Hémistiche

Extrême régularité et fluidité du rythme 2. Le procédé massif de la répétition, outre son rôle sémantique, joue surtout sur le rythme et sur les sons 1er hémistiche des vers 1 et 4 [elamrelamur] // [karlamrelamur] vers 2 premier hémistiche [elamretamr] vers 5 premier hémistiche [s l i kikrlezo] vers 6 premier hémistiche [s l i kikrlemo] 2 fois "mère", "est", "sort", 3 fois "amer", 3 fois "feu", 4 fois "eau", 5 fois "et", 6 fois "mer", 8 fois amour" [amr] 11 fois ("la mer"

de la littérature, l’alexandrin, qui vient du Roman d’Alexandre, au XIIeme siècle. Cet alexandrin est découpé en deux hémistiches séparées par une césure (« Et l’unique cordeau / des trompettes marines »). On remarque aussi deux accents fixes situés à la fin des hémistiches (« Et l’unique cordeau / des trompettes marines ») et des accents mobiles, ici placés au milieu des hémistiches (« Et l’unique cordeau / des trompettes marines »). Apollinaire a donc choisi de créer un alexandrin accentué toutes

relier l’ intrigue politique et l’ intrigue galante. Le début du texte est assez étrange : Junie coupe la parole à Néron, à l’ empereur. De plus, c’ est une femme et une captive. La réplique commence sur une hémistiche. « Il a su me toucher, » Il a un lien avec le premier hémistiche avec le pronom « il » et « Britannicus ». « toucher » a un sens plus fort, indique l’ idée d’ une forte impression positive ou négative. « Seigneur, et je n’ ai point prétendu m’ en cacher. » « seigneur

fausses amitiés construites sur des mensonges. v.8 : Finalement cette société, en voulant plaire à tout le monde, ne distingue personne : comparaison d’égalité et antithèse « l’honnête homme et le fat » réunis par la coordination dans le second hémistiche. v.9-12 : Question rhétorique qui est le pendant de la réplique de Philinte et souligne le refus (car elle appelle une réponse négative) de toute marque de sociabilité jugée comme hypocrite. La question a valeur conclusive car les périphrases

toute-puissance puisque c’est de lui seul que va dépendre cette décision. Cela est visible avec la présence de la 1ère pers du singulier (v.7, 8, 9, 10…). Le v.14 insiste sur cet aspect en mettant en relief la réponse à la question posée dans le deuxième hémistiche : « moi-même » placé à la rime, pronom renforcé par « même », réponse lapidaire, sans verbe. La douleur est d’autant plus forte que c’est lui-même qui s’est placé dans cette situation : « moi seul » v.19 (le pronom ouvre la phrase, ce qui le met

dans un petit village de pêcheurs  En Flandres Le soleil est un fumeux quinquet. Et tout au haut d'un trapèze une femme fait la lune. » 2) Le Rythme a) La césure et les hémistiches. * LAMARTINE « Le Lac » Alexandrin * Césure = sépare les vers supérieur à 8 syllabes en 2 hémistiches. * Hémistiches b) Les répétitions de sonorités. * Assonance = voyelles Pour la première fois l’aigle baissait la tête (Hugo) * Allitération = consonnes Mais qui sont ces serpents

est régulier 3/3//4/2 et l’image est très stylisée. Le mois de mai évoque l’idée de renouveau, le moment de la première floraison. Au vers 2, « En sa belle jeunesse, en sa première fleur », on peut noter le parallélisme de construction des deux hémistiches qui donne un effet d’équilibre, d’harmonie. Ce vers insiste sur la jeunesse de la  rose, grâce aux termes « jeunesse » et « première » et sur sa beauté. On notera le choix du terme « jeunesse » pour parler de la fleur, qui la personnifie et qui

qui montre son angoisse *chiasme avec la même idée et la même construction entre les deux hémistiche (V/COD//COD/V) + l’ouverture du sonnet marque une véritable dépossession de soi, le poète se présente comme un mort-vivant. + son corps lui échappe et la mort est imminente *allitération en /s/ dans le 2e hémistiche qui renforce l’idée du squelette*utilisation unique de monosyllabe dans le premier hémistiche puis “squelette” + idée d’angoisse et il a du mal à accepter son image v2 : l’angoisse se

d’avoir laissé partir la femme Idem que l’idée précédente Rime entre « beauté » et « éternité » Le poète est tellement fasciné par la beauté de la femme qu’il la classe comme une femme de l’au-delà Double hémistiches : 1 hémistiche avec 2 propositions subordonnées circonstancielles de lieu 1 hémistiche avec 2 Proposition subordonnee circonstancielle de temps V12 Idée que le poète est pessimiste car il pense que la femme est inaccessible Montre aussi le retour brutal à la réalité à laquelle le poète est

Il y a une césure médiane en hémistiche après ''deuil'' de façon à mettre la deuxième hémistiche en relief. Le poète est un peu perdu car pour lui la beauté est une beauté mélancolique qui exprime une certaine douleur, réflexion. Majestueuse veut dire à la fois triste mais aussi élégante. Il y a un crescendo dans les syllabes pour montrer que cette femme s'approche de lui (vers 2). Le vers 3 indique une situation calme, posée; il y a une césure médiane en hémistiche, il y a un procédé d'enjambement