Hémistiche

précède ce poème ? Quel est la place du « nous » ? I] Le signal de départ de la marche a) Le décor maritime : _ 1er alexandrin = décor maritime. Rayons irisés par décor aquatique _ Souhait physiquement impossible : « voulut ». Le deuxième hémistiche du premier vers rappelle l’ancien testament avec « sur » juste après la césure. _ Décor heureux : « bénin », « embellie » _ Allitération en –b + assonance en –an b) Le mystère du « nous » _ Écho sonore à la césure du v3 : « tous » --> mystère

l’ensemble du poème. Dans quel but Rimbaud procèdet-il de cette façon ? d) Un autre procédé de versification, qu’on appelle « la rime brisée », consiste , dans un poème en alexandrins, à établir un effet de rime ou au moins d’assonance à la fin des hémistiches. Montrez que Rimbaud utilise ce procédé dans la première partie : pour cela, placez les césures et analysez les sons que vous y trouvez. e) Analysez la valeur phonétique et l’organisation des rimes du poème dans sa première partie. Quelles règles

L’ATTENTE - MAN RAY ET PAUL ÉLUARD Le dessin de Man Ray met en valeur la structure des mains masculines qui sont liés par une toile d’araignée. Des traces de crayons géométriques et bien définit donne une vision cru, crispé et tragique mais les mains montrent aussi une forme de délicatesse, de protection et de douceur. Ces mains sortent du néant et la toile d’araignée replonge dans le vide avec le terme « jamais » dans le monostiche mais évoque aussi la solitude car l’arrière plan est vide

Construction d’un sonnet | |     |   | Mesure du vers : ici un alexandrin, soit 12 pieds |   |   |   | Vers n° | 1er hémistiche | Césure | 2e hémistiche | Altern. | Genre des rimes | 1ère strophe1er quatrain | 1 | Quand le soir, sybarite, |   | erre au bleu des roseaux, | a | masculine | | 2 | Poursuivant l’horizon |   | d’une brise frôleuse, | b | féminine | | 3 | Séléné s’abandonne |   | à ses voiles, frileuse; | b | féminine | | 4 | La source, de cristal, |   | frémit en blancs

du poème modèle traditionel du sonnet(16è →19è) = 2 quatrains + 1 sizain, en alexandrin, alternance rimes fém. et masc + rimes embrassées dans quatrains. Sonnet forme italienne car 2 vers rimes suivies, 4 vers rimes embrassées césure hémistiche et schéma classique 6/6 motifs renvoyant aux Evangiles → titre renvoit à un épisode de la Passion, la veille de la crucifixion du Christ. (Christ va au Jardin des Oliviers pour prier mais se fait arrêter par des soldats romains, trahis par Judas)

qu’elle a bien lieu dans les vers 3, 8, 11 ou encore 14, on a d’un autre coté des vers comme le sixième « moi, je buvais, crispé comme un extravagant, » un rythme non binaire (1/3/6). On a donc un rythme lent où les vers sont constitués de deux hémistiche (v13) face à des vers au rythme rapide comme le vers 12 qui peut se diviser sur le schéma 2/4/2/4. Ce rythme irrégulier se joue beaucoup au niveau de la ponctuation de ce poème, en effet, très abondante et variée (« , »,  « ; », « ! »,  « ? »)

peut pas s’en sortir avec lui. Baudelaire exprime ceci d’une façon dramatique: Exilé sur le sol....... où le premier mot de la citation indique la notion romantique qu’un artiste n’appartient pas dans ce monde. Egalement l’emploi dans le 2eme hémistiche du 12eme vers d’un verbe à l’imparfait, le seul verbe qui ne soit pas au présent, développe le contraste et même conflit ressenti par le poète. LES FLEURS DU MAL: L’ALBATROS Après avoir lu et discuté du poème, vous devez être en mesure

parenthèse au premier hémistiche. On relève une assonance en "i" dans ce premier vers, qui est assez désagréable et qui peut donc annoncer que ce sonnet va évoquer un personnage ou un sujet peu plaisant. Un enjambement débute le vers 2. Ce débordement syntaxique sur le vers 2 atténue la pause en fin de vers 1 et crée un effet d’allongement, Du Bellay fait en quelque sorte "durer le suspense" quant au thème dont il va être question dans ce sonnet. v. 2 : Au premier hémistiche du vers 2, qui est donc

fois) et des mots du même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", éteint son feu)   2. la façon dont ils sont entrelacés ·      les répétitions parallèles et en chiasme *     parallèles avec les anaphores : vers 1, 4, 5, 6 les deux hémistiches du vers 2 *     chiasmes "Et la mer est amère, et l'amour est amer, l'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer Car la mer et l'amour ne sont point sans orage."   ·      le jeu subtil des comparaisons, des métaphores et des associations:

/si/rèn[e]s ». 1 2 3 4 1 2 3 4 Le vers se sépare en deux MEMBRES de quatre syllabes qui se subdivisent en MESURES. Ils sont séparés en deux éléments égaux par la CESURE et forment donc deux HEMISTICHES. Le [é] et le [è] sont contrairement au [e] prononcés tout le temps et ils peuvent porter l’accent tonique. Lorsqu’on étudie le vers du point de vue des syllabes et des accents: c’est la SCANSION.  Supervielle:« Les /bois /à /con/tre/-jour