Hegel Propédeutique Philosophique Etat De Nature

nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience du monde, comme attention ou sensibilité à ce qui se passe en dehors de nous, et une conscience de soi ou conscience réflexive, comme état intérieur ou sentiment de notre existence, n’est pas réellement pertinente car la philosophie nous apprend que la conscience que nous avons de nous-mêmes est toujours conscience de nos rapports au monde, de nos relations avec les autres êtres, les

l’expérience du dialogue, il se constitue entre autrui et moi  un terrain commun… " Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, p.407. 15- "Dans la vie des masses le rôle déterminant est joué par la contagion et l’imitation. Le moi sort de son état de solitude mais par la perte de soi. " Berdiaev, Cinquième méditation sur l’existence, Aubier Montaigne 1936. 16- "C’est par l’intime même de son être que le Dasein est en sollicitude de son prochain. La sollicitude est un existential, un mode d’être

nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience du monde, comme attention ou sensibilité à ce qui se passe en dehors de nous, et une conscience de soi ou conscience réflexive, comme état intérieur ou sentiment de notre existence, n’est pas réellement pertinente car la philosophie nous apprend que la conscience que nous avons de nous-mêmes est toujours conscience de nos rapports au monde, de nos relations avec les autres êtres, les

des humains, nous avons évolué comme çà. C. Evolution de l’homme à l’humain Nous avons évolué par rapport aux animaux de l’australopithèque à l’homme de Cro-Magnon en passant par l’homo erectus et l’homo sapiens ; et plus le temps à passé plus la nature nous a enlevé des atouts plus l’humanisation nous a comblé ces lacunes, la diminution de notre pilosité a été comblé par l’habillage qui aujourd’hui fait entièrement partie de notre quotidiens même si il diffère avec les cultures. Au fils des temps

droits », des lois françaises enfreignent ce principe; Par exemple, celle de la possibilité de mariage uniquement hétérosexuel. Elle discrimine sur l'orientation sexuelle du couple. En fait, le seul vrai contre-argument au mariage homosexuel est de nature religieuse, or l'État ne s'est-il pas séparé de l'église ? Le grand débat sur le port de la burka ou du voile a fait polémique car interdire le port du voile c'est entrer sur le terrain de la liberté individuelle. Textes de référence : Antigone

et intériorisées par chacun sous la forme de devoirs. Être honnête, être respectueux, sont des valeurs reconnues pour justes. Est-ce là la totalité de nos devoirs ? Nous parlon aussi de devoirs envers Dieu, l'Etat, et parfois même les animaux et la nature. Y a-t-il un caractère commun à ces divers exemples ? Enfin, le devoir semble avoir une valeur réflexive au sens où il s'adresse aussi à nousmêmes. Ce point peut paraître curieux car il signifie que nous nous devons quelque chose. N'est-ce pas abusif

2 Sujet de philosophie : « Un Homme peut-il perdre son humanité? » - Nature :donné intérieur ou extérieur, à la naissance: UNIVERSALITÉ - Culture: ce que l'homme ajoute à la nature. DIVERSITÉ. La conscience est l'essence de l'humanité, tandis que l'instinct est une caractéristique du règne animal. Mais dans les faits, l'Homme a les mêmes types de besoins vitaux que les animaux et il n'agit pas toujours selon sa conscience. Nous nous demanderons donc si l'Homme peut perdre son Humanité ?

cette première idée, il parait absurde de se demander si les hommes ont véritablement besoin de maîtres : pourquoi en effet poser autrement qu’en termes factuels la question de la maîtrise dès lors que celle-ci est perçue comme une nécessité de la nature qui ne dépendrait en rien de l’autorité de l’homme, d’une politeia ? Pourtant poser la question du besoin de maîtres, ce n’est pas poser celle de leur nécessité. On ne peut rabattre si simplement le concept de « besoin » sur celui de nécessité, puisque

liberté naturelle de l’homme à l’état de nature, puis dans un second temps nous verrons au contraire la nécessité d’instaurer le droit. Nous pouvons définir la société comme un groupe d’individus vivant sous des lois communes (société civile), ou comme un groupe d’individus vivant sous les lois de la nature. Pour Rousseau, l’homme n’est pas mauvais par nature. Cet auteur invente le concept d’état de nature, envisagé non pas de manière historique mais comme état de l’homme quand on retranche, de manière

intériorisées par chacun sous la forme de devoirs. Être honnête, être respectueux, sont des valeurs reconnues pour justes. Est-ce là la totalité de nos devoirs ? Nous parlons aussi de devoirs envers Dieu, l’État, et parfois même les animaux et la nature. Y a-t-il un caractère commun à ces divers exemples ? ©HATIER Enfin, le devoir semble avoir une valeur réflexive au sens où il s’adresse aussi à nous-mêmes. Ce point peut paraître curieux car il signifie que nous nous devons quelque chose. N’est-ce