Heinrich Hoffmann

Heinrich von Kleist ( 18 octobre 1777 – 21 novembre 1811 ) : Kleist était un auteur allemand de la fin du 16ème siècle qui a eu une vie étrange, bizarre. Il a perdu ses parents très jeune et a alors vécu chez les militaires. Mais rapidement il se rendit compte qu'il n'était pas attiré par l'armée et donc la quitta. Il faut savoir qu'il menait une sorte de vie cachée qui demeure encore mystérieuse de nos jours. A l'époque de Napoléon, sa haine pour ce dernier l'a conforté dans un sentiment

(« Pragerstrasse »). Ce polyptyque (tableau en plusieurs parties) rappelle la forme des retables, notamment celui d'Issenheim de Matthias GRÜNEWALD, où encore « La bataille de San Romano » de Paolo UCCELLO, et aussi « Nachtmahr « (le cauchemar) peint par Johann Heinrich FÜSSLI, et peut-être « Le Jugement Dernier » de Jérôme Bosch. On retrouve d'autres tableaux tel que « Le cri » d'Edvard Munch et « Elephant célèbes » de Max Ernst. « Der Krieg » montre une image repoussante de la guerre, donc de la mort. Otto

exceptionnel car il montre la véritable maitrise du clair-obscur par Georges de La Tour. Le jeu sur les lumières et l'opposition entre les parties sombres et éclairées du tableau sont en effet ici très bien maitrisés et d'une grande importance. Johann Heinrich Füssli, Lady Macbeth somnambule, Les deux personnages réagissent différemment à la folie de Lady Macbeth : surprise chez la dame de compagnie, intérêt scientifique chez le médecin. Goya, Saturne dévorant un de ses enfants

En 1864, James Clerk Maxwell décrit les lois de l’électromagnétisme, ce qui permet pour la première fois de travailler sur leur source. En 1888, Heinrich Rudolf Hertz montre que les ondes électromagnétiques sont réfléchies par les surfaces métalliques. Au début du XXe siècle, le développement de la radio et de la TSF (par Marconi, entre autres) permet de développer les antennes nécessaires à l'utilisation du radar. Plusieurs inventeurs, scientifiques, et ingénieurs ont contribué ensuite au développement

électromagnétique, c'est-à-dire des plus basses fréquences aux plus hautes fréquences, on trouve : Les ondes radio de basse et très basse fréquence (découvertes fin XIXème par Alexandre Popov, Heinrich Hertz, Édouard Branly et de Nikola Tesla) Les ondes radiofréquences micro-ondes (démontrées en 1888 par Heinrich Rudolf Hertz) Les infrarouges (découverts en 1800 par William Herschel) La lumière visible (mise en évidence par Isaac Newton en 1671) Les ultraviolets (découverts en 1805 par

Rappelons que le romantisme en peinture a amenée l’art moderne et qu’elle chercher a choqué…Ce tableau est donc romantique par son sujet et ces techniques. 5 MAROT Tiphaine et SIMONNET Lucas DOSSIER ART : LE ROMANTISME Le cauchemar de Johann Heinrich Füssli, 1781, Institute of Art, Detroit, USA 6 1°Introduction Les définitions possibles du titre de l’oeuvre sont :  Rêve pénible dont l’élément dominant est l’angoisse.  Personne ou chose qui importune, obsède, fait peur. Le mot cauchemar

Le Cauchemar est un tableau du peintre Johann Heinrich Füssli, conservé depuis son achat en 1954, au Detroit Institute of Arts1. Depuis son exposition en 1782 à la Royal Academy de Londres, cette peinture est devenue célèbre et, du fait de cette renommée, Füssli en a peint au moins trois autres versions. L'interprétation de l'œuvre a considérablement changé au cours du temps. La toile semble dépeindre simultanément une femme rêvant et le contenu de son cauchemar. L'incube (démon) et la tête

Le cauchemar (1781) Johan Heinrich FÜSSLI (1741-1825) Huile sur toile – 102 x128 Detroit Institute of Arts L’artiste : Johan Heinrich FÜSSLI est né en Suisse d’un père qui pratiquait lui-même la peinture en amateur et qui était un véritable érudit. Füssli s’éloigna très vite de sa famille et entama des voyages dont un en Italie, important pour sa formation, qui précéda son installation définitive en Grande Bretagne. Füssli jouit assez tôt d’un statut de peintre officiel, décorateur de musées et

Éclairer le rapport entre les pédagogues et le contexte d’émergence de leurs pensées et pratique éducative. Peut-on établir une relation entre les idées des pédagogues et le contexte d’émergence de leurs pensées ? Les pratiques éducatives sont elles influencées uniquement par l’environnement social dans lequel évoluaient les pédagogues des 17ème, 18ème et 19ème siècles ? Par quoi ou par qui d’autres ont-ils été influencés ? On peut attribuer la première influence des idées éducatives à l’environnement

la mémoire de Macbeth et que ceux qui jouent sa pièce inconsciemment en paient les conséquences. > Inspirations : Macbeth en a inspiré plusieurs. Il a d'abord inspiré Shakespeare, qui lui en a inspiré plein d'autres dont les peintres Johann Heinrich Füssli, Théodore Chassériau et Eugène de Lacroix qui sont tous de l'époque romantique. Eugène Ionesco reprend le thème de Macbeth dans une pièce qu'il intitule Macbett(1972) et Alfred Jarry compose une pièce provocatrice du nom d'Ubu-Roi. [14:00:59]