Hémisphère cérébral

(?). A partir du décès, le défunt n’est plus titulaire de droit en tant que personne, d’où l’intérêt de préciser le moment du décès mais le droit est aujourd’hui confronté aux avancés de la médecine, les progrès ont mis en évidence une mort dite cérébrale, ou un coma profond et irréversible. §1 Un moment de la mort §2 statut juridique du défunt §1 :  Les difficultés sont plongés les juristes face au silence du code civil quant à la définition de la mort, le code civil en effet, ne donne pas

caractérisé par la perte des fonctions de relations (conscience, mobilité, sensibilité) avec conservation de la vie végétative (respiration, circulation). On connaît aussi le coma dépassé, c'est un coma très profond, irréversible, correspondant à la mort cérébrale. Pour la famille et le personnel médical, il parfois difficile (tout dépend dans quel état de coma la victime se trouve) de savoir si la personne va se réveiller ou non. Par exemple, prenons une personne éveillée qui perd brutalement connaissance

dans une quelconque activité de transplantation. La mort encéphalique est déclarée après examen clinique constatant: -L'absence de conscience -L'absence réflexe du tronc cérébral -L'absence de ventilation spontanée -la destruction définitive et totale du cerveau, confirmée par deux encéphalogrammes et artériographie cérébrale. Sur un donneur en état de mort encéphalique, on prélève en moyenne quatre organes. Les organes pour lesquels les besoins sont les plus importants sont (malades ayant

cardio-respiratoire Si respire, mettre en PLS Alerter Termes fréquemment utilisés: La perte de connaissance: phénomène brutal. Amnésie des faits. La syncope: Perte de connaissance réversible spontanément, liée à une diminution brusque du débit sanguin cérébral. Le malaise: La personne se plaint d'une sensation pénible et angoissante parfois douloureuse. Le coma: Abolition durable de la conscience. Coma: Coma vigil (stade 1): Obnubilation, les stimulations fortes provoquent une réaction. Coma

Madame D, 65 ans est admise le matin très tôt dans le service de réanimation suite à un Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique, son pronostic vital est engagé. A son arrivée Madame D est inconsciente, intubé et ventilé sous respirateur, ses pupilles sont aréactives et ne répond à aucun stimuli (Glascow à 3). Quelques heures après son arrivée dans le service un EEG est réalisé laissant présager un mauvais pronostic. Quelques heures après l’hospitalisation de Madame D, un des 3 enfants de la

mains) – Noyaux Gris : n’activent pas le mouvement mais • • • • • • Le planifient Règlent sa puissance et sa direction Lutte contre la pesanteur Ajuste l’équilibre Coordonne les mouvements de yeux Commande quelques mouvements stéréotypés – Tronc Cérébral : – Cervelet : monté en dérivation du TC il ne produit pas de mouvement • il le régule de manière fine et rapide • Il assure le démarrage et l’arrêt – Moelle : réseaux de neurones et de relais • Responsables des réflexes • Où s’inscrivent

un plat qui vous plait, un acte sexuel ou dans notre cas consommer une drogue). Ensuite la connexion de certains neurones active la dopamine, un neurotransmetteur situé a la base du cerveau. Cette Dopamine va se libérer dans la région du cortex cérébral et elle va déclencher toute une variation de neurones qui vont quant a eu procuré une sensation de plaisir. 2) Le graphique Graphique 3) Mode d’action de l’héroïne L’héroïne est une des drogues qui a une très forte dépendance physique

prolongement de la moelle épinière. Il a un rôle important dans la réception des informations qui proviennent de la tête. Contrôle les fonctions vitales telles que le rythme cardiaque, la respiration et la pression artérielle. - Cervelet : Relié au tronc cérébral, il est impliqué dans la coordination des mouvements et le maintien de l’équilibre. - Protubérance annulaire : Inclinée au-dessus du bulbe rachidien, elle est le local de passage des fibres nerveuses qui unissent les différents niveaux du système

Introduction Plasticité cérébrale/ neuronale/ axonale Professeur Pascale Pradat-Diehl Assistance Publique des Hôpitaux de Paris Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière Université Pierre et Marie Curie ER 06 pascale.pradat@psl.aphp.fr limites • Hypothèses • Démontrées ou non dans le domaine de la recherche • Simplification des processus (plasticité de la synapse; niveau d’excitabilité) • Évolution des concepts • Application clinique? Définitions Apprentissage moteur Le terme « plasticité » désigne

• • mission de filtrer le message douloureux et de réduire son importance. Phénomènes périphériques ◦ Mess modulé par les fibres Aα Aβ ◦ par inhibition de la nociception au Niv médullaire Contrôle supra spinal ◦ S’exerce au niv du tronc cérébral ◦ Possède des voies descendantes inhibitrices ◦ Entraînent analgésie de la zone touchée (par blocage du réflexe nociceptif) 4-4/ LES « COMPOSANTES » de la douleur • Incertitude de la relation entre l’étendue du dommage tissulaire et la sévérité