale, ils excèdent les besoins purement vitaux et animaux. - il peut y avoir par delà le labeur

pas sur le résultat mais sur le processus du travail. Le W c’est transformer qqch en un autre, un ordre en un autre ordre. Il est donc contestable de dire comme Marx que le travail suppose toujours conscience et volonté et produit nécessairement une existence matérielle. Il est contestable aussi d’affirmer que le W suppose toujours « la satisfaction » des besoins.Le travail n’est pas du tout une notion économique ou sociale , à partir de