Hegel Esthétique Les Choses De La Nature

cette distinction ? Plus précisément, ce qui s’avère problématique, c’est l’existence même d’œuvres d’art, car admettre spontanément l’existence d’un domaine spécifique de l’agir humain, ayant pour fin la beauté ou cherchant à susciter un plaisir esthétique, ne va nullement de soi. En effet, nul ne sait ce qu’est l’Art ; et ceci se comprend aisément à partir du moment où nous remarquons que nous n’avons jamais affaire qu’à des manifestations plurielles et variées de celui-ci. Pourtant, chacun juge

"stade du miroir" qui inaugure une coupure radicale avec le monde environnant, coupure par laquelle le sujet se saisit lui-même. 2de phase: celle que présente le texte de Kant: -1er moment: Analyse de ce pouvoir, de dire"je", Or, quelle est sa nature? Il consiste à se saisir soi-même par un retour sur soi, comme sujet conscient, unique qui reste le même dans le temps. -2eme moment: la conséquence d'un tel pouvoir c'est qu'il "est une seule et même personne". La conscience fait de l'homme une

copie de la nature   Platon et les philosophes Grecs condamnent et critiquent l'Art. En effet, l'Art n'est qu'une vaine représentation de ce qui se trouve dans la nature qui est parfaite. L'art ne peut arriver à la perfection qui existe dans la Nature et est de ce fait une tromperie. De plus, une oeuvre d'art est le travail d'un artisan qui possède une technique qu'il maîtrise parfaitement. une oeuvre est crée à partir d'un matériau. ("l'oeuvre est engoncée dans la matière" Hegel) Mais la maîtrise

et culturel s'oppose à la tradition classique et au rationalisme des Lumières, cherchant à libérer l'imagination et la langue. Ainsi, il privilégie l'expression du « moi », souvent à travers la représentation d'un héros tourmenté, et le thème de la nature est privilégié. A L'expression de la sensibilité dans la littérature du XVIIIe siècle La sensibilité est l'expression du « moi », des sentiments, des sensations de l'individu. Elle occupe une place privilégiée en littérature dès le XVIIIe siècle

que fait un être, ou ce qui lui arrive, indépendamment de son essence. | acquis | Ce qui n’est pas donné immédiatement. 11 L’acquis s’oppose à ce qui est inné, à ce que l’on possède dès la naissance. 12 Les caractères acquis s’ajoutent à la nature d’un être au cours de son existence. 13 Ce terme désigne ainsi l’ensemble des connaissances acquises par un individu, fruit d’une éducation, d’une expérience ou d’un effort personnel. | acte | Exercice ou manifestation d’une faculté. 14 Selon

l’objet) • Monde des Beaux-arts = monde d’énigmes mais pourtant facile à décrire (monuments, tableaux, sculptures, poèmes, symphonies…). Va s’inspirer de Kant (Critique du jugement) et de Hegel (Cours d’esthétique). Mais contrairement à Kant, va essayer de réintégrer le sublime dans le beau ; contrairement à Hegel, pas de fil historique (Arts symbolique surtout architectural, classique surtout sculptural puis romantique surtout peinture et musique). • Tous ces arts sont des produits naturels

des mécanismes étranges) ce qui est bon de ce qui ne l’est pas. Ce serait la capacité de jugement de l’artiste ( ou qui se déigne en tant que tel) qui lui permettrait de différencier le bon du médiocre. C’est à force de faire preuve de jugement esthétique qu’il peut créer un objet répondant au nom d’œuvre d’art. Nietzsche developpe cette thèse. Même l’imagination de l’artiste serait un résultat d’un travail, ce ne serait donc pas l’inspiration qui pousse l’artiste à créer. « peine et sérieux » serait

négativité" dont nous parle Hegel est d’abord fondamentalement celui de la conscience. Quand nous disons "La Nature" nous évoquons un vaste ensemble d’êtres et de choses dont nous faisons nous-mêmes partie, mais qui pourrait exister sans nous, qui précéderait notre naissance et subsistera après notre mort. A un niveau élémentaire, la Nature révèle la présence d’un monde pré-humain : elle désigne ce qui existe indépendamment de toute intervention humaine, comme un ensemble de choses produit de manière autonome

et culturel s'oppose à la tradition classique et au rationalisme des Lumières, cherchant à libérer l'imagination et la langue. Ainsi, il privilégie l'expression du « moi », souvent à travers la représentation d'un héros tourmenté, et le thème de la nature est privilégié. A L'expression de la sensibilité dans la littérature du XVIIIe siècle La sensibilité est l'expression du « moi », des sentiments, des sensations de l'individu. Elle occupe une place privilégiée en littérature dès le XVIIIe siècle

sur elle-même. À ce propos, dans Esthétique (1835), Hegel distingue deux façons qu’a l’homme d’acquérir cette conscience : « Primo, […] se pencher sur lui-même […], se reconnaître dans ce qu’il tire de son propre fond » et « Deuxièmement, […] se reconnaître […] dans ce qui s’offre à lui extérieurement […] qu’il marque de son propre sceau ». Hegel estime que cette double approche est la conséquence de la condition humaine. L’homme est à la fois chose de la nature, innée et immuable, et esprit qui