Henri Bergson

propose quelques éléments de réponse et se concentre notamment sur les causes puis sur les fonctions de celui-ci. Pour en déduire, comme nous l'avons suggéré plus haut, que le rire est en quelque sorte paradoxal (Baudelaire) ou tout du moins dual (Bergson, Sibony et Gotlib). Pour comprendre ce qu'est le rire, les textes qui composent le dossier s'attachent surtout à mettre en évidence ce qui déclenche celui-ci. Ainsi, le document 1, et en l'occurrence Baudelaire, dans son essai intitulé De l'essence

peuvent l’exprimer. L’homme est libre de penser. Cette faculté de penser est l’entendement. Il est capable de réfléchir, émettre des hypothèses, pousser des raisonnements grâce à sa conscience. Pour Bergson, la différence est radicale entre la conscience de l’homme et celle de l’animal. Que dit-il ? Bergson dit que la conscience humaine est libre tandis que celle de l’animal est limitée aux instincts et à l’automatisme, même s’ils peuvent faire preuve de créativité. Pour Emmanuel, l’animal ne possède

Texte de bergson "le rêve" Intro : « Le rêve » est un court texte de Bergson tiré, du recueil intitulé "L’energie spirituelle" Dans le texte étudié "Le rêve", Bergson expose son avis sur l'origine des rêves qui, selon lui, proviennent des souvenirs enfouies en chacun de nous, impossible à atteindre lorsque l'on est conscient, mais ressurgissant en nous dans notre inconscient, quand on dort. Pourtant, nous sommes parfois rattrapés par des souvenirs que nous pensions avoir totalement oubliés

Dans un premier moment du texte, Bergson présente 1) les avantages du « mode de vie instinctif » : il rend en quelque sorte « parfaite » la vie animale, parce que les instincts ont à leur disposition « les instruments appropriés », les organes. Ceux-ci sont parfaitement coordonnés aux instincts (par exemple : les pattes avant de la taupe sont « parfaitement coordonnées » à l’instinct qui la pousse à creuser ; les ailes, l’œil du faucon sont « parfaitement coordonnés » à ses instincts d’oiseau de

été de l’ordre du sacré, ne peut expliquer le fait « qu’il n’y a jamais eu de sociétés sans religion »(cf, Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion). En effet, par delà la fonction fondatrice du politique sur le théologique, la religion occupe selon Bergson une fonction idéologique de renforcement du lien social qui, sinon, pourrait être dissout par l’intelligence. Bergson distingue la « religion dynamique », de « la religion statique ». La première est celle des mystiques qui sont

Bergson a ici la volonté d’éclairer un des mystères de notre existence qu’est la conscience. Mais, comme dit le philosophe, il serait inutile de définir une chose aussi concrète car la définition serait plus compliquée que la chose elle-même. Il se décide alors de s’interroger sur les fonctions de la conscience ou bien ses limites. En effet, nous pouvons remarquer que l’auteur se demande si la conscience est uniquement faite de choix et de décisions mais il se demande aussi quels sont les différents

progresser, à acquérir et que l'on puisse croire en lui davantage, il faudrait suivre l'idée de Bergson qui consisterait à élargir la morale sociale, limitée à la cohésion sociale et celle de la famille et qui nous pousse à ne respecter et à n'aimer que les hommes avec lesquels nous vivons, à une morale "ouverte" qui nous attirerait, nous soulèverait en s'étendant à l'humanité entière. Car comme l'écrit Bergson dans Les Deux sources de la morale et de la religion : "Entre la première morale et la

avec le sentiment de l’effort. Au lieu du « Je pense, donc je suis », Maine de Biran pose un « Je fais effort, donc je suis ». La conscience apparaît alors comme la maîtrise du moi sur le « corps propre ». 3.2. « Conscience signifie choix » C’est Bergson qui a développé cette idée. Il a montré que la conscience est étroitement liée à l’action. Ma tâche actuelle sollicite ma conscience. Ma conscience rassemble et organise mes expériences passées pour me préparer à affronter les évènements à venir.

let him guide us in the labyrinths of his thoughts, understand the concepts being less important than feeling things. In 22 May 1984 he gave an extraordinary lesson on the question of the virtual image in cinema. Deleuze was influenced greatly by Bergson whose main concept was duration: our deep reality is to be temporal. There is only duration, a continuous flow, more important than conscious time. An image is an image-movement, full of actions and reactions. Deleuze often use temporal expression

« Pour Bergson, la morale possède un double visage (1). Elle se présente d'abord comme un système d'obligations solidaires, exprimant l'ensemble des exigences d'une société. Ce noeud d'impératifs impersonnels se présente à l'individu avec la nécessité des lois de la nature et s'impose à lui avec la force du devoir absolu et indiscutable. L'individu, pour être moral, s'ajuste alors sur l'ensemble des moeurs, des règles et des lois de la société dont il est membre. Il développe ainsi en lui, sous la